LES FRANCAIS SOUS L'EFFET DE PATTON (11.12.17)
Réunir un pécule en revisant ma méthode de consommation en France pour finir par acheter mon bien à rabais (3500€) tout en me faisant ravitailler mensuellement par le système social Français est un plaisir de fin gourmet. Je reviens de temps à autre en France pour réclamer mon dû en me delectant des cocus blancs se tuant à la tâche pour engraisser un système travaillant contre leurs intérêts.
Je me souviens du gros bougnoule tout en rayban ramènant son bus dans les zones industrielles de ma ville pour cracher ses nègres à moitié francophones à des postes de manutentionnaires pendant que des blancs à gueules de bois garaient leurs voitures à crédits, ces derniers occupaient toujours des postes administratifs et à responsabilités en regardant leurs noireaux préparateurs de commandes, perchés dans leurs bureaux.
Tout ça cohabitait par dépit en se regardant du coin de l'oeil. Une bonne grosse masse couleur cosmo avec du blanc en haut et du nègre en bas. Profiter du système est un impératif de fachiste à ascendance renard des surfaces et je vous invite à faire de même.
Se barrer de France la fleur au fusil après l'élection de Macron, c'est jeter le trousseau de clé à la gueule de cette Française après une confidence un peu trop border-line sur l'oreiller puisant chez vous la décision tranchante. Il n'y a que quand la France sera vidée de sa population blanche victime du syndrôme de *Patton que tout s'effondrera et dès lors, les vertues du réalisme racial seront en marche pour notre plus grand bonheur. Quand tu penses qu'il suffit juste de laisser l'Afrique aux Africains pour que tout s'effondre... laissons donc la France aux Français, la substance fachiste ira naturellement faire sa niche à l'Est.
*Mais qui était le colonel Patton ? Le colonel Patton était un Aryen talentueux qui s'est aperçu après avoir déjoué le plan nazi que tout son combat avait été, en fait, dédié à l'intérêt des financiers grapillant peu à peu les parts de son Amérique gangrennée de l'intérieur. Le colonel Patton est mort dans des circonstances très obscures et ce n'est un secret pour personne, la masse blanche de l'Ouest pactisant avec le diable en acceptant son tribu financier se condamne au même sort. l'article entier au sujet du général Patton: http://library.flawlesslogic.com/patton_fr.htm
En vivant en France, vous contribuez au maintien d'une société artificielle vouée à pérécliner puis mourir en vous emportant malicieusement avec elle (si ce n'est pas vous, ce sera votre descendance). Le struggle for life ne s'applique pas qu'à papy l'unijambiste cancereux métastasé de partout, il s'applique également à votre nation chérie arabonégrifiée que quelques blogueurs nationalistes blancs et crypto-blancs sous perfusions tipeee ont intérêt à fournir en espoir. Soigner rapporte plus que guérir. Le communautarisme en France permet de survivre, le communautarisme à l'Est permet de vivre.
Seul un mâle à l'énergie bouillonnante s'émancipant dans un milieu lui étant favorable pourra militer vigoureusement, fonder un foyer saint et soliciter le maximum de son potentiel. Notre bonheur personnel, notre confiance dépend uniquement de la ferveur ambiante et du climat environnant malgré cet égo typiquement masculin nous poussant à croire que nos ressources personnelles nous suffisent, sous couvert de cette devise à la Rambo, "moi ma bite et mon couteau" qui conviendra seulement à un petit garçon se laissant porter par sa fantaisie sans limite. L'idéal que nous embrassons dépend d'un tout cohérent, d'un peuple digne, d'une danse vertueuse uniquement executée par la saccade d'un pays entièrement blanc. Les femmes de l'Est de 20 ans se balladant aux commandes de leurs berceaux symbolisent cette motivation à l'idée de prolonger la destinée blanche Européenne à saisir et à protéger à tout prix.
Les fachistes Français bandes-durs ne doivent plus prolonger la nécrose républicaine chargée de la mission ingrate consistant à grapiller les belles parts de notre Europe. Les migrants d'aujourd'hui sont les mercenaires aux ordres de la finance de demain. Redynamiser l'Est sans plus jamais cotiser pour entretenir la bête Française est le choix le plus judicieux en tant que blanc Européen. Cette ribambelle de blancs à cheveux frisés sans cesse plus nombreux en France doit récolter ce qu'elle a semé et en migrant à l'Est, non seulement vous vous éviterez un avenir sombre mais vous précipiterez la chute du système le plus anti-blanc d'Europe incarné par la France.
Vive la Blancheur,
Florent Lambert
Je me souviens du gros bougnoule tout en rayban ramènant son bus dans les zones industrielles de ma ville pour cracher ses nègres à moitié francophones à des postes de manutentionnaires pendant que des blancs à gueules de bois garaient leurs voitures à crédits, ces derniers occupaient toujours des postes administratifs et à responsabilités en regardant leurs noireaux préparateurs de commandes, perchés dans leurs bureaux.
Tout ça cohabitait par dépit en se regardant du coin de l'oeil. Une bonne grosse masse couleur cosmo avec du blanc en haut et du nègre en bas. Profiter du système est un impératif de fachiste à ascendance renard des surfaces et je vous invite à faire de même.
Se barrer de France la fleur au fusil après l'élection de Macron, c'est jeter le trousseau de clé à la gueule de cette Française après une confidence un peu trop border-line sur l'oreiller puisant chez vous la décision tranchante. Il n'y a que quand la France sera vidée de sa population blanche victime du syndrôme de *Patton que tout s'effondrera et dès lors, les vertues du réalisme racial seront en marche pour notre plus grand bonheur. Quand tu penses qu'il suffit juste de laisser l'Afrique aux Africains pour que tout s'effondre... laissons donc la France aux Français, la substance fachiste ira naturellement faire sa niche à l'Est.
*Mais qui était le colonel Patton ? Le colonel Patton était un Aryen talentueux qui s'est aperçu après avoir déjoué le plan nazi que tout son combat avait été, en fait, dédié à l'intérêt des financiers grapillant peu à peu les parts de son Amérique gangrennée de l'intérieur. Le colonel Patton est mort dans des circonstances très obscures et ce n'est un secret pour personne, la masse blanche de l'Ouest pactisant avec le diable en acceptant son tribu financier se condamne au même sort. l'article entier au sujet du général Patton: http://library.flawlesslogic.com/patton_fr.htm
En vivant en France, vous contribuez au maintien d'une société artificielle vouée à pérécliner puis mourir en vous emportant malicieusement avec elle (si ce n'est pas vous, ce sera votre descendance). Le struggle for life ne s'applique pas qu'à papy l'unijambiste cancereux métastasé de partout, il s'applique également à votre nation chérie arabonégrifiée que quelques blogueurs nationalistes blancs et crypto-blancs sous perfusions tipeee ont intérêt à fournir en espoir. Soigner rapporte plus que guérir. Le communautarisme en France permet de survivre, le communautarisme à l'Est permet de vivre.
Seul un mâle à l'énergie bouillonnante s'émancipant dans un milieu lui étant favorable pourra militer vigoureusement, fonder un foyer saint et soliciter le maximum de son potentiel. Notre bonheur personnel, notre confiance dépend uniquement de la ferveur ambiante et du climat environnant malgré cet égo typiquement masculin nous poussant à croire que nos ressources personnelles nous suffisent, sous couvert de cette devise à la Rambo, "moi ma bite et mon couteau" qui conviendra seulement à un petit garçon se laissant porter par sa fantaisie sans limite. L'idéal que nous embrassons dépend d'un tout cohérent, d'un peuple digne, d'une danse vertueuse uniquement executée par la saccade d'un pays entièrement blanc. Les femmes de l'Est de 20 ans se balladant aux commandes de leurs berceaux symbolisent cette motivation à l'idée de prolonger la destinée blanche Européenne à saisir et à protéger à tout prix.
Les fachistes Français bandes-durs ne doivent plus prolonger la nécrose républicaine chargée de la mission ingrate consistant à grapiller les belles parts de notre Europe. Les migrants d'aujourd'hui sont les mercenaires aux ordres de la finance de demain. Redynamiser l'Est sans plus jamais cotiser pour entretenir la bête Française est le choix le plus judicieux en tant que blanc Européen. Cette ribambelle de blancs à cheveux frisés sans cesse plus nombreux en France doit récolter ce qu'elle a semé et en migrant à l'Est, non seulement vous vous éviterez un avenir sombre mais vous précipiterez la chute du système le plus anti-blanc d'Europe incarné par la France.
Vive la Blancheur,
Florent Lambert
DR. WILLIAM PIERCE - À PROPOS DE LA CLASSE MOYENNE BLANCHE VOSTFR (11.12.17)
Avec l'assistanat social et en avouant volontier que la France est un pays brossé par le capitalisme abondamment arrosé par le karsher financier juif... après introspection sur notre condition d'Européen très bien classé dans le tableau financier on pourra prétendre qu'en France, il n'y A PAS DE VERITABLE CLASSE PROLETARIENNE, uniquement du blanc synthétiquement élevé à la classe moyenne sous confort prêt à tous les compromis pour sauvegarder sa prison dorée jusqu'à ce que perdition de son âme s'en suive.
Le vrai prolétariat Européen se trouve... à l'Est !
Le vrai prolétariat Européen se trouve... à l'Est !
cliquez ici pour voir la vidéo hébergée sur Bitchute.
L'Ukraine: méchants garçons, eau froide et trous dans l'asphalte (08.10.17)
Notre traumatisme natonaliste ne doit pas nourrir notre propension au victimaire nous crystalisant dans une posture de spectateur pleurnicheur à la sauce juive, celui-ci doit être remanié en une force nous poussant à l'envie de militer concrètement et redoubler d'effort pour bousculer le messi blanc que nos éternels ennemis de toujours semblent vouloir précipiter à la hâte en nous poussant dans nos derniers retranchements.
En Ukraine... OUI les bus sont sans suspensions et OUI des méchants blancs (dont l'Europe a aujourd'hui plus que jamais besoin) font la loi (LEURS LOIS).
Un Marocain tué à Kharkiv
Un rabbin grièvement blessé en Ukraine
3 Indiens tués en Ukraine
OUI il y a des slaves aux mains lourdes cherchant à garder le monopole sur leurs business et effectivement Jean-Croissant ne pourra pas venir s'imposer dans le pays en s'accaparant la clientèle de Igor-Syrnyk sous prétexte qu'il porte une chemise de bon goût et a un accent de Frenchy soufflé qui a fait mouiller quelques culottes d'estudiantines étrangères sur les bancs de sa FAC... Français, tout ne nous est pas DÛ !
Si un Africain qui remue bien du cul peut vous doubler facilement à pôle emploi pour réclamer ses avantages en faisant de l'oeil à Micheline, sachez que ce ne sera pas le cas dans tous les pays blancs ! Il y a des pays farouchement nationalistes qui tiennent à garder le monopole sur leurs petites affaires !
Faire sa niche en Ukraine est un chemin long et tortueux, in fine à l'image d'une femme qui tiendra à se préserver pour se donner à celui qui la mérite, et c'est TANT MIEUX ! L'Ukraine ne s'offre pas au tout venant comme certains pays d'Europe de l'Ouest.
Ce n'est pas parce que je prétends qu'un Français peut entreprendre en mettant à profit son savoir faire qu'il aura ses ronds de serviettes du jour au lendemain.
Ce n'est pas parce que je prétends qu'il est possible de se trouver une femme Européenne ouverte et honorable, qu'elle va vous bouffer dans votre main du jour au lendemain. Si il fallait le dire alors c'est désormais fait.
"Le gouvernement Ukrainien est juif !", wouaw quel scoop ! Sachez que nous (BLANCS FIDELEMENT EUROPEENS) avons perdu l'Europe après la fin de la seconde guerre mondiale. (((L'élite))) mène un combat à mort contre notre race et celle-ci s'arrange depuis pour placer ses pions dans toutes les institutions des pays d'Europe pour tuer le blanc dans l'oeuf et AUCUN pays ne peut prétendre à une souveraineté absolue... il n'y a que les ultra nationalistes bornés déracialisés pour y croire encore. Nous bricolons selon nos moyens un aigle que l'on souhaite voir renaître de ses cendres.
Dites... vous voulez bâtir un foyer blanc en mettant les mains dans le camboui ou bien avoir une solution clé en main comme une vulgaire extension de graine de mai soixantuitard arriviste arrivant la fleur au fusil ?
Vous êtes un Aryen ou graine d'Aryen prêt à se débarasser de sa camisole de force juive ou bien un saoudien enkylozé commandant une formule toute faite dans son lit king size tout en or le combiné dans la main ?
Bien sûr que les pays de l'Est ne sont pas des paradis blancs ! Notre mère l'Europe est alitée dans un sercophage sémite pendant que des cafards du tiers monde lui chatouillent les jambes ! Elle souffre et il ne tient qu'à vous de la revigorer pour le peu que vous décidiez de changer votre fusil d'épaule en arrêtant de taper sur le moindre blanc prompt à l'initiative !
La juiverie internationale et toutes ses dérives culturelles oriente les projecteurs sur les bons élèves pronant les débauches du cosmopolitarisme, la France et son penchant négrificateur (qui ne date pas d'hier...) en tête dans le classement Européen pour ce qui est de l'islamo-négrophilie est le chouchou de son maître producteur de susucres saveurs planche à billets. Vous comprendrez logiquement que ce même (((système))) se garde bien de parler des aspects positifs de l'Ukraine et de son substrat de fond viscéralement blancho-nationaliste émancipé de la dictat' bancaire. Un substrat de blanc indépendant habitué au survivalisme (l'object du prochain article à venir) uniquement palpable pour celui qui y a sérieusement posé les pieds (pas celui qui a séjourné dans un appart' airbnb à Krechiatik au coeur de Kiev pendant une semaine en carburant à la formule pizza bière pour ramener ensuite sa science sur des forums d'expat en prétendant que l'Ukraine c'est plein de méchants pas beaux fâchés tout rouge et de putes...).
Cette juiverie internationale détenant les positions fortes a tout intérêt à diaboliser le terreau blanc indépendant, car l'Ukraine est l'un des dernier bastion du patriarcat blanc nationaliste radical sous soupçon religieux - j'ai dit l'un des derniers, pas le dernier, calme toi...-.
À vrai dire ce pays est le projet concrétisé de ce que le Français nationaliste moyen attend, planté comme un piquet sur sa chaise au beau milieu de sa bibliothèque mêlant livres philosophiques et autres encyclopédies entre deux discussions de comptoir et trois paragraphes de commentaires rédigés sur Youtube.
C'est pile poil à ce moment là où moi et mon Nokia de clocheton à écran cassé depuis l'année 2015 et mes vidéos rafistolées sous paint-shop interviennent pour mettre sur le tapis le contraste en opposition avec le projecteur géant du (((système))) qui lui se charge de dépeindre une image grisailleuse gavrochienne de la vie en Ukraine pour attiser votre désintérêt pour que jamais le blanc hybride franco-slave, théoricien par le pedigree papa et practicien par le pedigree de maman ne voit le jour.
LA CONNIVENCE DES BLANCS EUROPEENS ET SA TENTATIVE DE FEDERALISATION EUROPENNE FONCTIONNANT SELON LES PRINCIPES DE L'UNITE RACIALE EST LE PIRE CAUCHEMARD DU (((SYSTEME))) EN PLACE.
On me reproche de ne pas lorgner sur les mauvais aspects de l'Ukraine. Je ne suis pas là pas vous dire ce que le mainstream vous dit déjà. La mafia Ukrainienne, le climat délétaire, les femmes matérialistes, les hopitaux douteux... Bernard Delavilardière et Harry Roselmack se chargent déjà de vous fournir à ce niveau là pour vous motiver à l'idée de partir à l'Ouest vivre votre American Dream ou bien de créer une start-up en France qui vous laissera sur le carreau, vous obligeant ainsi à vous saigner dans le salariat jusqu'à l'usure tout en croupissant dans votre condition...
Ici en Ukaine, gardez en tête que papa Azov force peut être sur la bouteille de Vodka et vous a cruellement doublé à la caisse du supermarché parce qu'il souffre d'une déficience à la civilité qui vous échappe un peu... mais il s'évertue malgré ses maigres moyens à tenter de préserver sa nation du néo-communisme de l'Est et du libéralisme de l'Ouest parce qu'il est au fond celui que vous rêvez d'incarner en douce.
L'INDEPENDANCE DU PEUPLE UKRAINIEN EST PROFONDEMENT CULTURELLE et à des milliers de kilomètres de la devise liberté, égalité, fraternité que nous connaissons tous et qui a malheureusement gangrenné la majorité des cerveaux blancs républicains (le Français n'existant plus depuis très longtemps).
Papa Azov est votre meilleur allié et je continuerai à filmer toutes ses oeuvres d'artisan blanc fidèle à l'Europe, à savoir la beauté de ses femmes et la jeunesse élevée aux fessées nationalistes, jusqu'à motiver l'inspiration pour le nationaliste Français conscient racialement mais injustement prisonnier de sa condition.
En Ukraine... OUI les bus sont sans suspensions et OUI des méchants blancs (dont l'Europe a aujourd'hui plus que jamais besoin) font la loi (LEURS LOIS).
Un Marocain tué à Kharkiv
Un rabbin grièvement blessé en Ukraine
3 Indiens tués en Ukraine
OUI il y a des slaves aux mains lourdes cherchant à garder le monopole sur leurs business et effectivement Jean-Croissant ne pourra pas venir s'imposer dans le pays en s'accaparant la clientèle de Igor-Syrnyk sous prétexte qu'il porte une chemise de bon goût et a un accent de Frenchy soufflé qui a fait mouiller quelques culottes d'estudiantines étrangères sur les bancs de sa FAC... Français, tout ne nous est pas DÛ !
Si un Africain qui remue bien du cul peut vous doubler facilement à pôle emploi pour réclamer ses avantages en faisant de l'oeil à Micheline, sachez que ce ne sera pas le cas dans tous les pays blancs ! Il y a des pays farouchement nationalistes qui tiennent à garder le monopole sur leurs petites affaires !
Faire sa niche en Ukraine est un chemin long et tortueux, in fine à l'image d'une femme qui tiendra à se préserver pour se donner à celui qui la mérite, et c'est TANT MIEUX ! L'Ukraine ne s'offre pas au tout venant comme certains pays d'Europe de l'Ouest.
Ce n'est pas parce que je prétends qu'un Français peut entreprendre en mettant à profit son savoir faire qu'il aura ses ronds de serviettes du jour au lendemain.
Ce n'est pas parce que je prétends qu'il est possible de se trouver une femme Européenne ouverte et honorable, qu'elle va vous bouffer dans votre main du jour au lendemain. Si il fallait le dire alors c'est désormais fait.
"Le gouvernement Ukrainien est juif !", wouaw quel scoop ! Sachez que nous (BLANCS FIDELEMENT EUROPEENS) avons perdu l'Europe après la fin de la seconde guerre mondiale. (((L'élite))) mène un combat à mort contre notre race et celle-ci s'arrange depuis pour placer ses pions dans toutes les institutions des pays d'Europe pour tuer le blanc dans l'oeuf et AUCUN pays ne peut prétendre à une souveraineté absolue... il n'y a que les ultra nationalistes bornés déracialisés pour y croire encore. Nous bricolons selon nos moyens un aigle que l'on souhaite voir renaître de ses cendres.
Dites... vous voulez bâtir un foyer blanc en mettant les mains dans le camboui ou bien avoir une solution clé en main comme une vulgaire extension de graine de mai soixantuitard arriviste arrivant la fleur au fusil ?
Vous êtes un Aryen ou graine d'Aryen prêt à se débarasser de sa camisole de force juive ou bien un saoudien enkylozé commandant une formule toute faite dans son lit king size tout en or le combiné dans la main ?
Bien sûr que les pays de l'Est ne sont pas des paradis blancs ! Notre mère l'Europe est alitée dans un sercophage sémite pendant que des cafards du tiers monde lui chatouillent les jambes ! Elle souffre et il ne tient qu'à vous de la revigorer pour le peu que vous décidiez de changer votre fusil d'épaule en arrêtant de taper sur le moindre blanc prompt à l'initiative !
La juiverie internationale et toutes ses dérives culturelles oriente les projecteurs sur les bons élèves pronant les débauches du cosmopolitarisme, la France et son penchant négrificateur (qui ne date pas d'hier...) en tête dans le classement Européen pour ce qui est de l'islamo-négrophilie est le chouchou de son maître producteur de susucres saveurs planche à billets. Vous comprendrez logiquement que ce même (((système))) se garde bien de parler des aspects positifs de l'Ukraine et de son substrat de fond viscéralement blancho-nationaliste émancipé de la dictat' bancaire. Un substrat de blanc indépendant habitué au survivalisme (l'object du prochain article à venir) uniquement palpable pour celui qui y a sérieusement posé les pieds (pas celui qui a séjourné dans un appart' airbnb à Krechiatik au coeur de Kiev pendant une semaine en carburant à la formule pizza bière pour ramener ensuite sa science sur des forums d'expat en prétendant que l'Ukraine c'est plein de méchants pas beaux fâchés tout rouge et de putes...).
Cette juiverie internationale détenant les positions fortes a tout intérêt à diaboliser le terreau blanc indépendant, car l'Ukraine est l'un des dernier bastion du patriarcat blanc nationaliste radical sous soupçon religieux - j'ai dit l'un des derniers, pas le dernier, calme toi...-.
À vrai dire ce pays est le projet concrétisé de ce que le Français nationaliste moyen attend, planté comme un piquet sur sa chaise au beau milieu de sa bibliothèque mêlant livres philosophiques et autres encyclopédies entre deux discussions de comptoir et trois paragraphes de commentaires rédigés sur Youtube.
C'est pile poil à ce moment là où moi et mon Nokia de clocheton à écran cassé depuis l'année 2015 et mes vidéos rafistolées sous paint-shop interviennent pour mettre sur le tapis le contraste en opposition avec le projecteur géant du (((système))) qui lui se charge de dépeindre une image grisailleuse gavrochienne de la vie en Ukraine pour attiser votre désintérêt pour que jamais le blanc hybride franco-slave, théoricien par le pedigree papa et practicien par le pedigree de maman ne voit le jour.
LA CONNIVENCE DES BLANCS EUROPEENS ET SA TENTATIVE DE FEDERALISATION EUROPENNE FONCTIONNANT SELON LES PRINCIPES DE L'UNITE RACIALE EST LE PIRE CAUCHEMARD DU (((SYSTEME))) EN PLACE.
On me reproche de ne pas lorgner sur les mauvais aspects de l'Ukraine. Je ne suis pas là pas vous dire ce que le mainstream vous dit déjà. La mafia Ukrainienne, le climat délétaire, les femmes matérialistes, les hopitaux douteux... Bernard Delavilardière et Harry Roselmack se chargent déjà de vous fournir à ce niveau là pour vous motiver à l'idée de partir à l'Ouest vivre votre American Dream ou bien de créer une start-up en France qui vous laissera sur le carreau, vous obligeant ainsi à vous saigner dans le salariat jusqu'à l'usure tout en croupissant dans votre condition...
Ici en Ukaine, gardez en tête que papa Azov force peut être sur la bouteille de Vodka et vous a cruellement doublé à la caisse du supermarché parce qu'il souffre d'une déficience à la civilité qui vous échappe un peu... mais il s'évertue malgré ses maigres moyens à tenter de préserver sa nation du néo-communisme de l'Est et du libéralisme de l'Ouest parce qu'il est au fond celui que vous rêvez d'incarner en douce.
L'INDEPENDANCE DU PEUPLE UKRAINIEN EST PROFONDEMENT CULTURELLE et à des milliers de kilomètres de la devise liberté, égalité, fraternité que nous connaissons tous et qui a malheureusement gangrenné la majorité des cerveaux blancs républicains (le Français n'existant plus depuis très longtemps).
Papa Azov est votre meilleur allié et je continuerai à filmer toutes ses oeuvres d'artisan blanc fidèle à l'Europe, à savoir la beauté de ses femmes et la jeunesse élevée aux fessées nationalistes, jusqu'à motiver l'inspiration pour le nationaliste Français conscient racialement mais injustement prisonnier de sa condition.
Je pense l'Ukrainien comme un patriarche stoïque en bout de table dans un salon lugubre aux murs vieillots et tapissés, malgré tout prêt à taper du poing quand ça ne chie pas droit et que la cuisine n'est pas à son goût pendant que le Français exorcise son pacte avec le (((diable))) par le biais de sa crise de mégère, en perdant son temps à essayer de trouver la recette fantasmée dans une cuisine moderne super kitsh mais sans les ustensiles adéquates.
CETTE REMISE EN CAUSE EST PRIMORDIALE et jouer de la loupe sur la défaillance des Français que nous sommes, est un préalable à l'avènement d'un changement amenant à l'éveil du blanc Européen que nous sommes tous au fond.
Le modèle Aryen est un point de mire, il est un idéal vers lequel tendre et le salut viendra de cette mutation que nous devons précipiter pour préserver l'Europe que nous chérissons. Bonne mutation à vous.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
CETTE REMISE EN CAUSE EST PRIMORDIALE et jouer de la loupe sur la défaillance des Français que nous sommes, est un préalable à l'avènement d'un changement amenant à l'éveil du blanc Européen que nous sommes tous au fond.
Le modèle Aryen est un point de mire, il est un idéal vers lequel tendre et le salut viendra de cette mutation que nous devons précipiter pour préserver l'Europe que nous chérissons. Bonne mutation à vous.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Adopter le style de vie d'un Aryen en France (18.09.17)
En France, sauf exceptions vous êtes dans la majeur partie du temps entourés par des blancs cassés et des boukaks qui ont été façonnés par le maître d'orchestre juif éviscérateur d'âmes blanches purs. Votre blancheur de fond titille votre instinct de survie ce qui fait que vous vous sentez seuls et préférez l'être à défaut de subir les amoindris qui semblent vous entraînez dans le gouffre.
Cette solitude peut vite vous amenez à adopter des attitudes qui vous enfonceront vers le bas (alcool, cigarette, jeux-vidéo, porno dépendance, chichonnade, anti-depresseurs, télé, tinder-addiction...). en bref vous deviendrez potentiellement des blancs complètement déviscéralisés pour le plus grand bonheur de l'élite blancho-bourgeoise crypto-youpine qui n'aura de cesse de travailler dur à transformer le prolétaire blanc des périphéries en agneau prêt à accepter son sort de consommateur névrosé sous perfusion de salariat ou RSA à l'image de cette caricature de gros porc Américain au ventre surplombant une queue qui ne lui sert qu'à pisser son coca cola, celui-ci ayant renoncé à la vie.
En France, sauf exceptions vous êtes dans la majeur partie du temps entourés par des blancs cassés et des boukaks qui ont été façonnés par le maître d'orchestre juif éviscérateur d'âmes blanches purs. Votre blancheur de fond titille votre instinct de survie ce qui fait que vous vous sentez seuls et préférez l'être à défaut de subir les amoindris qui semblent vous entraînez dans le gouffre.
Cette solitude peut vite vous amenez à adopter des attitudes qui vous enfonceront vers le bas (alcool, cigarette, jeux-vidéo, porno dépendance, chichonnade, anti-depresseurs, télé, tinder-addiction...). en bref vous deviendrez potentiellement des blancs complètement déviscéralisés pour le plus grand bonheur de l'élite blancho-bourgeoise crypto-youpine qui n'aura de cesse de travailler dur à transformer le prolétaire blanc des périphéries en agneau prêt à accepter son sort de consommateur névrosé sous perfusion de salariat ou RSA à l'image de cette caricature de gros porc Américain au ventre surplombant une queue qui ne lui sert qu'à pisser son coca cola, celui-ci ayant renoncé à la vie.
Le projet des mangeurs de petits fours consistera à faire de vous un blanc individualiste amoindri à la recherche constante de la jouissance sans projet familial et dénué d'esprit de corps.
Contrairement à ce que raconte votre oncle qui a pris la balle au bond en plein age d'or de la bohème Française... faire carrière en France se résume désormais à travailler pour un géant et cotiser toute sa vie pour financer les charters pleins de bamboulitos en croisade capitaliste Européenne...
travailler en France, c'est ni plus ni moins travailler contre l'Europe blanche car comme le disait notre moustachu préféré, "La France est l'agent négrificateur de l'Europe" et l'hexagone chouchouté par la banque centrale redouble d'effort pour alimenter la machine anti-blanche Européenne.
Contrairement à ce que raconte votre oncle qui a pris la balle au bond en plein age d'or de la bohème Française... faire carrière en France se résume désormais à travailler pour un géant et cotiser toute sa vie pour financer les charters pleins de bamboulitos en croisade capitaliste Européenne...
travailler en France, c'est ni plus ni moins travailler contre l'Europe blanche car comme le disait notre moustachu préféré, "La France est l'agent négrificateur de l'Europe" et l'hexagone chouchouté par la banque centrale redouble d'effort pour alimenter la machine anti-blanche Européenne.
Spécialement pour les plus jeunes, voici donc quelques conseils en vrac pour vous forger un lifestyle d'Aryen dans ce pays générateur de blancs cassés qu'est devenu la France avant votre départ à l'Est:
- Trouvez vous un boulot de planqué... avec un ratio paye/responsabilité raisonnable. Les négros veilleurs de nuit, vigiles dans des ferrailleries désertiques ou à la sécurité incendie ont tout compris... pendant que les blancs transpirent sous leurs chasubles dans les bureaux de pole emploi à torcher des nègres sous la pression d'un chef soumis à l'impératif du rendement, les autres sont payés à faire acte de présence.
L'ère poste-Macro symbolise le fait que les Français adeptes de l'auto-croche patte ont décidé d'être les plus grands cocus de l'histoire Européenne,
faites gonfler votre porte-feuille en cotisant pour votre avenir de blanc à l'Est sans vous cassez le dos pour autant !
Pouvoir d'achat à l'Est oblige, vous avez absolument tout à y gagner !
- Faites le ménage de printemps dans vos amis... Plus aucun gnoule ou négro (même à lunettes) tout autant que de blanjuivés ne doivent figurer dans vos fréquentations. Exit les métisses qui boivent du pinard et votent Le Pen... la ségrégation doit être TOTALE.
Ceux là parasitent votre quête de racialisme absolue alors que celle-ci est absolument nécessaire pour sonner le glas de l'intransigeance blanche en ces temps difficiles pour notre race en voie d'extinction.
- Mangez saint... refusez catégoriquement les fast-food qui vous transformeront en gros lards bande-mou repoussoir à femmes valeureuses (la vie est bien faite car les boudins aiment les gras du bide et les jolies femmes valeureuses aiment les hommes qui ressemblent à des hommes). Ces spots alimentaires vous déforment, coûtent très chers et sont de plus très souvent tenues par des boukaks...
le boycott envers toutes ces multis youpinesques et les petits commerces boukakiens de proximité doit devenir une initiative aussi instinctive que de claquer une mouche à merde qui a décidé de faire une halte le long de votre jolie veranda fleurie.
- Ne cherchez plus de femme Française... Vous maitrisez vos pulsions affectives au point de ne pas laisser l'opportunité à une Franjuivée trop en profondeur de vous la mettre à l'envers. Votre égo est bafoué à tout jamais sur ce terrain là et aucune Brigitte Bourlet ne pourra faire de vous un homme prêt à fonder un foyer dans un pays voué à devenir un califat sauce nègre douce. Vous êtes un Aryen emprunt au rationalisme qui voyez les choses sur le long terme à contrario du blanjuivé qui se préoccupera de prendre et jouir dans l'instant présent
(à mammon-land il a clairement été élevé pour ça, il dresse lentement son addition et finira au bout du compte sur les rotules).
Vous voyez les choses à l'échelle Européenne et non "hexagonale" car vous savez que votre carte d'identité nationale est un bout de papier synthétique fabriqué de toute pièce nourissant un concept aussi cohérent que Marine Le Pen entrain de twerker après sa défaite. Alors que votre épiderme, lui, révèle charnellement votre identité parfaitement assimilable à n'importe quel pays d'Europe, cette dernière considération est la plus importante et vous en avez désormais pleinement conscience. L'Europe est votre maison, la France une de ses chambres en bordel.
Vous devez présenter à votre descendance un nid douillet favorable à l'épanouissement d'un bébé blanc futur militant qui rêvera de ressembler à son papa l'intransigeant tracé ou à sa maman douce soumise et dévouée. La femme Française est un modèle trop écorché en profondeur, beaucoup trop de ces femmes ont été mordues par la bête enragée et il est trop tard pour elles...
A la question, pourquoi généraliser ? Régler tous les potentiomètres vers les bonnes tendances nous permet de survoler l'horizon en nous donnant un maximum de chances de parvenir au succès... t'es un contre-youpin qui s'oriente vers la bonne tendance pour faire dans le bénéfice moral... la tendance à la dévotion, à la féminité, à la soumission n'est PLUS l'apanage de la femme Française, d'autres blanches en Europe te permettront de créer la fusion parfaite donnant naissance à du blanc PUR JUS te permettant de bâtir le foyer blanc que les youpins aux commandes transpirent à l'idée de voir refaire surface à nouveau.
Certes il existe des femmes Françaises valeureuses mais on ne prend pas de mesures en tenant compte de ces exceptions au même titre que par opposition à votre intransigeance racialiste vous savez qu'il existe tout de même des nègres et gnoules supers sympas...
- Faites du sport... surement le meilleur palliatif pour endurer cette société qui marche à l'envers. Si vous êtes banlieusards, veillez au mieux à ne pas vous abonnez à une salle de sport qui vous fera un trou à votre maigre porte monnaie de prolo et vous obligera fatalement à vous coltiner des prototypes ambulants qui feront salon de thé en épiloguant sur les machines de la salle (du négro lobotomisé au rap-game à la maman maboule divorcée du tertiaire qui cherchera à se faire défoncer en se servant du sport comme alibi).
Le sport est une méditation dans l'effort. Faire du sport est un formidable remède naturel qui vous permet de ne pas vous égarer dans des solutions mortifères alternatives qui auront au bout du compte raison de vous (alcool, cigarette, jeux-vidéo, porno dépendance, chichonnades, anti-depresseurs, télé, tinder-addiction...).
Le sport s'impose comme un métronome et dicte une rythmique cohérente dans votre vie.
Ne vous perdez surtout pas sur des chaînes Youtube Delavieresques ou des forums de Jean-Muscu aux théories extensionnistes faites pour faire du clic... tout ça vous écoeurera plus qu'autre chose et le surplus d'information court-circuitera votre propension à l'action qui elle, est absolument nécessaire.
Soyez juste à l'écoute de votre corps et adoptez les mouvements et exercices en fonction de votre ressenti, l'important étant de transpirer en ayant transgressé vos propres limites pour finir par apprécier cette sensation exaltante à la fin de la séance qui vous poussera à l'envie de recommencer le lendemain. L'homme n'est pas fait pour l'inactivité et la suffisance dans le confort et tout aujourd'hui tend à le figer dans une certaine forme de posture de spectateur de son propre monde, une manière pour les bourgeois de vous gardez à vos places de toutou à qui on ne filera que les miettes.
- Vivez le jour et dormez la nuit... on a tous eu notre période pim's de LU à la framboise en regardant des séries à la conne ou que sais-je encore toute la nuit durant... ça a l'air innofensif comme ça mais c'est un truc digne d'un vampire de coppola ou bien d'un libéral à mèche folle hyper connecté à sa recherche effrenée du plaisir sans concessions qui a la devise "carpe diem" tatouée sur son bras. T'es un blanc à la peau qui réagit face à un soleil que dame nature a façonné pour te rationner en vitamine D, tu es un être humain fait pour t'épanouir au grand jour et non la nuit... la vie ne te rendra jamais la pareille à vivre hors du temps. Tout ce que tu y gagneras ce sera des cernes et un capital énergie fortement diminué.
- profitez À FOND de vos acquis sociaux... pas de pudeur de goy mal placé, vous devez prendre ce qui vous appartient ! Il n'est pas normal que tous les parasites suçent le sang des vieux cathos blancs volontaires aux sourires d'abrutis (bénévoles des resto du coeur) deux fois dans la semaine pour remplir des paniers de courses entiers. Faites valoir vos droits en utilisant ce système jusqu'au bout ! Egalement, le RSA vous donne le droit à la gratuité sur vos transports... ce n'est pas du luxe quand tu sais qu'un pauvre ticket à la con dans un bus conduit par un arabo-rayban plein de passagers nègres pour te rendre sur ton lieu de travail à l'enseigne coté en bourse te coutera plus de 2 euros ! (du délire) tout ça mis bout à bout vous permettra de faire des économies de grande échelle en utilisant le système contre sa propre réthorique de torcheur du tiers monde.
- Militez... la prise de conscience raciale se fait doucement mais surement, nous devons la provoquer en redoublant d'effort pour accélerer notre dessein. Cherchez à mettre à contribution vos qualités (auquel cas vous seriez musicien, dessinateur, programmeur/webmaster, traducteur...) ne vous contentez pas d'une posture d'éternel abonné, vous devez ruminer jusqu'à ce que l'idée tombe. Les blogs de l'alt-right Françaises (démocratieparticipative.biz / blancheurope.com / vivaeurope.info pour ne citer qu'eux, détricottent les consciences blanches et nous devons contribuer à ce boulversement qui renforcera notre avenir.
Attention toutefois car la solitude mêlé au "militantisme" peut hâter le phénomène "Willem" visant à vous rendre sombre et haineux.
Faites la part des choses sans que tout cela ne vous bourre le mou... allez vous faire bercer par des vidéos ASMR de citations de tonton par exemple... (déconnade quand tu nous tiens)
Il est grand temps d'admettre que tous les blancs ne se valent pas... Il y a les blanjuivés (eux) et les blancs authentiques (vous).
Je pense que ces préconisations (liste non exhaustive) ci-dessus formant le processus de désenjuivment/Aryenisation sont des préalables indispendables à tout blanc de l'Ouest souhaitant faire sa niche à l'Est.
Quand on a du respect pour son hôte, on ne s'invite pas chez lui en mode shlague aux dents longues, on fait un effort pour être digne et présentable à sa table pour le peu que l'on veuille que la synérgie soit opérante, passez donc le vernis sur vos bottes et taillez vous un karma de blanc respectable.
Dans le cas présent il s'agira de proposer le meilleur de ce que l'on peut offrir à ce terreau blanc se trouvant à l'Est pour renforcer cette idée d'éthno-nation par le jeu de la réciprocité Européenne Ouest-Est que l'on doit hâter.
ps: à tous les Jean-Eschatologie prêts à faire chauffer leurs doigts chipseux sur leurs claviers en récitant des passages d'encyclopédies sous le coup d'une bouffée de Delavierite aigü...à l'heure actuelle un Aryen est pour moi un blanc lavé de tous les concepts juifs opérants, un raciste-antisémite décomplexé actif dans le militantisme pour sa race et au style de vie garantissant l'élevation du corps et de l'esprit.
Seul cet eugénisme appliqué pourra nous permettre de garantir le maintien de notre ethno-nation en devenir.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
- Trouvez vous un boulot de planqué... avec un ratio paye/responsabilité raisonnable. Les négros veilleurs de nuit, vigiles dans des ferrailleries désertiques ou à la sécurité incendie ont tout compris... pendant que les blancs transpirent sous leurs chasubles dans les bureaux de pole emploi à torcher des nègres sous la pression d'un chef soumis à l'impératif du rendement, les autres sont payés à faire acte de présence.
L'ère poste-Macro symbolise le fait que les Français adeptes de l'auto-croche patte ont décidé d'être les plus grands cocus de l'histoire Européenne,
faites gonfler votre porte-feuille en cotisant pour votre avenir de blanc à l'Est sans vous cassez le dos pour autant !
Pouvoir d'achat à l'Est oblige, vous avez absolument tout à y gagner !
- Faites le ménage de printemps dans vos amis... Plus aucun gnoule ou négro (même à lunettes) tout autant que de blanjuivés ne doivent figurer dans vos fréquentations. Exit les métisses qui boivent du pinard et votent Le Pen... la ségrégation doit être TOTALE.
Ceux là parasitent votre quête de racialisme absolue alors que celle-ci est absolument nécessaire pour sonner le glas de l'intransigeance blanche en ces temps difficiles pour notre race en voie d'extinction.
- Mangez saint... refusez catégoriquement les fast-food qui vous transformeront en gros lards bande-mou repoussoir à femmes valeureuses (la vie est bien faite car les boudins aiment les gras du bide et les jolies femmes valeureuses aiment les hommes qui ressemblent à des hommes). Ces spots alimentaires vous déforment, coûtent très chers et sont de plus très souvent tenues par des boukaks...
le boycott envers toutes ces multis youpinesques et les petits commerces boukakiens de proximité doit devenir une initiative aussi instinctive que de claquer une mouche à merde qui a décidé de faire une halte le long de votre jolie veranda fleurie.
- Ne cherchez plus de femme Française... Vous maitrisez vos pulsions affectives au point de ne pas laisser l'opportunité à une Franjuivée trop en profondeur de vous la mettre à l'envers. Votre égo est bafoué à tout jamais sur ce terrain là et aucune Brigitte Bourlet ne pourra faire de vous un homme prêt à fonder un foyer dans un pays voué à devenir un califat sauce nègre douce. Vous êtes un Aryen emprunt au rationalisme qui voyez les choses sur le long terme à contrario du blanjuivé qui se préoccupera de prendre et jouir dans l'instant présent
(à mammon-land il a clairement été élevé pour ça, il dresse lentement son addition et finira au bout du compte sur les rotules).
Vous voyez les choses à l'échelle Européenne et non "hexagonale" car vous savez que votre carte d'identité nationale est un bout de papier synthétique fabriqué de toute pièce nourissant un concept aussi cohérent que Marine Le Pen entrain de twerker après sa défaite. Alors que votre épiderme, lui, révèle charnellement votre identité parfaitement assimilable à n'importe quel pays d'Europe, cette dernière considération est la plus importante et vous en avez désormais pleinement conscience. L'Europe est votre maison, la France une de ses chambres en bordel.
Vous devez présenter à votre descendance un nid douillet favorable à l'épanouissement d'un bébé blanc futur militant qui rêvera de ressembler à son papa l'intransigeant tracé ou à sa maman douce soumise et dévouée. La femme Française est un modèle trop écorché en profondeur, beaucoup trop de ces femmes ont été mordues par la bête enragée et il est trop tard pour elles...
A la question, pourquoi généraliser ? Régler tous les potentiomètres vers les bonnes tendances nous permet de survoler l'horizon en nous donnant un maximum de chances de parvenir au succès... t'es un contre-youpin qui s'oriente vers la bonne tendance pour faire dans le bénéfice moral... la tendance à la dévotion, à la féminité, à la soumission n'est PLUS l'apanage de la femme Française, d'autres blanches en Europe te permettront de créer la fusion parfaite donnant naissance à du blanc PUR JUS te permettant de bâtir le foyer blanc que les youpins aux commandes transpirent à l'idée de voir refaire surface à nouveau.
Certes il existe des femmes Françaises valeureuses mais on ne prend pas de mesures en tenant compte de ces exceptions au même titre que par opposition à votre intransigeance racialiste vous savez qu'il existe tout de même des nègres et gnoules supers sympas...
- Faites du sport... surement le meilleur palliatif pour endurer cette société qui marche à l'envers. Si vous êtes banlieusards, veillez au mieux à ne pas vous abonnez à une salle de sport qui vous fera un trou à votre maigre porte monnaie de prolo et vous obligera fatalement à vous coltiner des prototypes ambulants qui feront salon de thé en épiloguant sur les machines de la salle (du négro lobotomisé au rap-game à la maman maboule divorcée du tertiaire qui cherchera à se faire défoncer en se servant du sport comme alibi).
Le sport est une méditation dans l'effort. Faire du sport est un formidable remède naturel qui vous permet de ne pas vous égarer dans des solutions mortifères alternatives qui auront au bout du compte raison de vous (alcool, cigarette, jeux-vidéo, porno dépendance, chichonnades, anti-depresseurs, télé, tinder-addiction...).
Le sport s'impose comme un métronome et dicte une rythmique cohérente dans votre vie.
Ne vous perdez surtout pas sur des chaînes Youtube Delavieresques ou des forums de Jean-Muscu aux théories extensionnistes faites pour faire du clic... tout ça vous écoeurera plus qu'autre chose et le surplus d'information court-circuitera votre propension à l'action qui elle, est absolument nécessaire.
Soyez juste à l'écoute de votre corps et adoptez les mouvements et exercices en fonction de votre ressenti, l'important étant de transpirer en ayant transgressé vos propres limites pour finir par apprécier cette sensation exaltante à la fin de la séance qui vous poussera à l'envie de recommencer le lendemain. L'homme n'est pas fait pour l'inactivité et la suffisance dans le confort et tout aujourd'hui tend à le figer dans une certaine forme de posture de spectateur de son propre monde, une manière pour les bourgeois de vous gardez à vos places de toutou à qui on ne filera que les miettes.
- Vivez le jour et dormez la nuit... on a tous eu notre période pim's de LU à la framboise en regardant des séries à la conne ou que sais-je encore toute la nuit durant... ça a l'air innofensif comme ça mais c'est un truc digne d'un vampire de coppola ou bien d'un libéral à mèche folle hyper connecté à sa recherche effrenée du plaisir sans concessions qui a la devise "carpe diem" tatouée sur son bras. T'es un blanc à la peau qui réagit face à un soleil que dame nature a façonné pour te rationner en vitamine D, tu es un être humain fait pour t'épanouir au grand jour et non la nuit... la vie ne te rendra jamais la pareille à vivre hors du temps. Tout ce que tu y gagneras ce sera des cernes et un capital énergie fortement diminué.
- profitez À FOND de vos acquis sociaux... pas de pudeur de goy mal placé, vous devez prendre ce qui vous appartient ! Il n'est pas normal que tous les parasites suçent le sang des vieux cathos blancs volontaires aux sourires d'abrutis (bénévoles des resto du coeur) deux fois dans la semaine pour remplir des paniers de courses entiers. Faites valoir vos droits en utilisant ce système jusqu'au bout ! Egalement, le RSA vous donne le droit à la gratuité sur vos transports... ce n'est pas du luxe quand tu sais qu'un pauvre ticket à la con dans un bus conduit par un arabo-rayban plein de passagers nègres pour te rendre sur ton lieu de travail à l'enseigne coté en bourse te coutera plus de 2 euros ! (du délire) tout ça mis bout à bout vous permettra de faire des économies de grande échelle en utilisant le système contre sa propre réthorique de torcheur du tiers monde.
- Militez... la prise de conscience raciale se fait doucement mais surement, nous devons la provoquer en redoublant d'effort pour accélerer notre dessein. Cherchez à mettre à contribution vos qualités (auquel cas vous seriez musicien, dessinateur, programmeur/webmaster, traducteur...) ne vous contentez pas d'une posture d'éternel abonné, vous devez ruminer jusqu'à ce que l'idée tombe. Les blogs de l'alt-right Françaises (démocratieparticipative.biz / blancheurope.com / vivaeurope.info pour ne citer qu'eux, détricottent les consciences blanches et nous devons contribuer à ce boulversement qui renforcera notre avenir.
Attention toutefois car la solitude mêlé au "militantisme" peut hâter le phénomène "Willem" visant à vous rendre sombre et haineux.
Faites la part des choses sans que tout cela ne vous bourre le mou... allez vous faire bercer par des vidéos ASMR de citations de tonton par exemple... (déconnade quand tu nous tiens)
Il est grand temps d'admettre que tous les blancs ne se valent pas... Il y a les blanjuivés (eux) et les blancs authentiques (vous).
Je pense que ces préconisations (liste non exhaustive) ci-dessus formant le processus de désenjuivment/Aryenisation sont des préalables indispendables à tout blanc de l'Ouest souhaitant faire sa niche à l'Est.
Quand on a du respect pour son hôte, on ne s'invite pas chez lui en mode shlague aux dents longues, on fait un effort pour être digne et présentable à sa table pour le peu que l'on veuille que la synérgie soit opérante, passez donc le vernis sur vos bottes et taillez vous un karma de blanc respectable.
Dans le cas présent il s'agira de proposer le meilleur de ce que l'on peut offrir à ce terreau blanc se trouvant à l'Est pour renforcer cette idée d'éthno-nation par le jeu de la réciprocité Européenne Ouest-Est que l'on doit hâter.
ps: à tous les Jean-Eschatologie prêts à faire chauffer leurs doigts chipseux sur leurs claviers en récitant des passages d'encyclopédies sous le coup d'une bouffée de Delavierite aigü...à l'heure actuelle un Aryen est pour moi un blanc lavé de tous les concepts juifs opérants, un raciste-antisémite décomplexé actif dans le militantisme pour sa race et au style de vie garantissant l'élevation du corps et de l'esprit.
Seul cet eugénisme appliqué pourra nous permettre de garantir le maintien de notre ethno-nation en devenir.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Serge de Beketch sur l'abrutissement du peuple français (21.07.17)
à l'époque déjà...
Blancs, vous n'êtes pas faits pour ces vies de cosmopolitisés (15.07.17)
Vous n'êtes pas sans savoir que cette France, pied à terre ultime des ennemis de l'idéal Européen, est depuis l'après dernière guerre mondiale le terrain de jeu favori des cosmopolites ayant absolument tout dénaturé pour réorienter votre potentiel de blanc créateur en leurs faveurs.
Comme un sourire blanc synthétique de showman Américain, ils ont tout fait pour vous séduire tout en vous harnachant dans le factice, que ce soit ces amourettes vascillantes avec des femmes aux bras bourlineux et aux logiciels mentaux dénaturés, que ce soit cette devise "carpe diem" sopoudrée de ces abus de cigarettes drogues et alcools accentuant les dérives nihilistes, ces musiques aux beats provenant de la négrosphère poussant vos femmes à la métissolaterie, cette porno dépendance encouragée ainsi que ce rythme de vie à l'envers fait de jeux-vidéo (shit en pixel) entre deux bouchées de malbouffe cancérigène...
tout ça généralement pendant cette période de moisisure scolaire latente vous apprenant les bases de l'asservissement face au maître gauchiste (petit soldat blanc cassé bien dressé de ses maîtres) sous soupçon de réthorique compétitive, le tout au milieu des non blancs.
Puis vient ensuite cette vie "active" de salarié blanc cotisant pour nuire à son propre intérêt, engrossant toujours plus les opportunistes garnissant les barres d'immeubles des cages à rats du tiers monde toujours plus tendrement caressés par les nombreux avantages sociaux.
Ils rêvent TOUS de vous voir, vous blancs, finir la perche à perfusion à la main, à demi maboule, juste avant ou un peu après le retraite (si vous avez la chance d'en avoir une). Tout joue contre vous dans ce système où vous êtes pris à revers sur tous les fronts. La devise Marvel du soldat en moule burne jouant à un contre cent sortant glorieux d'un combat acharné est un fantasme de petit garçon, à moins d'être illuminé par la paroisse, abruti au shit ou les deux, vous n'en ressortirez pas gagnants.
Votre tolérance et votre entrain, cette énergie si propre à votre nature de blanc consciensieux est étouffée car, encore une fois, l'ennemi cosmopolite sait qu'un blanc conscient à l'esprit communautaire est très dangereux pour ses intérêts... un black live matter ou une ribambelle de barbus en Djellabas n'a rien d'anti-système car il est aidé par ce même système dans l'unique but de vous nuir, briser votre cohésion raciale. Alain Soral ne dit-il pas que pour penser juste, alors il faut penser le contraire de ce que pense Bernard Henry Levy ? À ce moment amenons cette brillante réflexion jusqu'au bout et mettons la question de la race sur le tapis, cette même question qui a l'air de faire tant transpirer ce même Bernard Henry Levy et consoeurs... si pressés de hâter les initiatives métisseuses et autres associations anti-racistes...
Blancs, vous n'êtes pas faits pour vous épanouir dans cette grisaille entretenue, c'est un panorama qui conviendra aux races ténébreuses qui sont ces sbires rêvés des cosmopolites tenant la dragée haute en Europe. Les cosmopolites ont compris qu'il fallait vous détruire tout autant qu'il fallait servir les races de boue pour que jamais vous ne puissiez revendiquer quoi que ce soit. Imaginez quel rêve ce doit être pour eux, une armée d'esclaves à QI amoindri comportant une clique d'excités prêts à bondir sur le blanc au premier bout de Coran tendu... fantastique n'est-ce pas ?
L'Europe sous soupçon d'homogénéité blanche est leur plus grand cauchemard, car ils connaissent notre potentiel redoutable.
Tout le reste (nationalisme Le Penien inclus) n'est que du discours de bistrot fait pour vous endormir sous le drap de la théorie.
Vous représentez ce cauchemard ultime dont ils gardent un très mauvais souvenir.
Blancs, vous êtes faits pour vivre en communion avec la nature qui de ce fait vous le rendra bien, fonder un foyer chaleureux, vous épanouir auprès de vos semblables, vous entrainez physiquement sous la lumière du soleil, militez sans relâche pour que notre objectif commun perdure, elle se situe là et bien là la recette millénaire d'une existence savoureuse à la source de cet épanouissement typique d'homme blanc Européen qui a parfait les vies de vos ancêtres sacrifiés et que l'on vous a subtilisé à tort.
Notre ennemi redoutable sait très bien que ces besoin vitaux une fois retirés feront de vous des êtres livides et hagards, des âmes égarées marchant tout droit en direction du bout de la falaise pour finir par tomber dans la machoire du capitalisme insatiable qui se chargera ensuite de votre propre descendance. Réflechissez un instant... et surtout AGISSEZ !
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Comme un sourire blanc synthétique de showman Américain, ils ont tout fait pour vous séduire tout en vous harnachant dans le factice, que ce soit ces amourettes vascillantes avec des femmes aux bras bourlineux et aux logiciels mentaux dénaturés, que ce soit cette devise "carpe diem" sopoudrée de ces abus de cigarettes drogues et alcools accentuant les dérives nihilistes, ces musiques aux beats provenant de la négrosphère poussant vos femmes à la métissolaterie, cette porno dépendance encouragée ainsi que ce rythme de vie à l'envers fait de jeux-vidéo (shit en pixel) entre deux bouchées de malbouffe cancérigène...
tout ça généralement pendant cette période de moisisure scolaire latente vous apprenant les bases de l'asservissement face au maître gauchiste (petit soldat blanc cassé bien dressé de ses maîtres) sous soupçon de réthorique compétitive, le tout au milieu des non blancs.
Puis vient ensuite cette vie "active" de salarié blanc cotisant pour nuire à son propre intérêt, engrossant toujours plus les opportunistes garnissant les barres d'immeubles des cages à rats du tiers monde toujours plus tendrement caressés par les nombreux avantages sociaux.
Ils rêvent TOUS de vous voir, vous blancs, finir la perche à perfusion à la main, à demi maboule, juste avant ou un peu après le retraite (si vous avez la chance d'en avoir une). Tout joue contre vous dans ce système où vous êtes pris à revers sur tous les fronts. La devise Marvel du soldat en moule burne jouant à un contre cent sortant glorieux d'un combat acharné est un fantasme de petit garçon, à moins d'être illuminé par la paroisse, abruti au shit ou les deux, vous n'en ressortirez pas gagnants.
Votre tolérance et votre entrain, cette énergie si propre à votre nature de blanc consciensieux est étouffée car, encore une fois, l'ennemi cosmopolite sait qu'un blanc conscient à l'esprit communautaire est très dangereux pour ses intérêts... un black live matter ou une ribambelle de barbus en Djellabas n'a rien d'anti-système car il est aidé par ce même système dans l'unique but de vous nuir, briser votre cohésion raciale. Alain Soral ne dit-il pas que pour penser juste, alors il faut penser le contraire de ce que pense Bernard Henry Levy ? À ce moment amenons cette brillante réflexion jusqu'au bout et mettons la question de la race sur le tapis, cette même question qui a l'air de faire tant transpirer ce même Bernard Henry Levy et consoeurs... si pressés de hâter les initiatives métisseuses et autres associations anti-racistes...
Blancs, vous n'êtes pas faits pour vous épanouir dans cette grisaille entretenue, c'est un panorama qui conviendra aux races ténébreuses qui sont ces sbires rêvés des cosmopolites tenant la dragée haute en Europe. Les cosmopolites ont compris qu'il fallait vous détruire tout autant qu'il fallait servir les races de boue pour que jamais vous ne puissiez revendiquer quoi que ce soit. Imaginez quel rêve ce doit être pour eux, une armée d'esclaves à QI amoindri comportant une clique d'excités prêts à bondir sur le blanc au premier bout de Coran tendu... fantastique n'est-ce pas ?
L'Europe sous soupçon d'homogénéité blanche est leur plus grand cauchemard, car ils connaissent notre potentiel redoutable.
Tout le reste (nationalisme Le Penien inclus) n'est que du discours de bistrot fait pour vous endormir sous le drap de la théorie.
Vous représentez ce cauchemard ultime dont ils gardent un très mauvais souvenir.
Blancs, vous êtes faits pour vivre en communion avec la nature qui de ce fait vous le rendra bien, fonder un foyer chaleureux, vous épanouir auprès de vos semblables, vous entrainez physiquement sous la lumière du soleil, militez sans relâche pour que notre objectif commun perdure, elle se situe là et bien là la recette millénaire d'une existence savoureuse à la source de cet épanouissement typique d'homme blanc Européen qui a parfait les vies de vos ancêtres sacrifiés et que l'on vous a subtilisé à tort.
Notre ennemi redoutable sait très bien que ces besoin vitaux une fois retirés feront de vous des êtres livides et hagards, des âmes égarées marchant tout droit en direction du bout de la falaise pour finir par tomber dans la machoire du capitalisme insatiable qui se chargera ensuite de votre propre descendance. Réflechissez un instant... et surtout AGISSEZ !
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Interventions sur Radio Melon (29.06.17)
À écouter pour cerner la composante idéologique de la communauté
PARTIE 1
PARTIE 2
EN COMPLEMENT:
Le Français blanc, ce grand théoricien... (16.06.17)
Le clivage racial latent en France nous permet clairement d'identifier le problème qui survient dès lors où les initiatives communautaires pro-blanches font surfaces, les théoriciens et adeptes de la branlette de langue sortiront du bois et déguenneront leurs morales et metteront en exèrgue le problème typiquement Français, à savoir, le sempiternel discours de bistrot... un peu comme ces amateurs de foot aux ventres biéreux refaisant le match avec des "si" même pas capables de faire 3 jongles ou encore les tchatcheurs de bancs de muscu qui ont confondu sport et salon de thé à maman. Bonne nouvelle, vous êtes à demi-responsables car tout a été fait pour vous conforter dans cette pratique, des bancs républicains aux cours à l'appel à l'argumentaire pour l'argumentaire aux concours d'égo sur les forums de puceaux sauvages, vous avez été poussé au cul pour devenir des blancs verbeux élevés à la diatribe... sachez que l'ennemi roublard au dos cabossé tapi dans l'ombre s'en frotte les mains !
Certains Français blancs (natios ou pas) réagissent comme des gonzesses en couple qui ont besoin de tumultes pour créer du remou dans leurs vies de merdes, c'est un principe tout à fait normal. Un petit combo café noir / facebook tous les matins pour mieux évacuer les démons et ça repart...
Le 100% théorique est l'apanage du grand bourgeois rentier, vous êtes des prolos et ne pouvez pas vous offrir ce luxe là !
Le prolo blanc qui a façonné l'Europe dont nous nous réclamons était un practicien hors paire, il vivait en harmonie avec son potentiel créatif de blanc pour parvenir à hisser les capitales d'Europe aux rangs de merveilles du monde dont tous les parasites richissimes usurpateurs profitent aujourd'hui et ce sur le dos du peuple autochtone désormais endormi. Dans les intra muros, il n'y a rien de pire pour nous les fils de prolos que nous sommes, que de voir des filandreux à rayban se payer des cocktails à dix euros sur ces terrasses qu'ils nous ont spolié en se la jouant Français authentiques. Tout ce climat nostalgique sur fond de bohème insouciante si légendaire faisant mouiller les culottes des jeunes femmes de Tokyo jusqu'à Sao Paulo est devenu leurs rentes.
La culture du canapé composée de séries-junk food, la diatribe argumentaire virtuelle sur fond d'égo, le narcissime sarcastique contemporain, le jeux-vidéo (shit en pixels) sont les nouvelles armes de destruction passives du prolétariat blanc, tout ça isole profondément le blanc qui aura trouvé un refuge pour évacuer son trauma. Ces blancs là sont sous morphines et vont tout droit à l'abattoir et c'est exactement ce que souhaite l'ennemi d'en haut. Ne souffrez plus et partez. Ce n'est pas une fuite contrairement à ce que les amateurs du suicide collectif prétendent mais une parade.
L'initiative collective blanche sérieuse est leur plus grande peur !
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Certains Français blancs (natios ou pas) réagissent comme des gonzesses en couple qui ont besoin de tumultes pour créer du remou dans leurs vies de merdes, c'est un principe tout à fait normal. Un petit combo café noir / facebook tous les matins pour mieux évacuer les démons et ça repart...
Le 100% théorique est l'apanage du grand bourgeois rentier, vous êtes des prolos et ne pouvez pas vous offrir ce luxe là !
Le prolo blanc qui a façonné l'Europe dont nous nous réclamons était un practicien hors paire, il vivait en harmonie avec son potentiel créatif de blanc pour parvenir à hisser les capitales d'Europe aux rangs de merveilles du monde dont tous les parasites richissimes usurpateurs profitent aujourd'hui et ce sur le dos du peuple autochtone désormais endormi. Dans les intra muros, il n'y a rien de pire pour nous les fils de prolos que nous sommes, que de voir des filandreux à rayban se payer des cocktails à dix euros sur ces terrasses qu'ils nous ont spolié en se la jouant Français authentiques. Tout ce climat nostalgique sur fond de bohème insouciante si légendaire faisant mouiller les culottes des jeunes femmes de Tokyo jusqu'à Sao Paulo est devenu leurs rentes.
La culture du canapé composée de séries-junk food, la diatribe argumentaire virtuelle sur fond d'égo, le narcissime sarcastique contemporain, le jeux-vidéo (shit en pixels) sont les nouvelles armes de destruction passives du prolétariat blanc, tout ça isole profondément le blanc qui aura trouvé un refuge pour évacuer son trauma. Ces blancs là sont sous morphines et vont tout droit à l'abattoir et c'est exactement ce que souhaite l'ennemi d'en haut. Ne souffrez plus et partez. Ce n'est pas une fuite contrairement à ce que les amateurs du suicide collectif prétendent mais une parade.
L'initiative collective blanche sérieuse est leur plus grande peur !
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Les impressions réalistes d’un Slave francophone (24.04.17)
"The French people will soon publish their death certificate - I'm sure the nationalists will never rule this leftist country. The laic cult of the Negro is at its peak in this country, the Arabs are a protected specie and the last White are voluntarily erasing themselves. I don't talk about economic facts because it's not the most important data in my mind. What can we do at this hour ? I know a nice solution. But it's not in link with this pathetic mess."
Je partage votre déception sans être complètement surpris pour autant. Je m'attendais du moins à ce que le Front National récolte 30% des voix et qu'il devance ce matamore béat qu'est Macron ! Je me serais peut-être davantage accommodé d'un pugilat mythique entre Le Pen et Mélenchon : Le Front National aurait disposé de chances considérables face à un rhéteur néo-bolchéviste et à ses troupes d'activistes estudiantins. Que le représentant officiel de la Droite puisse acquérir environ 20% des voix en empilant toute sorte de manigances répréhensibles est aussi très inquiétant. En bref, la démocratie libérale et contemporaine comporte des failles qui n'ont de cesse de précipiter notre déchéance. L'on pourrait spéculer longuement quant à l'indigence propagandiste du Front National dans ce contexte électoral. Mais ce résultat navrant nous expose surtout une information d'ordre générale : A savoir que les Français sont davantage épouvantés par le spectre du "fascisme" triomphant que par l'insécurité quotidienne et le renforcement du terrorisme islamique, et qu'ils sont prêts à s'évanouir dans les alluvions d'une société composite, désarticulée, et chaotique. L'identité française est un mythe prosaïque à leurs yeux et les traditions fondatrices qui s'y rattachent leur semblent désuètes. L'avenir séduisant et prometteur, selon eux, c'est l'asphyxie collective dans la fange miséreuse en provenance du Tiers-Monde. En toute honnêteté, c'est un tempérament lâche et répugnant auquel je ne n'adhérerai jamais et qui me pousse à réétudier les offres d'emploi en Europe de l'Est. Les derniers Français de souche respectables ne sont qu'une infime poignée et n'exercent aucune influence notable sur le déroulement des événements. Je leur conseille d'émigrer dans des pays plus hospitaliers avant de connaître un destin analogue à celui des paysans Blancs en Afrique du Sud.
Je tiens à préciser que j'ai participé à cette élection et que j'ai déposé un bulletin frontiste dans l'urne de ma municipalité. Il s'agissait de ma première implication dans un scrutin d'envergure nationale compte tenu de mon âge, et je ne pense pas que je renouvellerai cette initiative. Je devrais appuyer de nouveau le Front National lors du second tour pour honorer mon engagement initial - Mais, à un certain moment, il faut s'interroger quant aux véritables motivations des Français et au mode de vie qu'ils souhaiteraient mener. J'ai pu visionner l'exposition médiatique des résultats et j'ai entendu de nombreux intervenants sur les plateaux télévisés. Un bref reportage a été conçu dans un village et j'ai été dégoûté d'entendre tant de paroles dédaigneuses envers l'électorat frontiste de la part des cuistres interviewés. Les tristes sires estimaient comme ineptes les votes frontistes dans leur localité puisque l'insécurité y serait insignifiante - Outre l'absurdité consistant à réduire le vote frontiste à des enjeux sécuritaires, faudrait-il attendre que tous nos lieux d'occupation soient ravagés, démantelés et saccagés pour tenter de justifier notre vote frontiste ?
Que des villageois paisibles tiennent de tels propos à l'heure de la communication numérique et de la circulation accélérée de l'information relève de l'infamie à l'état pure. Sachant qu'une vaste part de citadins n'osera jamais soutenir le Front National, on se demande finalement en vertu de quel miracle les "nationalistes" ont pu se hisser au second tour de cette élection. Finalement, c'est peut-être un exploit hors du commun dans un pays si pétrifié dans les affres du marxisme culturel ! Quoiqu'il en soit, les prochaines années seront merveilleusement cauchemardesques et la majorité des Français méritera son funeste sort. Et c'est une position que je ne réviserai pas. Certains s’hasardent à tisser un parallèle risqué avec l’issue des dernières élections aux Etats-Unis d’Amérique : Les Français n'ont malheureusement pas la mentalité implacable des Nord-Américains et leur situation reste plus déplorable qu'en France dans une certaine mesure (ne serait-ce qu'en considérant la proportion massive de Blancs miséreux, alors que des Français jouissant de l'assistanat publique ont veillés à déposer un bulletin mélenchonniste dans l'urne). Trop de Français souffrent de carences morales et l'immigration incontrôlée n'est qu'une conséquence parmi tant d'autres de cet état d'esprit calamiteux.
Fjodor Slawomir
Je tiens à préciser que j'ai participé à cette élection et que j'ai déposé un bulletin frontiste dans l'urne de ma municipalité. Il s'agissait de ma première implication dans un scrutin d'envergure nationale compte tenu de mon âge, et je ne pense pas que je renouvellerai cette initiative. Je devrais appuyer de nouveau le Front National lors du second tour pour honorer mon engagement initial - Mais, à un certain moment, il faut s'interroger quant aux véritables motivations des Français et au mode de vie qu'ils souhaiteraient mener. J'ai pu visionner l'exposition médiatique des résultats et j'ai entendu de nombreux intervenants sur les plateaux télévisés. Un bref reportage a été conçu dans un village et j'ai été dégoûté d'entendre tant de paroles dédaigneuses envers l'électorat frontiste de la part des cuistres interviewés. Les tristes sires estimaient comme ineptes les votes frontistes dans leur localité puisque l'insécurité y serait insignifiante - Outre l'absurdité consistant à réduire le vote frontiste à des enjeux sécuritaires, faudrait-il attendre que tous nos lieux d'occupation soient ravagés, démantelés et saccagés pour tenter de justifier notre vote frontiste ?
Que des villageois paisibles tiennent de tels propos à l'heure de la communication numérique et de la circulation accélérée de l'information relève de l'infamie à l'état pure. Sachant qu'une vaste part de citadins n'osera jamais soutenir le Front National, on se demande finalement en vertu de quel miracle les "nationalistes" ont pu se hisser au second tour de cette élection. Finalement, c'est peut-être un exploit hors du commun dans un pays si pétrifié dans les affres du marxisme culturel ! Quoiqu'il en soit, les prochaines années seront merveilleusement cauchemardesques et la majorité des Français méritera son funeste sort. Et c'est une position que je ne réviserai pas. Certains s’hasardent à tisser un parallèle risqué avec l’issue des dernières élections aux Etats-Unis d’Amérique : Les Français n'ont malheureusement pas la mentalité implacable des Nord-Américains et leur situation reste plus déplorable qu'en France dans une certaine mesure (ne serait-ce qu'en considérant la proportion massive de Blancs miséreux, alors que des Français jouissant de l'assistanat publique ont veillés à déposer un bulletin mélenchonniste dans l'urne). Trop de Français souffrent de carences morales et l'immigration incontrôlée n'est qu'une conséquence parmi tant d'autres de cet état d'esprit calamiteux.
Fjodor Slawomir
Le Blanc n'a plus le droit de s'endormir ! (18.04.17)
En cette période pré-electorale, on peut le constater un peu partout, parler de politique en temps de crise nous permet de nous soulager un peu, à l'image d'une femme battue pleine de coquards aux quatres coins de la gueule qui tentera d'émettre la possibilité, autour d'un thé au miel chaleureusement entourée de ses copines, que le bourreau étatique puisse changer un jour.
Le Français moyen, bobo Européen si il en est, en complèment de sa spécialisation argumentaire aux mille extensions, se retrouvera totalement dans ce procédé visant à se décharger d'une quelconque responsabilité en la remettant ad vitam aeternam aux politiques, aux femmes de sa nation et aux minorités étrangères... l'homme Français, après s'être affranchi de la morale et du standard familial en brisant ses propres codes après 1968, n'a fait que de s'enfoncer dans le progressisme bélliqueux. L'ombre d'une main aux ongles crochus complisse qu'il adore tant, gagnante de la dernière guerre, lui tapotant ainsi l'épaule comme pour l'encourager d'aller au devant de sa propre perte, le blanc Français se goinfrant à la va vite de sa bouffe de la grand distrib' les yeux rivés sur la télévision trônant réligieusement en bout de table comme un autel pendant près d'un demi siècle.
Le but n'est pas de pousser un enième caca nerveux sur nos anciens, complètement abrutis par l'euphorie du plein emploi, des yéyés, des drogues durs et autres experimentations en tout genre pour au final nous pondre dans le meilleur des cas des blancs Soraliens... mais d'en tirer une conclusion nous permettant d'admettre que ces actes de subversions ont poussés notre peuple à la démission de notre propre destin en laissant pourrir les fruits de ce jardin à la Française pendant quelques décennies jusqu'à ce stade de NON RETOUR DEMOGRAPHIQUE que l'on connait actuellement.
Le travail d'introspéction est obligatoire.
Peu après la deuxième guerre mondiale, l'élite banquaire profitant de sa superbe avait besoin de laisser siéger ses tuteurs politiques libéraux à la tête des nations Européennes pour dans un premier temps abattre les frontières, dans un deuxième temps encourager les flux migratoires, puis dans un troisième temps permettre à l'indice démographique extra-Européen de croître afin d'écraser progressivement les nations blanches.
LA MISSION DESORMAIS ACCOMPLIE, l'élite banquaire gracieusement commissionnée dans son principe de fermentation blanche, peut désormais tolérer les milieux d'extrêmes droites en leur permettant quelques extras types Brexit, Trump aux commandes ou bien Marine Le Pen (si elle passe).
Pour aujourd'hui et concernant la France, penser à une quelconque révolution nationale signifie persister à croire que le navire pourra se redresser alors qu'il est aux trois quart submergé ou que l'on pourra gagner une course de fond contre Sakho et Mokhtar, tous deux encouragés par ton propre peuple qui a poussé le vice en foutant 50 kilos de fonte dans ton cartable. La prochaine bataille vise à tirer parti du capitalisme de l'Ouest: le matérialisme sans la morale pour la transposer à l'Est communiste: la morale sans le matérialisme. À partir de cette solution dosée, mettons notre argent de coté en réfléchissant à l'achat d'une maison et d'une terre à exploiter dans un cadre naturel propice au boycott de la modernité qui a tant fait valser l'idéal blanc. Vivons désormais entre nous à l'écart de la matrice super-capitaliste vidant sans cesse les blancs de leurs substances en les transformant en généraux du vice tout en magnifiant parallèlement les parasites illégitimes payés pour nous doubler, nous permettant ainsi de faire fusionner les initiatives pro-blanches dans un pays où la marge de manoeuvre est profitable.
Il ne s'agira pas de se terrer dans des bunkers en se branlant dans nos potagers comme des vieux séniles non plus mais au contraire de profiter de notre temps libre offert par un (1)train de vie modeste et régulé dans l'unique but de militer VIGOUREUSEMENT. Les blancs déchus d'occident représentent le potentiel d'une deuxième couche d'ultra nationalisme dans les contrées slaves (à l'heure ou le libéralisme commence à jouer du forcing en Europe de l'Est). Les occidentaux n'ont certainement pas le droit de s'endormir dans les mamelles d'une quelconque Olga, femme merveilleuse d'un peuple de blanc épuré, tout simplement parce que l'homme occidental que nous représentont doit le mériter et non pas poser ses couilles sur la table en profitant joyeusement de son pouvoir d'achat, le nez dans sa bière, pour s'offrir les délices d'un monde blanc qui lui a échappé. Si le blanc occidental commet l'erreur de profiter du sursaut économique de l'Europe de l'Est pour simplement s'éteindre dans le confort matériel grandiloquent ou bien devenir un simple jouisseur casanier, ce sera TERMINE pour nous, il n'y aura plus qu'à aller prier pour que les Chinois nous laisse une parcelle de terrain dans leurs chaînes de montagnes dédiée à la sauvegarde de notre race, aux côtés d'une réserve de pandas aussi menacés...
(1) va lisser les bords de ta société idéale quand t'es un putain de salarié qui a devoué la moitié de ta vie à engrosser une multinationale en te dépatouillant avec une grosse dressée par ses maîtres pour te casser les burnes avec un seul but inavoué, celui de partir avec la caisse familiale...
L'avenir blanc est à l'Est, c'est une certitude !
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Le Français moyen, bobo Européen si il en est, en complèment de sa spécialisation argumentaire aux mille extensions, se retrouvera totalement dans ce procédé visant à se décharger d'une quelconque responsabilité en la remettant ad vitam aeternam aux politiques, aux femmes de sa nation et aux minorités étrangères... l'homme Français, après s'être affranchi de la morale et du standard familial en brisant ses propres codes après 1968, n'a fait que de s'enfoncer dans le progressisme bélliqueux. L'ombre d'une main aux ongles crochus complisse qu'il adore tant, gagnante de la dernière guerre, lui tapotant ainsi l'épaule comme pour l'encourager d'aller au devant de sa propre perte, le blanc Français se goinfrant à la va vite de sa bouffe de la grand distrib' les yeux rivés sur la télévision trônant réligieusement en bout de table comme un autel pendant près d'un demi siècle.
Le but n'est pas de pousser un enième caca nerveux sur nos anciens, complètement abrutis par l'euphorie du plein emploi, des yéyés, des drogues durs et autres experimentations en tout genre pour au final nous pondre dans le meilleur des cas des blancs Soraliens... mais d'en tirer une conclusion nous permettant d'admettre que ces actes de subversions ont poussés notre peuple à la démission de notre propre destin en laissant pourrir les fruits de ce jardin à la Française pendant quelques décennies jusqu'à ce stade de NON RETOUR DEMOGRAPHIQUE que l'on connait actuellement.
Le travail d'introspéction est obligatoire.
Peu après la deuxième guerre mondiale, l'élite banquaire profitant de sa superbe avait besoin de laisser siéger ses tuteurs politiques libéraux à la tête des nations Européennes pour dans un premier temps abattre les frontières, dans un deuxième temps encourager les flux migratoires, puis dans un troisième temps permettre à l'indice démographique extra-Européen de croître afin d'écraser progressivement les nations blanches.
LA MISSION DESORMAIS ACCOMPLIE, l'élite banquaire gracieusement commissionnée dans son principe de fermentation blanche, peut désormais tolérer les milieux d'extrêmes droites en leur permettant quelques extras types Brexit, Trump aux commandes ou bien Marine Le Pen (si elle passe).
Pour aujourd'hui et concernant la France, penser à une quelconque révolution nationale signifie persister à croire que le navire pourra se redresser alors qu'il est aux trois quart submergé ou que l'on pourra gagner une course de fond contre Sakho et Mokhtar, tous deux encouragés par ton propre peuple qui a poussé le vice en foutant 50 kilos de fonte dans ton cartable. La prochaine bataille vise à tirer parti du capitalisme de l'Ouest: le matérialisme sans la morale pour la transposer à l'Est communiste: la morale sans le matérialisme. À partir de cette solution dosée, mettons notre argent de coté en réfléchissant à l'achat d'une maison et d'une terre à exploiter dans un cadre naturel propice au boycott de la modernité qui a tant fait valser l'idéal blanc. Vivons désormais entre nous à l'écart de la matrice super-capitaliste vidant sans cesse les blancs de leurs substances en les transformant en généraux du vice tout en magnifiant parallèlement les parasites illégitimes payés pour nous doubler, nous permettant ainsi de faire fusionner les initiatives pro-blanches dans un pays où la marge de manoeuvre est profitable.
Il ne s'agira pas de se terrer dans des bunkers en se branlant dans nos potagers comme des vieux séniles non plus mais au contraire de profiter de notre temps libre offert par un (1)train de vie modeste et régulé dans l'unique but de militer VIGOUREUSEMENT. Les blancs déchus d'occident représentent le potentiel d'une deuxième couche d'ultra nationalisme dans les contrées slaves (à l'heure ou le libéralisme commence à jouer du forcing en Europe de l'Est). Les occidentaux n'ont certainement pas le droit de s'endormir dans les mamelles d'une quelconque Olga, femme merveilleuse d'un peuple de blanc épuré, tout simplement parce que l'homme occidental que nous représentont doit le mériter et non pas poser ses couilles sur la table en profitant joyeusement de son pouvoir d'achat, le nez dans sa bière, pour s'offrir les délices d'un monde blanc qui lui a échappé. Si le blanc occidental commet l'erreur de profiter du sursaut économique de l'Europe de l'Est pour simplement s'éteindre dans le confort matériel grandiloquent ou bien devenir un simple jouisseur casanier, ce sera TERMINE pour nous, il n'y aura plus qu'à aller prier pour que les Chinois nous laisse une parcelle de terrain dans leurs chaînes de montagnes dédiée à la sauvegarde de notre race, aux côtés d'une réserve de pandas aussi menacés...
(1) va lisser les bords de ta société idéale quand t'es un putain de salarié qui a devoué la moitié de ta vie à engrosser une multinationale en te dépatouillant avec une grosse dressée par ses maîtres pour te casser les burnes avec un seul but inavoué, celui de partir avec la caisse familiale...
L'avenir blanc est à l'Est, c'est une certitude !
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Un blanc en banlieue Parisienne #2 (07.04.17)
J'avais 18 ans, je sortais tout juste de ma période bague et acnée et je commencais à ressembler à la moitié d'un homme. C'est après avoir dragué l'infirmière en vadrouille pour venir régulièrement soigner mon père d'un cancer à raison de 3 jours par semaine que j'ai réussi à me dégoter un plan roucoulade tous les week-ends. Depuis ma banlieue jusqu'à boboland à Paris 15ème arrondissement, chaque semaine j'avais le droit à deux nuits blanches de baises endiablées sur fond de Manzana, de films à la con et de menus MC Do, tout juste de quoi survivre un peu et échapper à une chienlit quotidienne que je prenais pour le standard de la vie normale.
Elle était eurasienne, clopait pour palier au stress qu'impliquait le fait de faire des piquouses à des personnes arrivant au bout du tunnel et mettait à peu près 15 minutes en moyenne le soir pour trouver une place où se garer. Elle était belle mais entamait doucement la pente inclinée par ses 29 ans. Elle maniait l'épicure façon carpe diem et était moralement suffisament puérile pour tomber sous le charme d'un post-adolescent opportuniste comme moi qui dans sa chûte provoquée par la misère sexuelle galvanisée par les rêveries idéalistes type American Pie, a su tant bien que mal se raccrocher à l'unique branche, celle d'une femme à bout de souffle.
Mélanie se ventait fièrement d'être une femme libre mais se décomposait tout de même devant des vidéos d'enfants une fois allumée à la Manzana... quand le synthétisme de notre société arrive à placer un Ippon à l'essence pure d'une femme faite pour transmettre la vie.
Le colocataire de Mélanie entamait tout juste ses 50 ans et était marié à une sublime Hongroise. Il jugeait que nos nuits blanches à baiser et nos journées à dormir ne menaient à rien. Après une lampée dans son verre de vin blanc, il m'avait pourtant prévenu en me disant "Il y a deux façons de se suicider: se tirer une balle dans la tête ou se laisser vivre" du haut de mes 18 ans, sur le coup je suis vite passé à autre chose en me réfugiant dans mon orgueil, histoire de lui montrer que sa phrase ne m'avait pas trop dégommé les ailes, alors que 10 ans plus tard je m'en souviens encore...
Après un week-end de galochage intensif avec Mélanie, en route pour la maison familiale je m'isolais dans la rame du RER en appréciant un Satriani. Je notais les vas et viens persistants de quatre encapuchés qui avaient l'air de chercher quelqu'un de spécifique dans le wagon. L'un d'eux avait le regard lourd et me reluquait de manière méprisante. Ils se sont réunis en échangeant des gestes et des mots en sourdines et ont fini par s'installer... deux en face de moi et les autres à mes côtés... l'un d'eux m'a demandé "hey comment tu t'appelles ?" avec un regard de violeur séropo. Je me suis levé pour aller m'installer dans un autre wagon. Ils se sont tout de même mis à me suivre en interprétant ma fuite comme un aveu de faiblesse et ont continué de me poursuivre sans relaches jusqu'à l'autre extrêmité du train.
J'ai bloqué la porte qui scindait deux wagons de manière à faire barrage. Il y avait pas a chier, ils voulaient clairement se payer du blondinet. Le plus grand a pris son élan et a mis des coups de pieds à la porte de manière déterminée pendant que son accolyte orientait la pointe d'un ciseaux envers ma direction. Quatre maghrébins plus agés que moi, la bave aux lèvres, profitant du surnombre pour se payer du blanc blond rachitique à dépouiller...
Personne ne bougeait et avait l'intention de me prêter main forte. Se décomposer aurait surement attisé leur haine. Dans le feu de l'action j'ai donc sorti un flash de label5 à moitié entamé que j'ai éclaté contre la vitre en la harcelant de coup de têtes. Le sang coulait à flot. Le petit trapu couscousé a regardé son pote en se disant qu'il avait peut être eu tord de vouloir copiner avec Jack Nicholson sauce Cannibal Holocaust. Il y a que l'hémoglobine qui peut les arrêter, la civilité et la tolérance protocolaire ne fait que les conforter dans leurs initiatives prédatrices. Le train s'est arrêté, je suis sorti de la tram et j'ai couru en traversant la ligne d'en face quitte à prendre le risque de me faire tamponner par un RER de passage. La presse aurait surement conclu à un vulgaire suicide d'un enième blanc névrosé.
**
Le jour de la fête nationale 2015, un pote a réussi à me convaincre d'aller faire un tour à Paris "ne serait-ce que pour changer d'ambiance". Je voulais passer la journée à parler de voyages et gonzesses en meublant le vide avec lui tout en faisant tourner les solos de Stevie Ray Vaughan au bord de l'eau, près de chez moi, en nous allumant gentiment sous le cagnard. L'aventure Parisienne ne me tentait vraiment pas, j'avais eu mon lot de nuit blanche sur fond noir certi de philosophes Burberriens ou autres musiciens fantoches accrochés à leurs accords brisés. J'y suis allé à reculons mais j'y suis allé quand même. Après un bon quart d'heure de train plein de tiers mondiste travestis par l'occident, nous sommes arrivés au coeur maintenu artificiellement de Paris.
J'avais du mal à croire que les nantis du monde entier, les couples tout en sucre puissent se donner rendez-vous dans ce bordel que le monde entier continuait à prétendre de bon goût... le forceps du lobby culturel et médiatique occidental est plus fort que tout. Remarquez le nombre de blaireaux qui projetent d'utiliser leurs thunes pour un séjour en vacances à Paris ou New-York dans les émissions télés type Drop Money et autres conneries dans le genre, ces innombrables couillons fiers de prendre des selfies en face du château d'une reine mourante ou à times square en se pensant à fond dans le coup. La machine tourne à plein régime. Le touriste gauchiasseux boboïde est un produit que les détenteurs des nations occidentales s'échangent façon "pantalon à une jambe", "c'est que du bénéf' comme dirait Attali.
Une immense foule bain de boue de banlieue habillée chez Baboo avait trouvé un prétexte pour faire autre chose que de se lamenter devant Hanouna ou les dernières vidéos clashs périscopes de Nordine le sanguin... ils venaient faire semblant d'apprécier la fête de la république Française qui leur avait donné les même droits que nous au nom de l'altruisme droit de l'hommien qui avait rongé le cortex de 80% de mes blancs. Au nom de l'égalité et de la tolérance, il fallait que je m'émerveille en appréciant la diversion que m'offrait un ciel colorié au bleu blanc rouge alors que le tapis au sol m'offrait du black blanc beurre qui éclatait en mille morceaux l'embryon d'un quelconque idéal national homogène pouvant renforcer l'Europe et ainsi entretenir sa légende d'autrefois, celle qui pousse tous les asiats au cul à venir photographier nos vestiges.
La France était morte depuis longtemps mais le petit jeu consiste, semble-t-il, à faire semblant d'être émerveillé par son cadavre que nos politiques utilisent en guise de marionette de foire histoire de faire croire aux blancs qu'ils travaillent pour quelque chose qui en vaut la peine.
Mes blancs me faisaient tout autant gerbé. Je ne voyais pas des "amoureux" mais un soumis au foyer prêt à faire des compromis masculins pour gâter une chieuse qui aura l'audace de lui faire payer la facture de sa bonté de blanc épuré tout en liguant sa propre descendance contre lui.
Je ne voyais pas de "jolis enfants" mais des futurs larves de bancs d'écoles prêtes à tout pour se faire leurs places au chaud dans les gradins d'un état comportant des strapontins à formes pyramidales...
On a ensuite arpenté les ruelles Parisiennes quand j'ai aperçu ce qui me semblait être une asiatique courir après un arabe façon Duris dans l'auberge Espagnole. Je me doutais bien qu'elle ne courait pas après son charme. J'ai couru après Aladin qui courait aussi vite qu'un estropié à 4 grammes, j'étais en mode black-out total, avec cette idée fixe en tête, exorciser un peu tout en le châtiant.
Après une balayette en pleine course et un direct à l'arrière du crâne, il s'est mis à couiner comme un caniche à qui on aurait marché sur la patte. Ce connard était tétanisé comme-ci l'éclipse blanche s'était soudainement dressée devant lui pour la première fois de sa vie et lui avait souillée la rétine.
Tard dans la nuit, on est arrivés à une certaine gare réputée pour chopper un certain noctilien. Fallait compter un bus toutes les trois heures pour une centaine de personnes à gerber dans les banlieues. Je peux vous dire qu'on était loin de la solidarité Magic System et Maghreb United. Ils se bouffaient tous la gueule en poussant des cris d'animaux, un troupeau n'hésitant pas à se marcher mutuellement sur la gueule pour aller à la gamelle. Ils s'enfonçaient dans le bus façon black-friday. Plus tard, je verrai des Ukrainiens (la blancheur Européenne qui souffre) poireautés sous le froid et la pluie rangés comme à l'école pour monter dans des demi-bus sans suspensions rafistolés en attendant sagement leurs tours et le tout dans un silence de cathédrale...
c'est pas raciale, tout est une question de capitalisme vous dites ? ...
Un contingent de blancs et de modérés battait en retraite en louchant sur le spectacle désolant alors que ce qui était pour moi le plus désolant, c'était ces blancs impuissants, honteusement doublés dont je faisais parti. A aucun moment de ma vie je n'avais signé pour ça et la conclusion était la suivante: je n'étais plus chez moi... à vrai dire, je ne l'ai jamais été !
Il était là l'avenir de la France... le privilège remis à ceux qui n'hésiteront pas à jouer du coude, te mettre des coups de canif dans les entrailles pour simplement se faire une place au chaud dans le car.
La France altruiste, pacifiée, émasculée jusqu'à ce qu'enculades s'en suivent aura ses comptes à rendre face à la haute autorité islamique et ses blancs complices... l'addition rédigée à l'encre rouge commence à se faire plus lourde que le papier, nous refusons de nous ronger les ongles en attendant bobonne ou bien en faisant joujoue dans nos jardins de permaculture dans des coins reculés de la France type Gorges Soros du Verdon en attendant de devoir accepter, à notre tour, un enième quotat de migrant par pur esprit "républicain"... Le FN ? Une chimiothérapie sur un malade alité en soin paliatif. Certes, ça anime les passions que de voir un Philippot talentueux s'empifrer une Bourgeoise vieillissante botoxée type Mergault/Célarié sur la chaîne publique ou encore mettre K.O des journalistes à têtes de playmobiles privilégiés... mais ce genre d'euphorie ne fait vibrer que les campeurs de bistrots... le FN ne fera ni pousser des bébés blancs racialisés (dixit Bouteldja) et n'aura pas vocation à bricoler une arche de Traoré (remigration). Cependant par esprit de cohésion raciale, nous mettrons tous le bulletin du FN de manière symbolique pour l'honneur étant donné qu'il n'y a plus que ça à sauver.
À 4 heure précise, mon ami et moi sommes enfin montés dans le car derrière deux connasses à piercings surmaquillées qui avaient encore assez d'énergie pour entamer un concours de selfies.
En sortant du car, j'ai vomi sur mes pompes, ma tête pesait lourd, mes tempes étaient surgonflées et mes yeux se désolidarisaient de mes orbites. Mon larfeuille est tombé et ma carte d'identité également... la photo de ma carte me renvoyait tout ce que je pouvais avoir de plus naïf. À côté de cette même photo, je notais la mention suivante: "Citoyen Français".
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Elle était eurasienne, clopait pour palier au stress qu'impliquait le fait de faire des piquouses à des personnes arrivant au bout du tunnel et mettait à peu près 15 minutes en moyenne le soir pour trouver une place où se garer. Elle était belle mais entamait doucement la pente inclinée par ses 29 ans. Elle maniait l'épicure façon carpe diem et était moralement suffisament puérile pour tomber sous le charme d'un post-adolescent opportuniste comme moi qui dans sa chûte provoquée par la misère sexuelle galvanisée par les rêveries idéalistes type American Pie, a su tant bien que mal se raccrocher à l'unique branche, celle d'une femme à bout de souffle.
Mélanie se ventait fièrement d'être une femme libre mais se décomposait tout de même devant des vidéos d'enfants une fois allumée à la Manzana... quand le synthétisme de notre société arrive à placer un Ippon à l'essence pure d'une femme faite pour transmettre la vie.
Le colocataire de Mélanie entamait tout juste ses 50 ans et était marié à une sublime Hongroise. Il jugeait que nos nuits blanches à baiser et nos journées à dormir ne menaient à rien. Après une lampée dans son verre de vin blanc, il m'avait pourtant prévenu en me disant "Il y a deux façons de se suicider: se tirer une balle dans la tête ou se laisser vivre" du haut de mes 18 ans, sur le coup je suis vite passé à autre chose en me réfugiant dans mon orgueil, histoire de lui montrer que sa phrase ne m'avait pas trop dégommé les ailes, alors que 10 ans plus tard je m'en souviens encore...
Après un week-end de galochage intensif avec Mélanie, en route pour la maison familiale je m'isolais dans la rame du RER en appréciant un Satriani. Je notais les vas et viens persistants de quatre encapuchés qui avaient l'air de chercher quelqu'un de spécifique dans le wagon. L'un d'eux avait le regard lourd et me reluquait de manière méprisante. Ils se sont réunis en échangeant des gestes et des mots en sourdines et ont fini par s'installer... deux en face de moi et les autres à mes côtés... l'un d'eux m'a demandé "hey comment tu t'appelles ?" avec un regard de violeur séropo. Je me suis levé pour aller m'installer dans un autre wagon. Ils se sont tout de même mis à me suivre en interprétant ma fuite comme un aveu de faiblesse et ont continué de me poursuivre sans relaches jusqu'à l'autre extrêmité du train.
J'ai bloqué la porte qui scindait deux wagons de manière à faire barrage. Il y avait pas a chier, ils voulaient clairement se payer du blondinet. Le plus grand a pris son élan et a mis des coups de pieds à la porte de manière déterminée pendant que son accolyte orientait la pointe d'un ciseaux envers ma direction. Quatre maghrébins plus agés que moi, la bave aux lèvres, profitant du surnombre pour se payer du blanc blond rachitique à dépouiller...
Personne ne bougeait et avait l'intention de me prêter main forte. Se décomposer aurait surement attisé leur haine. Dans le feu de l'action j'ai donc sorti un flash de label5 à moitié entamé que j'ai éclaté contre la vitre en la harcelant de coup de têtes. Le sang coulait à flot. Le petit trapu couscousé a regardé son pote en se disant qu'il avait peut être eu tord de vouloir copiner avec Jack Nicholson sauce Cannibal Holocaust. Il y a que l'hémoglobine qui peut les arrêter, la civilité et la tolérance protocolaire ne fait que les conforter dans leurs initiatives prédatrices. Le train s'est arrêté, je suis sorti de la tram et j'ai couru en traversant la ligne d'en face quitte à prendre le risque de me faire tamponner par un RER de passage. La presse aurait surement conclu à un vulgaire suicide d'un enième blanc névrosé.
**
Le jour de la fête nationale 2015, un pote a réussi à me convaincre d'aller faire un tour à Paris "ne serait-ce que pour changer d'ambiance". Je voulais passer la journée à parler de voyages et gonzesses en meublant le vide avec lui tout en faisant tourner les solos de Stevie Ray Vaughan au bord de l'eau, près de chez moi, en nous allumant gentiment sous le cagnard. L'aventure Parisienne ne me tentait vraiment pas, j'avais eu mon lot de nuit blanche sur fond noir certi de philosophes Burberriens ou autres musiciens fantoches accrochés à leurs accords brisés. J'y suis allé à reculons mais j'y suis allé quand même. Après un bon quart d'heure de train plein de tiers mondiste travestis par l'occident, nous sommes arrivés au coeur maintenu artificiellement de Paris.
J'avais du mal à croire que les nantis du monde entier, les couples tout en sucre puissent se donner rendez-vous dans ce bordel que le monde entier continuait à prétendre de bon goût... le forceps du lobby culturel et médiatique occidental est plus fort que tout. Remarquez le nombre de blaireaux qui projetent d'utiliser leurs thunes pour un séjour en vacances à Paris ou New-York dans les émissions télés type Drop Money et autres conneries dans le genre, ces innombrables couillons fiers de prendre des selfies en face du château d'une reine mourante ou à times square en se pensant à fond dans le coup. La machine tourne à plein régime. Le touriste gauchiasseux boboïde est un produit que les détenteurs des nations occidentales s'échangent façon "pantalon à une jambe", "c'est que du bénéf' comme dirait Attali.
Une immense foule bain de boue de banlieue habillée chez Baboo avait trouvé un prétexte pour faire autre chose que de se lamenter devant Hanouna ou les dernières vidéos clashs périscopes de Nordine le sanguin... ils venaient faire semblant d'apprécier la fête de la république Française qui leur avait donné les même droits que nous au nom de l'altruisme droit de l'hommien qui avait rongé le cortex de 80% de mes blancs. Au nom de l'égalité et de la tolérance, il fallait que je m'émerveille en appréciant la diversion que m'offrait un ciel colorié au bleu blanc rouge alors que le tapis au sol m'offrait du black blanc beurre qui éclatait en mille morceaux l'embryon d'un quelconque idéal national homogène pouvant renforcer l'Europe et ainsi entretenir sa légende d'autrefois, celle qui pousse tous les asiats au cul à venir photographier nos vestiges.
La France était morte depuis longtemps mais le petit jeu consiste, semble-t-il, à faire semblant d'être émerveillé par son cadavre que nos politiques utilisent en guise de marionette de foire histoire de faire croire aux blancs qu'ils travaillent pour quelque chose qui en vaut la peine.
Mes blancs me faisaient tout autant gerbé. Je ne voyais pas des "amoureux" mais un soumis au foyer prêt à faire des compromis masculins pour gâter une chieuse qui aura l'audace de lui faire payer la facture de sa bonté de blanc épuré tout en liguant sa propre descendance contre lui.
Je ne voyais pas de "jolis enfants" mais des futurs larves de bancs d'écoles prêtes à tout pour se faire leurs places au chaud dans les gradins d'un état comportant des strapontins à formes pyramidales...
On a ensuite arpenté les ruelles Parisiennes quand j'ai aperçu ce qui me semblait être une asiatique courir après un arabe façon Duris dans l'auberge Espagnole. Je me doutais bien qu'elle ne courait pas après son charme. J'ai couru après Aladin qui courait aussi vite qu'un estropié à 4 grammes, j'étais en mode black-out total, avec cette idée fixe en tête, exorciser un peu tout en le châtiant.
Après une balayette en pleine course et un direct à l'arrière du crâne, il s'est mis à couiner comme un caniche à qui on aurait marché sur la patte. Ce connard était tétanisé comme-ci l'éclipse blanche s'était soudainement dressée devant lui pour la première fois de sa vie et lui avait souillée la rétine.
Tard dans la nuit, on est arrivés à une certaine gare réputée pour chopper un certain noctilien. Fallait compter un bus toutes les trois heures pour une centaine de personnes à gerber dans les banlieues. Je peux vous dire qu'on était loin de la solidarité Magic System et Maghreb United. Ils se bouffaient tous la gueule en poussant des cris d'animaux, un troupeau n'hésitant pas à se marcher mutuellement sur la gueule pour aller à la gamelle. Ils s'enfonçaient dans le bus façon black-friday. Plus tard, je verrai des Ukrainiens (la blancheur Européenne qui souffre) poireautés sous le froid et la pluie rangés comme à l'école pour monter dans des demi-bus sans suspensions rafistolés en attendant sagement leurs tours et le tout dans un silence de cathédrale...
c'est pas raciale, tout est une question de capitalisme vous dites ? ...
Un contingent de blancs et de modérés battait en retraite en louchant sur le spectacle désolant alors que ce qui était pour moi le plus désolant, c'était ces blancs impuissants, honteusement doublés dont je faisais parti. A aucun moment de ma vie je n'avais signé pour ça et la conclusion était la suivante: je n'étais plus chez moi... à vrai dire, je ne l'ai jamais été !
Il était là l'avenir de la France... le privilège remis à ceux qui n'hésiteront pas à jouer du coude, te mettre des coups de canif dans les entrailles pour simplement se faire une place au chaud dans le car.
La France altruiste, pacifiée, émasculée jusqu'à ce qu'enculades s'en suivent aura ses comptes à rendre face à la haute autorité islamique et ses blancs complices... l'addition rédigée à l'encre rouge commence à se faire plus lourde que le papier, nous refusons de nous ronger les ongles en attendant bobonne ou bien en faisant joujoue dans nos jardins de permaculture dans des coins reculés de la France type Gorges Soros du Verdon en attendant de devoir accepter, à notre tour, un enième quotat de migrant par pur esprit "républicain"... Le FN ? Une chimiothérapie sur un malade alité en soin paliatif. Certes, ça anime les passions que de voir un Philippot talentueux s'empifrer une Bourgeoise vieillissante botoxée type Mergault/Célarié sur la chaîne publique ou encore mettre K.O des journalistes à têtes de playmobiles privilégiés... mais ce genre d'euphorie ne fait vibrer que les campeurs de bistrots... le FN ne fera ni pousser des bébés blancs racialisés (dixit Bouteldja) et n'aura pas vocation à bricoler une arche de Traoré (remigration). Cependant par esprit de cohésion raciale, nous mettrons tous le bulletin du FN de manière symbolique pour l'honneur étant donné qu'il n'y a plus que ça à sauver.
À 4 heure précise, mon ami et moi sommes enfin montés dans le car derrière deux connasses à piercings surmaquillées qui avaient encore assez d'énergie pour entamer un concours de selfies.
En sortant du car, j'ai vomi sur mes pompes, ma tête pesait lourd, mes tempes étaient surgonflées et mes yeux se désolidarisaient de mes orbites. Mon larfeuille est tombé et ma carte d'identité également... la photo de ma carte me renvoyait tout ce que je pouvais avoir de plus naïf. À côté de cette même photo, je notais la mention suivante: "Citoyen Français".
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Un blog qui vaut le détour (28.01.17)
Un ami m'a passé le lien vers un excellent blog témoignage à propos de l'Ukraine que je me suis senti obligé de partager.
Lien vers le blog.
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Un blanc en banlieue Parisienne (20.01.17)
Quelques années après avoir quitté les Hauts-de-Seine pour un département un peu moins coloré mais toujours en banlieue (demi-white fly), mon père se contentait de ses 1664 assommantes, de son addiction aux somnifuges, de ses gitanes sans filtres tout en se fatiguant la semaine, à essayer de convaincre une clique de joueurs de belotte brancardiers Antillais à aller effectuer la tâche pour laquelle ils étaient gracieusement payés. Ma mère de son côté, travaillait dans un secteur en déclin et était donc passé des bureaux au convoyeur, le salaire gêlé. Autant dire que mes parents, épuisés de courir après la laborieuse clôture des fins de mois, la carte fidelité leader price en poche, étaient un peu démissionnaires de mon parcours scolaire et il valait mieux qu'ils se persuadent que l'éducation nationale arrondirait mes angles.
À la veille de mes 17 ans, en plein doute à propos de mon avenir, j'ai opté pour un choix hasardeux m'amenant à intégrer un lycée professionnel recueillant en son sein, tout le gratin des banlieues environnantes... tout ce que le multiculturalisme sur son coulis de caca libéral avait produit de pire. Booba était le chanteur du minaret du coin et les profs évitaient de parader dans les couloirs comme-ci ils avaient perpétuellement vécus dans les classes où ils enseignaient.
Au début de l'année, nous étions deux blancs parmi vingt élèves. Au fil des mois et de déscolarisations en déscolarisations, nous nous sommes retrouvés à deux sur quinze, puis en fin d'année à deux blancs sur dix, comme une course de fond inversée, c'était à la fin de l'année qu'on pouvait souffler. Les cours étaient des scènes de théâtre pas vraiment drôles à qui gagnerait au jeu du plus alpha, de la parade et des manières consistant à beugler et faire de grands gestes pour laisser comprendre aux autres qui a la plus grosse, en vérité exactement comme ces singes bombeurs de torses adeptes des démonstrations de force pour montrer aux autres mâles du groupe, qui est le plus dominant. Par rapport aux groupes de blancs, il y avait un engagement dans le rapport de force beaucoup plus accentué.
À la veille de mes 17 ans, en plein doute à propos de mon avenir, j'ai opté pour un choix hasardeux m'amenant à intégrer un lycée professionnel recueillant en son sein, tout le gratin des banlieues environnantes... tout ce que le multiculturalisme sur son coulis de caca libéral avait produit de pire. Booba était le chanteur du minaret du coin et les profs évitaient de parader dans les couloirs comme-ci ils avaient perpétuellement vécus dans les classes où ils enseignaient.
Au début de l'année, nous étions deux blancs parmi vingt élèves. Au fil des mois et de déscolarisations en déscolarisations, nous nous sommes retrouvés à deux sur quinze, puis en fin d'année à deux blancs sur dix, comme une course de fond inversée, c'était à la fin de l'année qu'on pouvait souffler. Les cours étaient des scènes de théâtre pas vraiment drôles à qui gagnerait au jeu du plus alpha, de la parade et des manières consistant à beugler et faire de grands gestes pour laisser comprendre aux autres qui a la plus grosse, en vérité exactement comme ces singes bombeurs de torses adeptes des démonstrations de force pour montrer aux autres mâles du groupe, qui est le plus dominant. Par rapport aux groupes de blancs, il y avait un engagement dans le rapport de force beaucoup plus accentué.
Certains profs étaient plus respectés que d'autres mais il suffisait qu'ils baissent la garde pour qu'ils se fassent bouffer, sans compter les petites enseignantes blanches jouant maladroitement leurs rôles autoritaires pour lesquels elles n'étaient naturellement pas taillées, la société leur faisant subtilement croire le contraire. Elles étaient tributaires du lourd fardeau de leur genre sexuel et de leur teint blanc... ces connes là n'osaient pas le prendre personnellement alors que c'était la base de tout le problème... elles croyaient naïvement représenter l'autorité suprême parce que la république dorloteuse leur avait gracieusement octroyée le titre de maîtresses d'écoles. Les "jeunes" n'en avaient rien à branler, ils se torchaient avec les codes républicains que tous les blancs avaient avalé.
Un jour, j'attendais patiemment mon tour pour aller manger dans ce qui ressemblait plus à une étable qu'une cantine quand je reçus un coup à l'arrière du crâne, je me suis instinctivement retourné et j'ai vu cinq noirs joués les apathiques innocents comme-ci rien ne s'était passé. La recette du double shot pour le babtou de banlieue ? Une claque sur le crâne et son extrait de réalité dans le domaine de la solidarité raciale... à boire coup sec.
Plus que blanc, j'étais blond, loin du physique d'un Portugais pouvant passablement passer entre les mailles du filet en se faisant passer épidermiquement pour un arabe... ça m'a permis de remettre sagement les concepts du racialisme au goût du jour, tous les midis en mangeant mon jambon beurre tout en ruminant ma rancoeur dans les bois pendant trois longues années interminables.
L'année suivante, un camarade musulman Algérien de ma classe me rejoignait tous les midi, je sentais qu'il en avait ras le cul de ces groupes pratiquant de concours de testo de banlieue, tandis que de mon côté, comme dans un centre de détention je savais qu'il faudrait que j'en dérouille un pour me faire un nom. La loi de la jungle.
Lui et moi avions trouvé notre propre remède en refaisant le monde à deux tout en bouffant nos sandwichs.
L'Islam est sans aucun doute un rempart traditionnel solide au libéralisme mais qui n'a tout simplement pas sa place en Europe.
Le jeu de la claque sur le crâne s'est renouvelé quand mon ami d'origine Portugaise s'est littéralement fait humilier dans le bus qui nous accompagnait à la gare, des trempes de cow-boy de Bamako claquaient à l'arrière de sa tête pendant que les autres se marraient comme des hyènes en furie, tout en enregistrant le supplice en vidéo. C'était la grande mode à l'époque.
Je me souviens que ces cons là avaient pour habitude de jouer les gratteurs dès lors où tu te ramenais avec un paquet de bonbon... mon camarade de classe blanc et moi avions donc acheté des dragibus qu'on avait uns à uns placés sur nos glands fromageux. Nous avons ensuite ouvert le paquet devant la masse marron-noirâtre qui semblait se palucher les tympans sur le son d'un de ces pleurnicheurs de tess aux disccours toujours plus victimaires. Il n'a pas fallu plus de cinq minutes pour que ces blaireaux jouent les Piranhas agités en se servant dans le paquet tout en me demandant la fausse permission à la fois. Le scénario était fiscellé. Après avoir commis leur méfait, mon ami, l'air maladroitement tragique, s'est pointé en leur montrant preuve à l'appuie en vidéo que les Dragibus étaient constitués de peau de porc. Sur quoi, ils ont immédiatement joués les pratiquants modèles en recrachant les bonbons comme des pucelles à qui on l'aurait mise trop profond pour leurs premières fois. Hmmmm le porc au goût de gland de kouffar...
Le bonbon si alléchant... comme ce morceau de sucre perché sur le sommet du gâteau capitaliste que tous les tiers mondistes Africains jouant les individus valeureux fantasment d'attraper du bout de leurs ongles crochus, l'air de ne jamais vouloir y toucher alors qu'ils en rêvent en cachette, ils lisent des versets en rêvant de putes et jacuzzis. Les musulmans qui en valent la peine sont restés en terre Islamique, ces gens là sont restés honnêtes avec eux même, n'ont pas troqué leur foi contre une ascension sociale et ont même reçu, il fut un temps, les lauriers de tonton...
L'Islam EN TERRE ISLAMIQUE est une fleur épanouie. Au détour d'une amourette d'été avec une Russe, j'ai été très agréablement surpris par le peuple Turc, j'y ai vu dans les rues d'Istanbul un peuple détendue, respectueux et respectable, franchement prêt à aider, sans tensions palpables et incivilités, un peuple traditionnel évoluant à l'écart de la tornade Américaine (finance internationale) emportant l'authenticité des nations à son passage. Aucun regard persistant ou geste déplacé alors que ma bombinette Russe et moi arpentions les rues de la capitale en large et en travers.
Pendant qu'à Istanbul en période de ramadan, le peuple apprécie le son du tambour religieux en se dévouant sans sous-entendus aux préceptes de l'Islam sur une terre légitime... en France, nos "musulmans" jouent les mines déconfites pour avoir des heures de taff à rabais en faisant le jeûne à reculons. C'est si difficile d'admettre que l'Islam bien compris doit être pratiqué sur un sol Islamique ou bien ils vont s'évertuer à vouloir appliquer la charia ? Cette dernière question est la motivation parfaitement logique de nos récents dynamités à barbe insatisfaits de vivre dans le jardin d'Eden du Sheitan, le bulbe ayant tourné au vinaigre parce qu'à force de lire des lignes prônant l'abstention en vivant dans une société permicide vouant un culte à la consommation... forcément... il y a de quoi devenir maboule. Au pire ils se feront martyr chez les gaulois ou au mieux ils transformeront le pays en califat.
J'ai également eu l'occasion de travailler avec des groupes de jeunes étudiants Marocains et Tunisiens, Je sentais que l'Islam légitime adoucit par les valeurs d'une société traditionnelle avait parfaitement lissé les bords, bieeeeeeeen loin des islamoccidentaux perdue dans leurs quêtes identitaires et spirituelles si nuisible à eux même ainsi qu'à la France.
Quelques années plus tard, désormais un peu plus robuste à tous les niveaux, j'ai eu le droit au "stéréotype" Aldo Steronien du quémandage de cigarette de la part d'un Maghrébin qui n'avait pas l'auto-destruction très souple, étant donné cette claque sur mon crâne qu'il m'a asséné après lui avoir mentionné que je n'avais pas de feu pour sa cigarette.
Je me suis repassé le film de mon adolescence dans la tête puis j'ai exulté en lui offrant un remake de la plus fameuse scène du film American History X sur le trottoir, devant le tabac du coin. Après une balayette bricolée, à plat ventre sur l'asphalte, j'étais le missionnaire punitif pour cette merde typique des quais de gare de France incapable d'avoir la sagesse de se laisser mourir dans un coin, la piquouze hallal dans le bras et le tout sans faire de bruits ni déranger son prochain. Marrant comme les pauvres gavroches Ukrainiens estropiés ont cent fois plus de raisons d'agresser et pourtant, ils ont cette faculté à se retenir quitte à tituber jusqu'à leurs derniers jours et dans l'ombre... d'ailleurs j'en ai vu un sortir vêtu de la tête au pied d'un grand sac plastique noir, deux hommes l'accompagnaient jusqu'à s dernière demeure. Le petit blanc se suicide ou meurt dans le silence pendant que l'autre fait chier en tentant d'emporter avec lui le plus grand nombre.
Son sang était mêlé à de la chair fraîchement décollée de ses lèvres et ses "pardon" transformés en "parfon" n'y pouvaient plus rien. J'avais vu et vécu trop de choses absurdes m'ayant pousser à vivre comme un hermite sur mon propre sol. J'en pouvais plus de nous voir dépérir. Pendant ce temps là mes propres blancs m'accusaient de racisme en mangeant des petits fours dans leurs appart' de souleveurs d'étudiantes Erasmus, les quequettes reluisantes dans ces petits cocons-quartiers bien entretenus à l'abri du moindre pet provenant d'un cul coloré.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Un jour, j'attendais patiemment mon tour pour aller manger dans ce qui ressemblait plus à une étable qu'une cantine quand je reçus un coup à l'arrière du crâne, je me suis instinctivement retourné et j'ai vu cinq noirs joués les apathiques innocents comme-ci rien ne s'était passé. La recette du double shot pour le babtou de banlieue ? Une claque sur le crâne et son extrait de réalité dans le domaine de la solidarité raciale... à boire coup sec.
Plus que blanc, j'étais blond, loin du physique d'un Portugais pouvant passablement passer entre les mailles du filet en se faisant passer épidermiquement pour un arabe... ça m'a permis de remettre sagement les concepts du racialisme au goût du jour, tous les midis en mangeant mon jambon beurre tout en ruminant ma rancoeur dans les bois pendant trois longues années interminables.
L'année suivante, un camarade musulman Algérien de ma classe me rejoignait tous les midi, je sentais qu'il en avait ras le cul de ces groupes pratiquant de concours de testo de banlieue, tandis que de mon côté, comme dans un centre de détention je savais qu'il faudrait que j'en dérouille un pour me faire un nom. La loi de la jungle.
Lui et moi avions trouvé notre propre remède en refaisant le monde à deux tout en bouffant nos sandwichs.
L'Islam est sans aucun doute un rempart traditionnel solide au libéralisme mais qui n'a tout simplement pas sa place en Europe.
Le jeu de la claque sur le crâne s'est renouvelé quand mon ami d'origine Portugaise s'est littéralement fait humilier dans le bus qui nous accompagnait à la gare, des trempes de cow-boy de Bamako claquaient à l'arrière de sa tête pendant que les autres se marraient comme des hyènes en furie, tout en enregistrant le supplice en vidéo. C'était la grande mode à l'époque.
Je me souviens que ces cons là avaient pour habitude de jouer les gratteurs dès lors où tu te ramenais avec un paquet de bonbon... mon camarade de classe blanc et moi avions donc acheté des dragibus qu'on avait uns à uns placés sur nos glands fromageux. Nous avons ensuite ouvert le paquet devant la masse marron-noirâtre qui semblait se palucher les tympans sur le son d'un de ces pleurnicheurs de tess aux disccours toujours plus victimaires. Il n'a pas fallu plus de cinq minutes pour que ces blaireaux jouent les Piranhas agités en se servant dans le paquet tout en me demandant la fausse permission à la fois. Le scénario était fiscellé. Après avoir commis leur méfait, mon ami, l'air maladroitement tragique, s'est pointé en leur montrant preuve à l'appuie en vidéo que les Dragibus étaient constitués de peau de porc. Sur quoi, ils ont immédiatement joués les pratiquants modèles en recrachant les bonbons comme des pucelles à qui on l'aurait mise trop profond pour leurs premières fois. Hmmmm le porc au goût de gland de kouffar...
Le bonbon si alléchant... comme ce morceau de sucre perché sur le sommet du gâteau capitaliste que tous les tiers mondistes Africains jouant les individus valeureux fantasment d'attraper du bout de leurs ongles crochus, l'air de ne jamais vouloir y toucher alors qu'ils en rêvent en cachette, ils lisent des versets en rêvant de putes et jacuzzis. Les musulmans qui en valent la peine sont restés en terre Islamique, ces gens là sont restés honnêtes avec eux même, n'ont pas troqué leur foi contre une ascension sociale et ont même reçu, il fut un temps, les lauriers de tonton...
L'Islam EN TERRE ISLAMIQUE est une fleur épanouie. Au détour d'une amourette d'été avec une Russe, j'ai été très agréablement surpris par le peuple Turc, j'y ai vu dans les rues d'Istanbul un peuple détendue, respectueux et respectable, franchement prêt à aider, sans tensions palpables et incivilités, un peuple traditionnel évoluant à l'écart de la tornade Américaine (finance internationale) emportant l'authenticité des nations à son passage. Aucun regard persistant ou geste déplacé alors que ma bombinette Russe et moi arpentions les rues de la capitale en large et en travers.
Pendant qu'à Istanbul en période de ramadan, le peuple apprécie le son du tambour religieux en se dévouant sans sous-entendus aux préceptes de l'Islam sur une terre légitime... en France, nos "musulmans" jouent les mines déconfites pour avoir des heures de taff à rabais en faisant le jeûne à reculons. C'est si difficile d'admettre que l'Islam bien compris doit être pratiqué sur un sol Islamique ou bien ils vont s'évertuer à vouloir appliquer la charia ? Cette dernière question est la motivation parfaitement logique de nos récents dynamités à barbe insatisfaits de vivre dans le jardin d'Eden du Sheitan, le bulbe ayant tourné au vinaigre parce qu'à force de lire des lignes prônant l'abstention en vivant dans une société permicide vouant un culte à la consommation... forcément... il y a de quoi devenir maboule. Au pire ils se feront martyr chez les gaulois ou au mieux ils transformeront le pays en califat.
J'ai également eu l'occasion de travailler avec des groupes de jeunes étudiants Marocains et Tunisiens, Je sentais que l'Islam légitime adoucit par les valeurs d'une société traditionnelle avait parfaitement lissé les bords, bieeeeeeeen loin des islamoccidentaux perdue dans leurs quêtes identitaires et spirituelles si nuisible à eux même ainsi qu'à la France.
Quelques années plus tard, désormais un peu plus robuste à tous les niveaux, j'ai eu le droit au "stéréotype" Aldo Steronien du quémandage de cigarette de la part d'un Maghrébin qui n'avait pas l'auto-destruction très souple, étant donné cette claque sur mon crâne qu'il m'a asséné après lui avoir mentionné que je n'avais pas de feu pour sa cigarette.
Je me suis repassé le film de mon adolescence dans la tête puis j'ai exulté en lui offrant un remake de la plus fameuse scène du film American History X sur le trottoir, devant le tabac du coin. Après une balayette bricolée, à plat ventre sur l'asphalte, j'étais le missionnaire punitif pour cette merde typique des quais de gare de France incapable d'avoir la sagesse de se laisser mourir dans un coin, la piquouze hallal dans le bras et le tout sans faire de bruits ni déranger son prochain. Marrant comme les pauvres gavroches Ukrainiens estropiés ont cent fois plus de raisons d'agresser et pourtant, ils ont cette faculté à se retenir quitte à tituber jusqu'à leurs derniers jours et dans l'ombre... d'ailleurs j'en ai vu un sortir vêtu de la tête au pied d'un grand sac plastique noir, deux hommes l'accompagnaient jusqu'à s dernière demeure. Le petit blanc se suicide ou meurt dans le silence pendant que l'autre fait chier en tentant d'emporter avec lui le plus grand nombre.
Son sang était mêlé à de la chair fraîchement décollée de ses lèvres et ses "pardon" transformés en "parfon" n'y pouvaient plus rien. J'avais vu et vécu trop de choses absurdes m'ayant pousser à vivre comme un hermite sur mon propre sol. J'en pouvais plus de nous voir dépérir. Pendant ce temps là mes propres blancs m'accusaient de racisme en mangeant des petits fours dans leurs appart' de souleveurs d'étudiantes Erasmus, les quequettes reluisantes dans ces petits cocons-quartiers bien entretenus à l'abri du moindre pet provenant d'un cul coloré.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
La France, ce bal des tartuffes (21.12.16)
Toutes ces chaînes Youtube regorgeant de gouttes de lait prêtes à faire la guerre sur internet pour finir par appuyer sur "échappe" confirme mon désespoir pour ce qui est de l'avenir en France. Tous les enterrés vivants adeptes de la culture canapé sont loin derrière les enragés ultra-natio du même age prêts à se livrer bouclier à la main, ici, contre les snipers de Maïdan. Aujourd'hui, le micro est tendu au petit con cynique Hanounesque grand adepte de la fils de putasserie parce que c'est "cool" et dans l'ère du temps, une tendance si propre à ce pays riche débordant d'une jeunesse arrogante torchée aux dollars et caressée par les nombreux avantages. Quand je vois les fils de discussions puant la tentative de rembourrage d'égo refletant le vide en matière de pleinitude affective à des kilomètres, j'ai peine à croire que le soleil puisse repointer son nez au dessus de l'hexagone un jour. Ces même petits blancs, élevés à la batardise sans vergogne sentent les futurs démarcheurs téléphoniques prêts à escroquer des fonds de pension retraite à ce vieux grand père que vous avez honte d'avoir oublié, en lui faisant croire aux mille et un miracle de la bourse aux options binaires fructueuses. Autant dire que de la racaille noir/beurre au petit étron blanc libéral, mon coeur ne balançe pas, un peloton et puis s'en va...
Toutefois, vous êtes peut être ce rare jeune blanc tentant de se dépatouiller de tout ce cirque qui ne vous ressemble pas, vous sentez cette gène aussi bien qu'une écharde dans le pied. Si vous la sentez c'est que votre âme est encore intact et que votre instinct marche encore.
Rassurez vous, vous êtes à demi responsables... tout a été fait pour retrancher le petit blanc sur lui même, le complaire dans une certaine léthargie en le gavant de confort et de plaisirs factices pour que l'élite puisse commettre son méfait en douce. Vous êtes sous GHB et la grande claque racialiste est là pour vous réveiller. L'élite sait que le blanc peut être majestueux pour le peu qu'il décide à se mettre à articuler ses projets pour la cause de sa race... ils l'ont même eu mauvaise à ce sujet à une certaine période de l'histoire pas si éloignée que ça...
La réalité aura raison de ces petits culs blancs lorsqu'ils s'aperceveront que les autres, ces "Français" colorés, respectant le principe de la prédation viscéralement Africaine où le plus fort mange le plus faible, n'ont pas oublié de se réunir en redéfinissant le mot "communauté" au goût du jour...
Les cafés pleins de gaulois d'autrefois, ouvriers grandes gueules charismatiques naturellement fait pour l'épicure et la saucissonade faisant de Paris ce joyaux populaire qui n'est plus qu'un vieux souvenir enterré si pieds sous terre aujourd'hui, ont été remplacé par une clientèle d'arabes écorchés par les bas fonds du salariat se sentant coupable de trahir le "livre sacré" au profit de l'effort ingrat moderne, le tout enrobé d'une garrot, une binouze et de quelques jeux de hasards quotidien... ça se saurait si Mohamed pouvait endossé le costume d'Asterix le gaulois... les voilà qu'ils se mentent à lui même, tantôt muslim tantôt païens. Le bal des tartuffes à commencer depuis bien longtemps, du noir au rebeu en finissant par le blanc, autant dire qu'il n'y a pas plus de Français que de musulmans authentiques dans cet hexagone où l'élite se délecte de vos joutes à tous.
Du point de vu scientifique (on peut difficilement lutter) la testostérone au max et le QI à rabais, vous devinerez que la remise en question ne sera jamais le genre de la maison et que la sirène annonçant les premières étincelles se fera naturellement retentir à un moment donné ou à un autre... de ce fait ils resteront à jamais ces musulmans *"modérés" qui n'oublieront pas d'exalter leurs sentiments de culpabilité sur vos petites tronches blanchâtres fragilisés et isolées représentant épidermiquement le sheitan qu'ils n'en peuvent plus de cotoyer et subir au quotidien. Sans même parler d'une représaille physique ou morale (bien qu'elle soit à la mode depuis toujours et ira de mal en pis) je parle de cette impression qui flotte dans l'air vous harcelant perpétuellement en vous poussant vous, le blanc à l'instinct qui marche, aux crises d'agoraphobie chroniques.
*modéré étant, en fin de compte, la définition édulcoré du musulman libéral *oxymore* ayant troqué sa foi pour une commission à gratter dans le carcan capitaliste.
Les médiocres ne s'entendent qu'entre eux, voilà pourquoi tout ce bordel marron caca doigt semble tout à fait normal pour le blanc gauchisé, le musulman tartuffe et le bamboulito black live hater. Tout ce joli petit monde a été évincé de sa substance originelle, paralysé et graveleusement comblé d'idées libérales mgnifiées par le super-capitalisme les poussant à croire, que la teinte de notre monde aux couleurs homogéiniquement réparties depuis des milliers d'années pouvait être subitement chamboulée. Vous la voulez votre égalité et la réconciliation ? Alors repensez les principes de la remigration en laissant pour compte nos maîtres qui ne sauront plus quoi penser de cette mutinerie populaire. Vous ne pouvez pas pensez à mettre à genoux le capitalisme libéral tant que vous serez le maillon de sa propre chaîne au même titre qu'on ne peut pas se plaindre des écarts intolérables de sa propre femme tant qu'on ne l'a pas quitté comme le ferait un homme digne, parfaitement en phase avec ses principes. Il est grand temps d'agir, de revoir ses prétentions à la baisse pour renouer avec le charnel, le divin et de fonder... le foyer blanc !
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Toutefois, vous êtes peut être ce rare jeune blanc tentant de se dépatouiller de tout ce cirque qui ne vous ressemble pas, vous sentez cette gène aussi bien qu'une écharde dans le pied. Si vous la sentez c'est que votre âme est encore intact et que votre instinct marche encore.
Rassurez vous, vous êtes à demi responsables... tout a été fait pour retrancher le petit blanc sur lui même, le complaire dans une certaine léthargie en le gavant de confort et de plaisirs factices pour que l'élite puisse commettre son méfait en douce. Vous êtes sous GHB et la grande claque racialiste est là pour vous réveiller. L'élite sait que le blanc peut être majestueux pour le peu qu'il décide à se mettre à articuler ses projets pour la cause de sa race... ils l'ont même eu mauvaise à ce sujet à une certaine période de l'histoire pas si éloignée que ça...
La réalité aura raison de ces petits culs blancs lorsqu'ils s'aperceveront que les autres, ces "Français" colorés, respectant le principe de la prédation viscéralement Africaine où le plus fort mange le plus faible, n'ont pas oublié de se réunir en redéfinissant le mot "communauté" au goût du jour...
Les cafés pleins de gaulois d'autrefois, ouvriers grandes gueules charismatiques naturellement fait pour l'épicure et la saucissonade faisant de Paris ce joyaux populaire qui n'est plus qu'un vieux souvenir enterré si pieds sous terre aujourd'hui, ont été remplacé par une clientèle d'arabes écorchés par les bas fonds du salariat se sentant coupable de trahir le "livre sacré" au profit de l'effort ingrat moderne, le tout enrobé d'une garrot, une binouze et de quelques jeux de hasards quotidien... ça se saurait si Mohamed pouvait endossé le costume d'Asterix le gaulois... les voilà qu'ils se mentent à lui même, tantôt muslim tantôt païens. Le bal des tartuffes à commencer depuis bien longtemps, du noir au rebeu en finissant par le blanc, autant dire qu'il n'y a pas plus de Français que de musulmans authentiques dans cet hexagone où l'élite se délecte de vos joutes à tous.
Du point de vu scientifique (on peut difficilement lutter) la testostérone au max et le QI à rabais, vous devinerez que la remise en question ne sera jamais le genre de la maison et que la sirène annonçant les premières étincelles se fera naturellement retentir à un moment donné ou à un autre... de ce fait ils resteront à jamais ces musulmans *"modérés" qui n'oublieront pas d'exalter leurs sentiments de culpabilité sur vos petites tronches blanchâtres fragilisés et isolées représentant épidermiquement le sheitan qu'ils n'en peuvent plus de cotoyer et subir au quotidien. Sans même parler d'une représaille physique ou morale (bien qu'elle soit à la mode depuis toujours et ira de mal en pis) je parle de cette impression qui flotte dans l'air vous harcelant perpétuellement en vous poussant vous, le blanc à l'instinct qui marche, aux crises d'agoraphobie chroniques.
*modéré étant, en fin de compte, la définition édulcoré du musulman libéral *oxymore* ayant troqué sa foi pour une commission à gratter dans le carcan capitaliste.
Les médiocres ne s'entendent qu'entre eux, voilà pourquoi tout ce bordel marron caca doigt semble tout à fait normal pour le blanc gauchisé, le musulman tartuffe et le bamboulito black live hater. Tout ce joli petit monde a été évincé de sa substance originelle, paralysé et graveleusement comblé d'idées libérales mgnifiées par le super-capitalisme les poussant à croire, que la teinte de notre monde aux couleurs homogéiniquement réparties depuis des milliers d'années pouvait être subitement chamboulée. Vous la voulez votre égalité et la réconciliation ? Alors repensez les principes de la remigration en laissant pour compte nos maîtres qui ne sauront plus quoi penser de cette mutinerie populaire. Vous ne pouvez pas pensez à mettre à genoux le capitalisme libéral tant que vous serez le maillon de sa propre chaîne au même titre qu'on ne peut pas se plaindre des écarts intolérables de sa propre femme tant qu'on ne l'a pas quitté comme le ferait un homme digne, parfaitement en phase avec ses principes. Il est grand temps d'agir, de revoir ses prétentions à la baisse pour renouer avec le charnel, le divin et de fonder... le foyer blanc !
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Votre mission pour sauver l'Europe: Faire pleins de bébés blancs élevés au racialisme (01.12.16)
Pendant que les petits libéraux blancs se branlent sur des sujets futiles en recommencant 10 fois leurs parties de Call of Duty... les aficionados nationalistes-racialistes comme nous le savent... la démographie ne joue pas pour nous et autant dire que le processus est encouragé par les plans d'immigrations massifs. Sans compter la négrification du morveux blanc qui sera fier de dandiner son cul sur des sons prétenduement bons, validés par le lobby du show biz, mitraillant ainsi les tympans de la jeunesse blanche à base de Kaaris, black M ou d'un enième "chanteur" arabo-négro-onsaitplustrop provenant du bronx-socialiste oxymorien énervé. Une jeunesse blanche forcée de croire que le personnage publique préféré des Français est un noir aux lèvres géantes poussant un handicapée en chaise roulante ou bien encore que le dernier artisan boulanger plaqué or n'est autre qu'un Somalien, le sable chaud encore planqué sous les ongles, le tout fraîchement débarqué. Nous sommes des descendants d'artisans blancs ayant posé les premières pierres pour bâtir les plus beaux édifices, insuflant ainsi au sein des villes une culture singulière enviée du monde entier... les Japonais se ruinent pour venir le voir et tombent en dépression profonde après le constat de la farce.
Le décor est planté... nous vivons dans un système prenant plaisir à nous faire croire que la bougnoulisation sur son lit chocolat noir est une pâtisserie délicate et raffinée de fin gourmet... faut dire que le terrain est parfaitement nivelé étant donné que le nouveau Français blanc aura les sens aussi trahis qu'un consommateur Américain étouffé par ses propres bourlets, le cervelet doppé aux bulles de coca. Heureusement qu'internet leur échappe et que la raison prolétarienne marchant en parfaite symbiose avec nos doigts cavalant sur nos clavier est là pour remettre le crucifix à l'endroit. Qu'on soit clair, ce ne sont pas des nantis multi-milionnaire multi-couleurs se taillant des pipes au caviar vivant dans des quartiers à l'abri des kebabs, coincés entre des Chardonnays et des femmes noires filles de diplomates, qui vont nous dire à nous, les vas-nu-pieds blancs du "ter-ter" ayant fait le dos rond entre des profs gauchos et des racailles Cortexiennes, quels genres de culs on va devoir lécher... Du haut de nos 30 ans d'expérience dans le merveilleux monde multiculturel, la conclusion est la suivante: la médiocrité tiers-mondiste à grosse testostérone et petit QI hisse le peuple blanc vers le bas. Alain Soral, le vétéran du logos faisant désormais dans le patos coranique et Fréderic Delavier le protéiné narcissique Hongrois soldat de dixième ligne, ont leurs culs serainement posé sur leurs rentes pendant que le blanc moyen épris de crises d'agoraphobie chronique se sentira coupable d'admettre qu'il est devenu un étranger dans son propre milieu. Oh pardon que dis-je... la France est à tout le monde, n'est-ce pas ? Oui elle est à tout le monde, voilà pourquoi elle n'est plus à nous.
Ici en Ukraine, j'ai une bonne nouvelle pour vous mes amis misérables blancs... hier encore, mon ami Français me parlait de sa femme Ukrainienne et de ses désirs insatiables d'enfants. La mienne, Ukrainienne également, profite de ses pauses déjeuner au boulot pour rêver d'une vie de mère de famille plutôt que d'une quelconque ascension sociale fantasmée. Vous la sentez l'opportunité de regarnir l'Europe d'une blancheur émerite ? À presque 30 ans et l'utérus vide, elle a l'impression d'insulter la vie... comme une fleur, tu dois venir la cueillir, il en va du devoir moral et divin. Nos enfants joueront ensemble tout en bourgeonnant sous le souffle chaud de l'ultra-nationalisme ordonné, autant dire que ça chiera droit dans nos jardins enchantés à l'abri du fumier socialiste.
Ici, d'inombrables ventres plats blancs sont à combler, de cette manière les docteurs aux mains blanches nous tendrons nos futurs miliciens façon Simba face au soleil, pour le plus grand bonheur de notre race et de la revigoration de l'Europe. Halte aux bites-en-feux des mouroirs Français, les adeptes du "venir, jouir et partir". Après quelques coups de reins, je suis confiant, la nature vous rappelera à l'ordre dans vos élans de blancs cons-sommateurs. Après tout, vous êtes les ambassadeurs du magnifique. J'ai pleinement confiance en vous. Vous réviserez votre logiciel dès lors où Olena vous avouera n'avoir qu'un seul désir, celui de vous faire des gâteaux et des marmots. Signalons au passage que les ultra-nationalistes humilient et punissent sévèrement (physiquement) les adeptes du tourisme sexuel... venez testez... chiche ? Je suis même prêt à vous payer le billet <3 Vous devez à tout prix venir redorer ces foyers à prix modiques et offrir l'opportunité à toutes ces femmes blanches et bienveillantes de resplendir tout en remplissant ce rôle magistral que les lois de la nature leur ont offert, celui de devenir une mère ! Une mère n'ayant qu'un but dans la vie... vous faire jouir en pressant l'oreiller comme le mérite l'homme respectable, comme pour vous remercier de lui avoir permis de perpétuer son espèce, sa race et ainsi pour vous, de prolonger la splendeur Européenne dans tout ce qu'elle a de plus merveilleux à offrir (la mère traditionnelle est une formidable révolutionnaire qui s'ignore).
Là bas, à libéralisme-land, vous le savez aussi bien que moi, vous êtes des explorateurs sans buts, vous arpentez les milieux sans y trouver votre place tout en vous souciant d'un destin à venir sous l'ombre de la précarité absolue... les seules femmes qui vous adressent la parole sont celles qui vous demande des clopes ou bien celles qui fantasment à l'idée de vous donner des ordres. Le blanc de banlieue n'est pas un enragé du micro car sa modestie le pousse à souffrir en silence. Il est le goy gueux par excellence. Nous mettons pour l'instant nos efforts envers les contributions artistiques, les mains posés sur les tempes comme des boxeurs ruminant dans les vestiaires... nous le sentons, il va falloir faire quelque chose et préparer le terrain avant de monter sur le ring, pendant que le concurrent prend plaisir à se moquer de nous au beau milieu d'une foule en délire. Les milliers de poules et teckels aboient et gloussent pendant que l'ours se taille les griffes.
Pendant ce temps là, dans les banlieues de Kiev, des petites sirènes blanches font la moue parce qu'elles dorment seules dans des lits doubles chez leurs mamans qui n'attendent qu'une chose, que leurs filles soient heureuses et se hissent à la tête d'une famille composée d'enfants perpétuant la lignée. La pauvreté chrétienne nourrit les valeurs et dynamise l'instinct. Le regard miséricordieux de ces petites gens attise la jalousie du peuple libéral, qui lui est à la limite de se casser la gueule du haut de son escabaut bancal tout en strass aux mille options, jamais honteux de courir après les illusions du bonheur. Dieu, le sursaut païen, appelez ça comme vous voulez... fait son ménage quotidien ici. La misère, la guerre sont des gifles invisibles à la gueule des individus souhaitant se réfugier dans les futilités. Redéfinissons le mot "investissement" et employons nos efforts là où ils seront appréciés à leurs justes valeurs.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Le décor est planté... nous vivons dans un système prenant plaisir à nous faire croire que la bougnoulisation sur son lit chocolat noir est une pâtisserie délicate et raffinée de fin gourmet... faut dire que le terrain est parfaitement nivelé étant donné que le nouveau Français blanc aura les sens aussi trahis qu'un consommateur Américain étouffé par ses propres bourlets, le cervelet doppé aux bulles de coca. Heureusement qu'internet leur échappe et que la raison prolétarienne marchant en parfaite symbiose avec nos doigts cavalant sur nos clavier est là pour remettre le crucifix à l'endroit. Qu'on soit clair, ce ne sont pas des nantis multi-milionnaire multi-couleurs se taillant des pipes au caviar vivant dans des quartiers à l'abri des kebabs, coincés entre des Chardonnays et des femmes noires filles de diplomates, qui vont nous dire à nous, les vas-nu-pieds blancs du "ter-ter" ayant fait le dos rond entre des profs gauchos et des racailles Cortexiennes, quels genres de culs on va devoir lécher... Du haut de nos 30 ans d'expérience dans le merveilleux monde multiculturel, la conclusion est la suivante: la médiocrité tiers-mondiste à grosse testostérone et petit QI hisse le peuple blanc vers le bas. Alain Soral, le vétéran du logos faisant désormais dans le patos coranique et Fréderic Delavier le protéiné narcissique Hongrois soldat de dixième ligne, ont leurs culs serainement posé sur leurs rentes pendant que le blanc moyen épris de crises d'agoraphobie chronique se sentira coupable d'admettre qu'il est devenu un étranger dans son propre milieu. Oh pardon que dis-je... la France est à tout le monde, n'est-ce pas ? Oui elle est à tout le monde, voilà pourquoi elle n'est plus à nous.
Ici en Ukraine, j'ai une bonne nouvelle pour vous mes amis misérables blancs... hier encore, mon ami Français me parlait de sa femme Ukrainienne et de ses désirs insatiables d'enfants. La mienne, Ukrainienne également, profite de ses pauses déjeuner au boulot pour rêver d'une vie de mère de famille plutôt que d'une quelconque ascension sociale fantasmée. Vous la sentez l'opportunité de regarnir l'Europe d'une blancheur émerite ? À presque 30 ans et l'utérus vide, elle a l'impression d'insulter la vie... comme une fleur, tu dois venir la cueillir, il en va du devoir moral et divin. Nos enfants joueront ensemble tout en bourgeonnant sous le souffle chaud de l'ultra-nationalisme ordonné, autant dire que ça chiera droit dans nos jardins enchantés à l'abri du fumier socialiste.
Ici, d'inombrables ventres plats blancs sont à combler, de cette manière les docteurs aux mains blanches nous tendrons nos futurs miliciens façon Simba face au soleil, pour le plus grand bonheur de notre race et de la revigoration de l'Europe. Halte aux bites-en-feux des mouroirs Français, les adeptes du "venir, jouir et partir". Après quelques coups de reins, je suis confiant, la nature vous rappelera à l'ordre dans vos élans de blancs cons-sommateurs. Après tout, vous êtes les ambassadeurs du magnifique. J'ai pleinement confiance en vous. Vous réviserez votre logiciel dès lors où Olena vous avouera n'avoir qu'un seul désir, celui de vous faire des gâteaux et des marmots. Signalons au passage que les ultra-nationalistes humilient et punissent sévèrement (physiquement) les adeptes du tourisme sexuel... venez testez... chiche ? Je suis même prêt à vous payer le billet <3 Vous devez à tout prix venir redorer ces foyers à prix modiques et offrir l'opportunité à toutes ces femmes blanches et bienveillantes de resplendir tout en remplissant ce rôle magistral que les lois de la nature leur ont offert, celui de devenir une mère ! Une mère n'ayant qu'un but dans la vie... vous faire jouir en pressant l'oreiller comme le mérite l'homme respectable, comme pour vous remercier de lui avoir permis de perpétuer son espèce, sa race et ainsi pour vous, de prolonger la splendeur Européenne dans tout ce qu'elle a de plus merveilleux à offrir (la mère traditionnelle est une formidable révolutionnaire qui s'ignore).
Là bas, à libéralisme-land, vous le savez aussi bien que moi, vous êtes des explorateurs sans buts, vous arpentez les milieux sans y trouver votre place tout en vous souciant d'un destin à venir sous l'ombre de la précarité absolue... les seules femmes qui vous adressent la parole sont celles qui vous demande des clopes ou bien celles qui fantasment à l'idée de vous donner des ordres. Le blanc de banlieue n'est pas un enragé du micro car sa modestie le pousse à souffrir en silence. Il est le goy gueux par excellence. Nous mettons pour l'instant nos efforts envers les contributions artistiques, les mains posés sur les tempes comme des boxeurs ruminant dans les vestiaires... nous le sentons, il va falloir faire quelque chose et préparer le terrain avant de monter sur le ring, pendant que le concurrent prend plaisir à se moquer de nous au beau milieu d'une foule en délire. Les milliers de poules et teckels aboient et gloussent pendant que l'ours se taille les griffes.
Pendant ce temps là, dans les banlieues de Kiev, des petites sirènes blanches font la moue parce qu'elles dorment seules dans des lits doubles chez leurs mamans qui n'attendent qu'une chose, que leurs filles soient heureuses et se hissent à la tête d'une famille composée d'enfants perpétuant la lignée. La pauvreté chrétienne nourrit les valeurs et dynamise l'instinct. Le regard miséricordieux de ces petites gens attise la jalousie du peuple libéral, qui lui est à la limite de se casser la gueule du haut de son escabaut bancal tout en strass aux mille options, jamais honteux de courir après les illusions du bonheur. Dieu, le sursaut païen, appelez ça comme vous voulez... fait son ménage quotidien ici. La misère, la guerre sont des gifles invisibles à la gueule des individus souhaitant se réfugier dans les futilités. Redéfinissons le mot "investissement" et employons nos efforts là où ils seront appréciés à leurs justes valeurs.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
"Mais comment qu'on fait pour bosser en Ukraine ?" (26.11.16)
Il est quand même dingue de constater que le blanc moyen de France se demande encore "mais comment qu'on fait pour bosser en Ukraine ?" alors que le parasite du tiers monde en aura rien à branler et nous sucera jusqu'à l'os sans état d'âme, sa bite, son couteau à la main et le cul prêt à se faire torcher par la monnaie du peuple Européen. "Oui mais c'est la guerre chez lui sépapareille !" ah... et toi, tu la sens pas la guerre latente à moisir sur ta petite chaise acheté sur leboncoin parce que trop cher ailleurs ? Cette guerre de harcèlement économique te mettant sans cesse des upercuts dans les cotes, à toi le petit Franchouillard benêt.
Il y a vraiment que le blanc, les pieds pris dans les lacets de ses réflexions protoclaires, pour se retrancher dans le confort salarial usurpateur alors que l'on parle de remettre au goût du jour une aventure humaine collective enrichissante, ici en Ukraine. Pas que je veuille jouer l'alpha pour briller par effet de contraste mais... où sont passés vos couilles ? Celles qui sont censé normalement vous servir de dynamo pour doper vos élans aventureux ?
Les grands aventuriers Européens, nos aïeux draguant d'autres blanches dans nos jardins à la Française, amants redoutés de tous et adulés de toutes, acculés par la notion d'aventure caractérisant si bien notre nation... doivent vraiment se foutre de nos gueules tout là haut et à l'heure qu'il est...
Qu'on soit clair, il ne s'agit pas d'aller jouer les ermites façon "Into the wild" et de manger les pissenlits par la racine parce que "c'est cool" et dans l'ère du temps. Il s'agira bien de retourner la logique capitaliste à ton propre avantage, toi le petit blanc prolo "privilégié".
On te parle de mondialisation aboutissant à l'ouverture des frontières de la zone Schengen ? Très bien... exporte donc ta misérable carcasse dévaluée dans un pays te permettant de t'offrir un plumard à rabais tout en appréciant les valeurs sociales que le blizzard capitaliste de notre élite a totalement ravagé sur son passage.
On te parle de socialisme et d'aide aux plus démunis ? À toi de faire valoir tes droits car tu es... (roulements de tambours) Français.
Ici, en France, trouves toi un boulot de planqué dans le genre canaille Antillaise de manière à ce que le ratio responsabilité / salaire soit respecté, fais le dos rond, le renard des surfaces pendant quelques mois et arrête de jouer la bonne poire cravacheuse pour engrosser le néant, t'y laissera des plumes et tu termineras sur le carreau.
Retourne donc chez papa maman, nos anciens ont plus besoin de nous que nos grognasses pourries gâtées en ces temps de récession économique ! Ces connes doivent comprendre la notion de "rédemption par le chaos" (la testostérone des maghrébo-africains nous donnera raison sur le très (très?) long terme) et à force de ne plus vouloir faire d'enfants, elles périront par elles même, pendant que nous, nous aurons enfournés nos brioches ultra-nationaliste et racialistes dans nos Natasha et Olga, le tout dans des foyers protégés par l'aura bienveillant de la famille bénite. Tu la sens l'euphorie de la véracité palpiter en toi maintenant ? Bon...
Tu peux également faire de la colocation dans une ville de taille moyenne en France tout en harcelant parallèlement les boites d'interim ou bien encore faire des boulots saisonniers logés, bref... je vais pas commencer à jouer les assistantes sociales, la mini jupe ne me va pas très bien...
On dit qu'il y a du chômage en France mais il y a surtout une bonne grosse clique de feignasses, d'analphabètes et de connards endormis sur leurs manettes adeptes de la culture canapé-chips-coca... ça te laisse un champs libre majestueux te permettant facilement de devenir la rose clinquante au milieu des orties, pour le peu que tu sois pas trop con et que tu prennes ta douche quand il faut...
Profites en pour mettre un max de thunes de côté ! Plus personne ne t'attend en France, à part ta maman se posant sans cesse légitimement des questions sur ta sexualité et une vieille tante habituée aux questions fâcheuses.
Ici en Ukraine, la pauvreté accule le peuple au pied du mur de la modestie. Le cappuccino accompagné de son muffin au chocolat engendre tout de suite un regard étoilé, contrairement à nos éternels adeptes du rituel café-clope express pressés de courir après le plaisir factice. Consomme de manière intelligente et épargne du mieux possible. Quand je vois les vils appels d'offres des devantures de kebabs offrant le savoureux projet d'engraisser la masse blanche (le reste on s'en fou) pour une formule à 10 euros en France (et ça marche), je pense parallèlement au projet café-dessert issu d'un rendez vous avec une jument blanche parfaitement manucurée ravivant ma virilité pour moitié moins cher, ici à Kiev. Le slogan du consommateur abruti tient du "carpe diem", il jouit dans l'instant présent pendant que toi, tu vois le mur venir en misant sur les compromis. Ils se mettent tous quotidiennement une balle dans le pied pendant que tu polisses un futur scintillant calqué sur ton idéal.
Conclusion, arrêtez donc de nous demander "mais comment qu'on fait pour bosser en Ukraine ?" à la recherche d'une formule toute faite et permutez efficacement vos avantages en prenant, au minimum, le fait de venir ici comme une aventure salvatrice pouvant bien être le déclencheur de multiples inventions. Comme tout projet avant-gardistes, nous avons des idées et en discutons très souvent ensemble.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Il y a vraiment que le blanc, les pieds pris dans les lacets de ses réflexions protoclaires, pour se retrancher dans le confort salarial usurpateur alors que l'on parle de remettre au goût du jour une aventure humaine collective enrichissante, ici en Ukraine. Pas que je veuille jouer l'alpha pour briller par effet de contraste mais... où sont passés vos couilles ? Celles qui sont censé normalement vous servir de dynamo pour doper vos élans aventureux ?
Les grands aventuriers Européens, nos aïeux draguant d'autres blanches dans nos jardins à la Française, amants redoutés de tous et adulés de toutes, acculés par la notion d'aventure caractérisant si bien notre nation... doivent vraiment se foutre de nos gueules tout là haut et à l'heure qu'il est...
Qu'on soit clair, il ne s'agit pas d'aller jouer les ermites façon "Into the wild" et de manger les pissenlits par la racine parce que "c'est cool" et dans l'ère du temps. Il s'agira bien de retourner la logique capitaliste à ton propre avantage, toi le petit blanc prolo "privilégié".
On te parle de mondialisation aboutissant à l'ouverture des frontières de la zone Schengen ? Très bien... exporte donc ta misérable carcasse dévaluée dans un pays te permettant de t'offrir un plumard à rabais tout en appréciant les valeurs sociales que le blizzard capitaliste de notre élite a totalement ravagé sur son passage.
On te parle de socialisme et d'aide aux plus démunis ? À toi de faire valoir tes droits car tu es... (roulements de tambours) Français.
Ici, en France, trouves toi un boulot de planqué dans le genre canaille Antillaise de manière à ce que le ratio responsabilité / salaire soit respecté, fais le dos rond, le renard des surfaces pendant quelques mois et arrête de jouer la bonne poire cravacheuse pour engrosser le néant, t'y laissera des plumes et tu termineras sur le carreau.
Retourne donc chez papa maman, nos anciens ont plus besoin de nous que nos grognasses pourries gâtées en ces temps de récession économique ! Ces connes doivent comprendre la notion de "rédemption par le chaos" (la testostérone des maghrébo-africains nous donnera raison sur le très (très?) long terme) et à force de ne plus vouloir faire d'enfants, elles périront par elles même, pendant que nous, nous aurons enfournés nos brioches ultra-nationaliste et racialistes dans nos Natasha et Olga, le tout dans des foyers protégés par l'aura bienveillant de la famille bénite. Tu la sens l'euphorie de la véracité palpiter en toi maintenant ? Bon...
Tu peux également faire de la colocation dans une ville de taille moyenne en France tout en harcelant parallèlement les boites d'interim ou bien encore faire des boulots saisonniers logés, bref... je vais pas commencer à jouer les assistantes sociales, la mini jupe ne me va pas très bien...
On dit qu'il y a du chômage en France mais il y a surtout une bonne grosse clique de feignasses, d'analphabètes et de connards endormis sur leurs manettes adeptes de la culture canapé-chips-coca... ça te laisse un champs libre majestueux te permettant facilement de devenir la rose clinquante au milieu des orties, pour le peu que tu sois pas trop con et que tu prennes ta douche quand il faut...
Profites en pour mettre un max de thunes de côté ! Plus personne ne t'attend en France, à part ta maman se posant sans cesse légitimement des questions sur ta sexualité et une vieille tante habituée aux questions fâcheuses.
Ici en Ukraine, la pauvreté accule le peuple au pied du mur de la modestie. Le cappuccino accompagné de son muffin au chocolat engendre tout de suite un regard étoilé, contrairement à nos éternels adeptes du rituel café-clope express pressés de courir après le plaisir factice. Consomme de manière intelligente et épargne du mieux possible. Quand je vois les vils appels d'offres des devantures de kebabs offrant le savoureux projet d'engraisser la masse blanche (le reste on s'en fou) pour une formule à 10 euros en France (et ça marche), je pense parallèlement au projet café-dessert issu d'un rendez vous avec une jument blanche parfaitement manucurée ravivant ma virilité pour moitié moins cher, ici à Kiev. Le slogan du consommateur abruti tient du "carpe diem", il jouit dans l'instant présent pendant que toi, tu vois le mur venir en misant sur les compromis. Ils se mettent tous quotidiennement une balle dans le pied pendant que tu polisses un futur scintillant calqué sur ton idéal.
Conclusion, arrêtez donc de nous demander "mais comment qu'on fait pour bosser en Ukraine ?" à la recherche d'une formule toute faite et permutez efficacement vos avantages en prenant, au minimum, le fait de venir ici comme une aventure salvatrice pouvant bien être le déclencheur de multiples inventions. Comme tout projet avant-gardistes, nous avons des idées et en discutons très souvent ensemble.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
(Nostalgie) La négrification de mon meilleur ami (25.11.16)
À la fin des années 90, j'ai le souvenir de quelques étés brûlants au coeur des quartiers d'une ville portant de manière sarcastique le nom d'un oiseau se voulant être l'emblème de la paix et de la pureté... Colombes dans les hauts-de-seine. Je jouais au foot avec mes petits camarades multicouleurs à un âge où la question de la race, de l'esprit communautaire est encore un plan de seconde zone. En pleine période des heures de gloire de Jordy, j'étais le petit blond que toutes les petites rabzouzettes voulaient coiffer durant les récrés. J'ai le souvenir des doigts délicats d'une certaine Sonia me procurant mes premières érections - comme quoi les premiers balbutiements du multiculturalisme peuvent commencer très tôt - forcément quand tu manges un blédina au chef en regardant Aladdin, autrement dit un arabe se la jouant latino romantique (lol), du haut de ton petit mètre 20 t'es forcé d'y croire ne serait-ce qu'un tout petit peu...
À l'époque déjà, le quotat des 3 blancs pour 10 Africains était d'actualité. Les musulmans se voulaient "lights", funky comme la "funky family" le chantait et semblaient propager une saveur des contes des mille et une nuits dans les quartiers, comme un couscous sans piment à apprécier du bout de la fourchette. La schizophrénie du Français blanc était palpable.
Le blanc des quartiers devait se montrer sympathique, tolérant et ouvert d'esprit envers Moustapha son voisin de palier puis d'un coup devenir gueulard en crachant sa bave couleur écume de bouldogue Français vieillissant envers le bougnoule envahisseur, les yeux rivés devant un reportage TF1 le verre de ricard à la main... le blanc était capable d'aller à son boulot merdique les bras sur le volant de sa 306, rêver d'une vie en autarcie entre individus de sa race tout en appréciant un "Aïcha de Khaled".
Le blanc pouvait éprouver de la haine pour le parasite basané mais tout de même apprécier le film "la Haine" et y trouver dans les bras de "Saïd Tagmaoui" et "Vincent Cassel" un certain apaisement... le processus de la tolérance à demi-avouée était comme ce petit mal de gorge insoupçonné annonçant la tumeur maligne... le vers était dans le fruit et le renard en djellaba se faisait sa place au chaud dans le poulailler Français.
Ma famille et moi avons par la suite déménagé en banlieue Est de Paris, dans une région qui, selon la légende se voulait plus verte et plus blanche, c'était sans doute le cas à l'époque...
Les rues étaient désertiques et comblées de quelques papiers volants comme dans ces vieux western à la bande son vous tirant les paupières vers le bas.
J'étais désormais loin du tout-en-béton, atmosphère grisâtre tiers-mondisant et pêcher pendant les vacances était un truc que mon père, enjoué, pouvait maintenant me promettre. Je devenais enfin un vrai petit blanc made in "guerre des boutons" ! C'est aux bords de l'eau, durant une partie de pêche, que j'ai fait la connaissance d'Olivier, un petit Tom Sawyer local connaissant tous les arbres fruitiers du coin avec qui j'ai passé les moments les plus mémorables de ma jeunesse. Il était aussi fantaisiste et espiègle que moi, j'avais trouvé en lui un vrai camarade avec qui passer le plus clair de mon temps. Un blanc, enfin ! Malheureusement Olivier a dû déménager, la vie étant ce qu'elle est, j'ai fini par ne plus avoir de nouvelles.
Beaucoup plus tard, je traînais la patte tous les matins pour aller subir une scolarité dans un lycée fabriquant déjà tout un tas de loques humaines blanches mal coiffées malaxant la culture de l'entre-soi en tirant sur des pétards derrière des tas de feuilles aussi mortes qu'ils pouvaient l'être. La sonnerie du lycée était un pet foireux annonçant le déluge marron de tout une ribambelle de révolutionnaires acnéiques sortant des orifices d'un bâtiment dédié à l'éducation nationale. Ils représentaient la tête de gondole de l'avenir Français, tous ces petits excités commençaient déjà à faire des phrases pour le plaisir de s'écouter parler.
Les petites blanches commençaient déjà à s'offrir des kilos en extras pour échapper synthétiquement à l'oppression des Maghrébins sur-testostéronés qu'il ne fallait surtout pas pointer du doigt, le pistolet de la bien-pensance braqué sur leurs têtes orangées pouvait sensiblement leur faire couler des larmes de Pavlov. Elles prenaient leurs solitudes sous le joug des soirées pim's au chocolat et de séries Américaines pour le saint graal de l'indépendance émancipatrice.
Pour survivre un peu, de mon côté je me shootais à la branlette mécanique et aux jeux-vidéo, tout en priant chaque jour pour que le temps passe au plus vite, de manière à presser le pas de la vie active pour enfin pouvoir voyager. J'avais le sentiment d'avoir le cul vissé sur des toilettes turcs pendant qu'une cuisinière à la croupe du feu de dieu me préparait amoureusement mon latte des grands jours.
J'ai misérablement réussi à me dépuceler à 18 ans en tapant dans un morceau de dixième choix après une mission de préparateur de commande à l'usine. Une maman trentenaire alcoolique adepte des raves party sur fond de coke. Son grand plaisir consistait à me balancer des regards dignes du chat dans Shrek lorsqu'elle me suçait, "quel effet ça te fait quand je te suce avec mon piercing ?"
je commençais à avoir une petite gueule épurée, à ressembler à un jeune homme dans la force de l'age et tout ce que j'avais réussi à me taper, c'était une maman à la dérive... le lendemain, un petit test HIV et puis s'en va...
Puis je l'ai revu, les bras ballants, les écouteurs dans les oreilles, les yeux vitreux et la gueule complètement amorphe, me balançant deux trois phrases pré-mâchées de crouille campeur de caves "Wesh, ça fait plaisir de te revoir ma gueule !"
Olivier mon pote le petit pêcheur franchouillard était devenu un de ces concepts de citée prenant ses manières pour de la virilité suprême.
Dis moi quelles sont tes publications facebook, je te dirais qui tu es... du Booba, de la cana et des putes en string.
Il avait un petit studio coquet à 10 minutes de la tour eiffel payé sept cent balles par ses parents, le genre de détail que l'on cache sous l'oreiller quand on se prétend fidèle amateur de rap-game.
Notre société défrancisée s'approprie les âmes innocentes de nos jeunes et les taillent à sa manière, à grands coups de hache si il le faut. Les petites têtes blondes sucent les tétons de la bête pendant que leurs parents bricolent, la tête dans le guidon pour sauver leurs misérables carrières.
Le petit Olivier, autrefois mon meilleur ami, n'y avait pas échappé. Skyrock lissait les bords et le shit effectuait le travail de fond. Toute la complexité de la machinerie tournait à plein régime et dégageait de ses brèches taillées dans le sol, d'innombrables êtres à sacrifier pour servir les intérêts de notre élite contemplatrice de l'échiquier géant. Le noir l'emportant sur le blanc.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
À l'époque déjà, le quotat des 3 blancs pour 10 Africains était d'actualité. Les musulmans se voulaient "lights", funky comme la "funky family" le chantait et semblaient propager une saveur des contes des mille et une nuits dans les quartiers, comme un couscous sans piment à apprécier du bout de la fourchette. La schizophrénie du Français blanc était palpable.
Le blanc des quartiers devait se montrer sympathique, tolérant et ouvert d'esprit envers Moustapha son voisin de palier puis d'un coup devenir gueulard en crachant sa bave couleur écume de bouldogue Français vieillissant envers le bougnoule envahisseur, les yeux rivés devant un reportage TF1 le verre de ricard à la main... le blanc était capable d'aller à son boulot merdique les bras sur le volant de sa 306, rêver d'une vie en autarcie entre individus de sa race tout en appréciant un "Aïcha de Khaled".
Le blanc pouvait éprouver de la haine pour le parasite basané mais tout de même apprécier le film "la Haine" et y trouver dans les bras de "Saïd Tagmaoui" et "Vincent Cassel" un certain apaisement... le processus de la tolérance à demi-avouée était comme ce petit mal de gorge insoupçonné annonçant la tumeur maligne... le vers était dans le fruit et le renard en djellaba se faisait sa place au chaud dans le poulailler Français.
Ma famille et moi avons par la suite déménagé en banlieue Est de Paris, dans une région qui, selon la légende se voulait plus verte et plus blanche, c'était sans doute le cas à l'époque...
Les rues étaient désertiques et comblées de quelques papiers volants comme dans ces vieux western à la bande son vous tirant les paupières vers le bas.
J'étais désormais loin du tout-en-béton, atmosphère grisâtre tiers-mondisant et pêcher pendant les vacances était un truc que mon père, enjoué, pouvait maintenant me promettre. Je devenais enfin un vrai petit blanc made in "guerre des boutons" ! C'est aux bords de l'eau, durant une partie de pêche, que j'ai fait la connaissance d'Olivier, un petit Tom Sawyer local connaissant tous les arbres fruitiers du coin avec qui j'ai passé les moments les plus mémorables de ma jeunesse. Il était aussi fantaisiste et espiègle que moi, j'avais trouvé en lui un vrai camarade avec qui passer le plus clair de mon temps. Un blanc, enfin ! Malheureusement Olivier a dû déménager, la vie étant ce qu'elle est, j'ai fini par ne plus avoir de nouvelles.
Beaucoup plus tard, je traînais la patte tous les matins pour aller subir une scolarité dans un lycée fabriquant déjà tout un tas de loques humaines blanches mal coiffées malaxant la culture de l'entre-soi en tirant sur des pétards derrière des tas de feuilles aussi mortes qu'ils pouvaient l'être. La sonnerie du lycée était un pet foireux annonçant le déluge marron de tout une ribambelle de révolutionnaires acnéiques sortant des orifices d'un bâtiment dédié à l'éducation nationale. Ils représentaient la tête de gondole de l'avenir Français, tous ces petits excités commençaient déjà à faire des phrases pour le plaisir de s'écouter parler.
Les petites blanches commençaient déjà à s'offrir des kilos en extras pour échapper synthétiquement à l'oppression des Maghrébins sur-testostéronés qu'il ne fallait surtout pas pointer du doigt, le pistolet de la bien-pensance braqué sur leurs têtes orangées pouvait sensiblement leur faire couler des larmes de Pavlov. Elles prenaient leurs solitudes sous le joug des soirées pim's au chocolat et de séries Américaines pour le saint graal de l'indépendance émancipatrice.
Pour survivre un peu, de mon côté je me shootais à la branlette mécanique et aux jeux-vidéo, tout en priant chaque jour pour que le temps passe au plus vite, de manière à presser le pas de la vie active pour enfin pouvoir voyager. J'avais le sentiment d'avoir le cul vissé sur des toilettes turcs pendant qu'une cuisinière à la croupe du feu de dieu me préparait amoureusement mon latte des grands jours.
J'ai misérablement réussi à me dépuceler à 18 ans en tapant dans un morceau de dixième choix après une mission de préparateur de commande à l'usine. Une maman trentenaire alcoolique adepte des raves party sur fond de coke. Son grand plaisir consistait à me balancer des regards dignes du chat dans Shrek lorsqu'elle me suçait, "quel effet ça te fait quand je te suce avec mon piercing ?"
je commençais à avoir une petite gueule épurée, à ressembler à un jeune homme dans la force de l'age et tout ce que j'avais réussi à me taper, c'était une maman à la dérive... le lendemain, un petit test HIV et puis s'en va...
Puis je l'ai revu, les bras ballants, les écouteurs dans les oreilles, les yeux vitreux et la gueule complètement amorphe, me balançant deux trois phrases pré-mâchées de crouille campeur de caves "Wesh, ça fait plaisir de te revoir ma gueule !"
Olivier mon pote le petit pêcheur franchouillard était devenu un de ces concepts de citée prenant ses manières pour de la virilité suprême.
Dis moi quelles sont tes publications facebook, je te dirais qui tu es... du Booba, de la cana et des putes en string.
Il avait un petit studio coquet à 10 minutes de la tour eiffel payé sept cent balles par ses parents, le genre de détail que l'on cache sous l'oreiller quand on se prétend fidèle amateur de rap-game.
Notre société défrancisée s'approprie les âmes innocentes de nos jeunes et les taillent à sa manière, à grands coups de hache si il le faut. Les petites têtes blondes sucent les tétons de la bête pendant que leurs parents bricolent, la tête dans le guidon pour sauver leurs misérables carrières.
Le petit Olivier, autrefois mon meilleur ami, n'y avait pas échappé. Skyrock lissait les bords et le shit effectuait le travail de fond. Toute la complexité de la machinerie tournait à plein régime et dégageait de ses brèches taillées dans le sol, d'innombrables êtres à sacrifier pour servir les intérêts de notre élite contemplatrice de l'échiquier géant. Le noir l'emportant sur le blanc.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Année 2040 (20.11.16)
Année 2040...
Pendant qu'ils seront en train de bataclaniser la France entière, vous doubler dans les files d'attentes, vous voler dans les entrailles des villes fantômes, baiser la France jusqu'à ce que vous les aimiez... ici, dans les chaînes de montagnes Ukrainiennes, nous aurons parallèlement élevé du blanc au biberon nationaliste dans les chambres de nos chaumières à l'odeur boisée. Nous ferons l'amour à nos femmes, toujours plus loin et toujours plus fort pendant que nos futurs moustachus en herbe joueront aux petits soldats dans les Carpathes. Des rejetons hybrides aussi créatifs que peut être le Français, rigoureux comme peut l'être l'Allemand et virils comme peut l'être un slave. Tout ça en faveur de la protection de notre propre race, pour la sauvegarde de la grandeur de l'Europe et sous couvert d'un christianisme frontal type chevalier des templiers des temps modernes.
Pendant que nous mangerons nos propres fruits et légumes en faisant du troc une religion d'état pour que jamais la fourberie ne s'installe, nous caresserons nos petites têtes blondes pour qui sauter à la gorge de l'ennemi sera un geste reflex presque pavlovien, aussi instinctif que ce geste mécanique que vos enfants élevés dans le berceau occidental feront pour allumer leurs télévisions et s'asseoir sur leurs gros culs déjà difformes et empreints à la flemmardise.
De notre côté, une armée de petits soldats au taquet, fidèles, obéissant et à l'abri des concepts qui ont tant servi de let motiv à nos départs précipités de cette France gaucho-islamisée.
Nous serons les vieux briscards entretenant l'histoire d'un pays déchu à reconquérir. Car après tout, ils s'épuiseront entre eux. Comme une forme d'épuration naturelle, les quelques blancs restant en France serons tous des gauchistes héréditaires baptisés par Mammon lui même. Ils continueront de vivoter chez papa maman pour échapper aux prix de loyers exorbitant mollement amortis par des salaires gelés sans compter les retraites inexistantes. Les hommes dénués de forces vives, émasculés, étoufferont ainsi sur eux même sans compter tous leurs projets de vie commun à accomplir aux bras du peu d'individus aux genres ambivalents qui leur serviront de femmes. Des femmes coiffées à la garçonne pour qui faire un enfant, donner la vie, sera à terme une régression abjecte. Ils chieront des demi-gosses ou les commanderont sur internet car de plus en plus stériles. Ils s'amuseront à jouer au morpion avec les nuages types chemtrails en continuant de crier au complot. Leur progéniture comptera une ribambelle de délaissés sur tous les plans, leurs enfants seront de la viande morte bonne à foutre sur le convoyeur d'une multi-nationale au mieux, ou rentier du RSA sans projet concret au pire.
Sans compter la drogue à foison et la bouffe dynamitée défonçant leurs défenses immunitaires, les neutralisant ainsi à grands coups de cancers précoces.
Des millions de raclures prolétariennes gargarisant les entreprises côtés, des tout-en bas-de-l'échelle, le nez dans la rouille parmi les crouilles tirant sur leurs clopes pendant les pauses... vivotant sur le amas de leurs propres illusions dans l'attente qu'un chef d'état à poigne leur torche les fesses car jamais habitués à l'avoir fait eux même. Le temps d'une saison à jouer aux révolutionnaires grévistes et puis s'en va. À 30 ans, toujours personne pour les aimer sauf leurs propres mamans chéries qui n'auront de cesse de leur rappeler par leurs sermons bien veillant:
"Fais attention mon chéri, il fait froid mets donc une écharpe !"
Des jeux-vidéo et des séries en guise de thérapie et des vies semblant filer à sens contraire.
Chez nous, en pleine symbiose parmi la nature... ce sera un croisement de jardin enchanté façon village de hobbit tout aussi redoutable qu'une planque de vietcong. Le royaume de Vlad Tepes revisité duquel sortira des êtres enclins à la protection de la splendeur blanche où le respect, la civilité, la pratique des arts et de l'histoire engendreront les invectives de ceux que nous aurons définitivement laissés pour compte, ces spéculateurs du néant se retrouvant de temps à autres la tête baignant dans des flaques de sang pleines de chevrotines coraniques.
Nous apprécierons le spectacle perchés en haut de nos mirador dans l'attente de l'opportunité, cacher dans nos buissons prêts à bondir sur la gazelle à patte folle. Ce jour viendra, en attendant... nous vivons parmi les nôtres et vous souhaitons bonne chance parmi les autres.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Pendant qu'ils seront en train de bataclaniser la France entière, vous doubler dans les files d'attentes, vous voler dans les entrailles des villes fantômes, baiser la France jusqu'à ce que vous les aimiez... ici, dans les chaînes de montagnes Ukrainiennes, nous aurons parallèlement élevé du blanc au biberon nationaliste dans les chambres de nos chaumières à l'odeur boisée. Nous ferons l'amour à nos femmes, toujours plus loin et toujours plus fort pendant que nos futurs moustachus en herbe joueront aux petits soldats dans les Carpathes. Des rejetons hybrides aussi créatifs que peut être le Français, rigoureux comme peut l'être l'Allemand et virils comme peut l'être un slave. Tout ça en faveur de la protection de notre propre race, pour la sauvegarde de la grandeur de l'Europe et sous couvert d'un christianisme frontal type chevalier des templiers des temps modernes.
Pendant que nous mangerons nos propres fruits et légumes en faisant du troc une religion d'état pour que jamais la fourberie ne s'installe, nous caresserons nos petites têtes blondes pour qui sauter à la gorge de l'ennemi sera un geste reflex presque pavlovien, aussi instinctif que ce geste mécanique que vos enfants élevés dans le berceau occidental feront pour allumer leurs télévisions et s'asseoir sur leurs gros culs déjà difformes et empreints à la flemmardise.
De notre côté, une armée de petits soldats au taquet, fidèles, obéissant et à l'abri des concepts qui ont tant servi de let motiv à nos départs précipités de cette France gaucho-islamisée.
Nous serons les vieux briscards entretenant l'histoire d'un pays déchu à reconquérir. Car après tout, ils s'épuiseront entre eux. Comme une forme d'épuration naturelle, les quelques blancs restant en France serons tous des gauchistes héréditaires baptisés par Mammon lui même. Ils continueront de vivoter chez papa maman pour échapper aux prix de loyers exorbitant mollement amortis par des salaires gelés sans compter les retraites inexistantes. Les hommes dénués de forces vives, émasculés, étoufferont ainsi sur eux même sans compter tous leurs projets de vie commun à accomplir aux bras du peu d'individus aux genres ambivalents qui leur serviront de femmes. Des femmes coiffées à la garçonne pour qui faire un enfant, donner la vie, sera à terme une régression abjecte. Ils chieront des demi-gosses ou les commanderont sur internet car de plus en plus stériles. Ils s'amuseront à jouer au morpion avec les nuages types chemtrails en continuant de crier au complot. Leur progéniture comptera une ribambelle de délaissés sur tous les plans, leurs enfants seront de la viande morte bonne à foutre sur le convoyeur d'une multi-nationale au mieux, ou rentier du RSA sans projet concret au pire.
Sans compter la drogue à foison et la bouffe dynamitée défonçant leurs défenses immunitaires, les neutralisant ainsi à grands coups de cancers précoces.
Des millions de raclures prolétariennes gargarisant les entreprises côtés, des tout-en bas-de-l'échelle, le nez dans la rouille parmi les crouilles tirant sur leurs clopes pendant les pauses... vivotant sur le amas de leurs propres illusions dans l'attente qu'un chef d'état à poigne leur torche les fesses car jamais habitués à l'avoir fait eux même. Le temps d'une saison à jouer aux révolutionnaires grévistes et puis s'en va. À 30 ans, toujours personne pour les aimer sauf leurs propres mamans chéries qui n'auront de cesse de leur rappeler par leurs sermons bien veillant:
"Fais attention mon chéri, il fait froid mets donc une écharpe !"
Des jeux-vidéo et des séries en guise de thérapie et des vies semblant filer à sens contraire.
Chez nous, en pleine symbiose parmi la nature... ce sera un croisement de jardin enchanté façon village de hobbit tout aussi redoutable qu'une planque de vietcong. Le royaume de Vlad Tepes revisité duquel sortira des êtres enclins à la protection de la splendeur blanche où le respect, la civilité, la pratique des arts et de l'histoire engendreront les invectives de ceux que nous aurons définitivement laissés pour compte, ces spéculateurs du néant se retrouvant de temps à autres la tête baignant dans des flaques de sang pleines de chevrotines coraniques.
Nous apprécierons le spectacle perchés en haut de nos mirador dans l'attente de l'opportunité, cacher dans nos buissons prêts à bondir sur la gazelle à patte folle. Ce jour viendra, en attendant... nous vivons parmi les nôtres et vous souhaitons bonne chance parmi les autres.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
La France et l'Islam, son allié de toujours (14.11.16)
Il est temps de mettre un coup de pied dans le poulailler... on a beau chanter les louanges du coq Français, il va falloir ravaler notre chauvinisme deux secondes pour avouer que, historiquement donc factuelement, la prime va aux peuples de l'Est pour ce qui est de la rigidité des principes concernant la lutte contre l'invasion Islamique. Il est important de reconnaître que notre soif de domination nous a poussé à trahir l'Europe et pire encore, blasphème ultime, la chrétienté (pour ne pas parler du libéralisme actuel).
À l'heure où la xénophobie indécrottable des peuples de l'Est a su crée un rempart naturel face à l'Islam, dans la continuité de ce pacte maudit que la France a signé avec les musulmans autrefois (voir l'extrait wikipédia ci-dessous), nous sommes toujours resté ce peuple xénophile, éternel amoureux de l'inconnu, ouvert à toutes les transgressions pourvu que ce soit favorable à notre intérêt individuel et par effet de vase communiquant donc, au détriment de l'intérêt collectif (ici l'Europe et la chrétienté).
Car oui, en 1536 exactement, la France a pactisé avec l'Islam pour tourner le dos à la chrétienté Européenne. Etait-ce le sacrilège ultime causant la perte progressive actuelle de notre nation ? Je ne veux pas faire dans le spiritualisme discount mais il faut bien avouer que tout prête à le croire étant donné la situation actuelle... 480 ans plus tard, d'une main à peau laiteuse à index orné de sa bague gauchiste, nous continuons de serrer la pate de celui qui n'hésite pas à sortir les griffes pour s'abreuver du sang d'un peuple naïf.
"L’alliance franco-ottomane, ou alliance franco-turque, est une alliance établie en 1536 entre le roi de France François Ier et le souverain turc de l'Empire ottoman, Soliman le Magnifique. Elle a été mentionnée comme la « première alliance diplomatique non idéologique de ce genre entre un empire chrétien et un empire non chrétien »1. Elle cause cependant un certain émoi dans le monde chrétien2, et est qualifiée d'« alliance impie », ou d'« union sacrilège de la fleur de lys et du croissant ». Elle subsiste cependant, dans l'intérêt objectif des deux parties3. Cette alliance stratégique et parfois tactique est alors l'une des plus importantes alliances de la France, et dure plus de deux siècles et demi4, jusqu'à la campagne d'Égypte, qui voit les troupes napoléoniennesenvahir un territoire ottoman en 1798-1801, bien que Bonaparte proclame n'en avoir qu'après les Mamelouks qui selon lui ne sont point soumis au Sultan et se sont révoltés contre son autorité5. L'alliance franco-ottomane est également un épisode important des relations entre la France et l'Orient ."
source: wikipédia
Il va falloir faire un effort considérable d'introspection et se faire à l'idée que la lutte anti-islam, la désafricanisation de l'Europe ne se joue pas et ne se jouera jamais sur le front Français. Nous pouvons jouer les aveugles bombant le torse pour nous raconter des histoires ou bien prendre un temps et regarder les faits passés pour en tirer des leçon, nous permettant ainsi de faire preuve d'une certaine lucidité. Au pire, sachez le, vous ne serez qu'une flambée de maquisards se battant pour l'honneur et non pas pour la victoire (c'est beau pour la forme mais pas franchement pratique pour le fond), Céline lui même s'en torderait le bide.
Venez grossir les rangs des nationalistes de l'Est. Rejoignez nous en Ukraine pour qu'enfin nous puissions vivre en paix, entre nous, dans une logique de reconquista !
Vive la blancheur,
Florent Lambert
À l'heure où la xénophobie indécrottable des peuples de l'Est a su crée un rempart naturel face à l'Islam, dans la continuité de ce pacte maudit que la France a signé avec les musulmans autrefois (voir l'extrait wikipédia ci-dessous), nous sommes toujours resté ce peuple xénophile, éternel amoureux de l'inconnu, ouvert à toutes les transgressions pourvu que ce soit favorable à notre intérêt individuel et par effet de vase communiquant donc, au détriment de l'intérêt collectif (ici l'Europe et la chrétienté).
Car oui, en 1536 exactement, la France a pactisé avec l'Islam pour tourner le dos à la chrétienté Européenne. Etait-ce le sacrilège ultime causant la perte progressive actuelle de notre nation ? Je ne veux pas faire dans le spiritualisme discount mais il faut bien avouer que tout prête à le croire étant donné la situation actuelle... 480 ans plus tard, d'une main à peau laiteuse à index orné de sa bague gauchiste, nous continuons de serrer la pate de celui qui n'hésite pas à sortir les griffes pour s'abreuver du sang d'un peuple naïf.
"L’alliance franco-ottomane, ou alliance franco-turque, est une alliance établie en 1536 entre le roi de France François Ier et le souverain turc de l'Empire ottoman, Soliman le Magnifique. Elle a été mentionnée comme la « première alliance diplomatique non idéologique de ce genre entre un empire chrétien et un empire non chrétien »1. Elle cause cependant un certain émoi dans le monde chrétien2, et est qualifiée d'« alliance impie », ou d'« union sacrilège de la fleur de lys et du croissant ». Elle subsiste cependant, dans l'intérêt objectif des deux parties3. Cette alliance stratégique et parfois tactique est alors l'une des plus importantes alliances de la France, et dure plus de deux siècles et demi4, jusqu'à la campagne d'Égypte, qui voit les troupes napoléoniennesenvahir un territoire ottoman en 1798-1801, bien que Bonaparte proclame n'en avoir qu'après les Mamelouks qui selon lui ne sont point soumis au Sultan et se sont révoltés contre son autorité5. L'alliance franco-ottomane est également un épisode important des relations entre la France et l'Orient ."
source: wikipédia
Il va falloir faire un effort considérable d'introspection et se faire à l'idée que la lutte anti-islam, la désafricanisation de l'Europe ne se joue pas et ne se jouera jamais sur le front Français. Nous pouvons jouer les aveugles bombant le torse pour nous raconter des histoires ou bien prendre un temps et regarder les faits passés pour en tirer des leçon, nous permettant ainsi de faire preuve d'une certaine lucidité. Au pire, sachez le, vous ne serez qu'une flambée de maquisards se battant pour l'honneur et non pas pour la victoire (c'est beau pour la forme mais pas franchement pratique pour le fond), Céline lui même s'en torderait le bide.
Venez grossir les rangs des nationalistes de l'Est. Rejoignez nous en Ukraine pour qu'enfin nous puissions vivre en paix, entre nous, dans une logique de reconquista !
Vive la blancheur,
Florent Lambert
L'avenir de l'Europe blanche est sa propre jeunesse (13.11.16)
Je pourrais prendre des gants en prétendant que cet article n'a pas vocation à dicter une méthode pour les nuls du type "Comment éduquer son gosse" sous une forme impérative... cependant l'heure est trop grave étant donné que le tsunami de la culture du métissage fait des ravages à l'Ouest de l'Europe, sans compter la démission des parents blancs (pour les autres aucun problème de consciences - pondre sans s'en occuper) croulant sous les responsabilités salariales, délaissant leurs gosses devant des jeux-vidéo ultra-violent type GTA5 ou bien, pendant la semaine, dans les mains de l'éducation nationale nauséabonde les gavant à l'entonnoir de la propagande étatique. Maman gueule pendant que papa s'écrase... tous les archétypes ont été inversés comme la croix sacré d'un mauvais groupe de métal.
L'enfant de bas age, en plein éveil, capte les idées d'une manière fulgurante, le temps de détourner le regard cinq minutes et le voilà à gober le sein mort de son professeur gauchiste, le sang de ton sang prenant à tort ce professeur pour sa propre mère qui ne cesse de lui chanter des comptines ventant les bienfaits de l'égalité des genres, ou plus tard, les heures les plus sombres de notre histoire.
Sans compter les détails comportementaux nous échappant et n'appartenant qu'au monde des enfants et adolescents se raccrochant à ce qu'ils peuvent dans une période de léthargie sociale, féminisée, émasculée, saupoudrée de sa culture du canapé et des week-ends sous chichon et sky coca. À deux trois choses près, c'est un peu ça le bras armée de la révoltuion des Nuit Deboutistes... une armée de batons de sucette élevés à la guerre des jeux-vidéo.
Pour l'anecdote, j'ai le souvenir d'une grognasse blonde faisant office de monitrice s'étant fâchée toute rouge parce que je jouais à touche pipi avec une petite copine durant la récréation... jouer à la poupée ne lui aurait surement pas posé problème.
Je me souviens également de cette petite fille en pleure durant le visionnage du reportage "nuit et brouillard" au collège, elle chialait littéralement, ce qui n'a pas pour autant motivé le professeur d'histoire à appuyer sur le bouton "stop". "Prends les charniers ramassés à la pelleteuse dans ta gueule ma douce enfant !" pour que jamais tu n'oublies ! JAMAIS ! Heureusement, elle pouvait se lamenter un peu dans les bras d'un alpha noir lobotomisé au rap-game pendant les entractes. Ce noir que les petits blancs à petites bites trouvaient cool et décontracté.
J'ai également le souvenir d'un bobo blond à tête de hamster arborant fièrement le visage du Che sur son sac à dos... il doit refaire le monde avec ses semblables à la machine à café d'un des bureaux de la défense à l'heure qu'il est.
Vous comprenez donc pourquoi il faut à tout prix épargner nos futurs enfants de la sphère d'influence gravitant autour de nos gosses si sensibles à l'environnement ambiant qui nous échappe. Sous l'effet de la prétention parentale - j'ai dit PRETENTION et non pression - (genre: "mon gosse est l'extension de moi même après tout, pas de raison qu'il m'échappe !"), vous pouvez y croire mais dans les faits... vous n'aurez qu'une emprise minimale sur vos enfants. L'ingénierie sociale a été pensé pour vous les prendre et de la manière la plus subtile.
Le rêve de votre fille à qui vous avez pris le soin d'épargner le visionnage d'Alladin sera, contre votre volonté, de sucer une queue à la couleur d'un étron parce que la transgression de l'impératif paternel est un bonbon sucré tentant tendu par la main du libéralisme.
Si nous souhaitons avancer, il sera fortement conseillé de voguer dans un courant favorable à notre cause car se faire un nid dans la dictature socialiste républicaine, c'est ramer bêtement dans le sens contraire du courant...
la situation est trop critique pour s'imposer une course aux handicaps. Il faut abandonner l'idéologie utopique type Spartacus sans armes et sans renforts, ce type de pensée tient du domaine de la puérilité mêlée à la suffisance de l'entre-soi pure.
L'histoire que l'on tente de vous cacher nous l'a démontré, l'union blanche parfaitement organisée est l'arme humaine la plus puissante qu'il soit. Il n'est pas possible de créer un royaume harmonieux sur les terres du socialisme minées. Nous devons être efficaces et mettre toutes les chances de notre côté car le temps est compté.
Les pays de l'Est (L'Ukraine dans notre cas) nous offre cette possibilité, à savoir s'occuper du four et du moulin pendant que nos gosses évoluent dans un cadre où les interactions (sans même parler du rapport homme/femme qui est exemplaire) sont simples, saints et à l'abri du nuage gris des concepts de l'occident qui a su plomber avec brio la France qui ne tire sa notoriété auprès des étrangers que par le biais de ses propres cendres (la spéculation se glisse même dans la nostalgie).
Pendant que nous remettrons le village d'Astérix au goût du jour dans les carpathes Ukrainiennes ou même au coeur des grandes villes. Je les imagine - en lâchant le litre dans mon pantalon je dois l'avouer - pondre des titres de reportages Arte tout en faisant des gros plans sur la barbak sanguinolente qu'on s'apprêtera à bouffer ensemble "Dans le coeur de la secte nationaliste raciste"... car oui... toutes les mouvances cherchant à s'émanciper, se délivrer des "valeurs" républicaines, du carcan libérale, sont à pointer du doigt et à abattre sur le champ ! Aucune alternative n'est possible dans le monde de la dictature de la tolérance. Ne pas sucer la queue de Moustapha, c'est déjà être victime du syndrome Jean Pierre-Pernault... nous ne voulons pas vivre aux côtés de Moustapha ! Ce projet de vie ne nous intéresse pas. lisez bien Sarkozy et compagnie: CE - PROJET - DE - VIE - NE - NOUS - INTERESSE - PAS.
Imaginez cette formidable épuration naturelle... toute la crème blanche renforçant l'idéal raciale pour d'abord créer un rempart et par la suite repenser la reconquista pendant que tous les gauchistes et leurs enfants se feront Bataclaniser tout en se paluchant sur des concepts qui n'appartiennet qu'à eux. Ya bon n'est-ce pas ?
Il est grand temps de remettre au goût du jour le principe de la splendeur blanche qui est tant discriminé par chez nous (aurait-on touché au point sensible ? Tiens tiens... intéressant.). De notre survie dépend l'unification des nôtres, et ceci commence dès le plus jeune age. Elevons nos enfants dans un cadre favorable et loin d'un idéal qui n'est pas semblable au notre. Venez nous rejoindre à l'Est ! ;)
Vive la blancheur,
Florent Lambert
L'enfant de bas age, en plein éveil, capte les idées d'une manière fulgurante, le temps de détourner le regard cinq minutes et le voilà à gober le sein mort de son professeur gauchiste, le sang de ton sang prenant à tort ce professeur pour sa propre mère qui ne cesse de lui chanter des comptines ventant les bienfaits de l'égalité des genres, ou plus tard, les heures les plus sombres de notre histoire.
Sans compter les détails comportementaux nous échappant et n'appartenant qu'au monde des enfants et adolescents se raccrochant à ce qu'ils peuvent dans une période de léthargie sociale, féminisée, émasculée, saupoudrée de sa culture du canapé et des week-ends sous chichon et sky coca. À deux trois choses près, c'est un peu ça le bras armée de la révoltuion des Nuit Deboutistes... une armée de batons de sucette élevés à la guerre des jeux-vidéo.
Pour l'anecdote, j'ai le souvenir d'une grognasse blonde faisant office de monitrice s'étant fâchée toute rouge parce que je jouais à touche pipi avec une petite copine durant la récréation... jouer à la poupée ne lui aurait surement pas posé problème.
Je me souviens également de cette petite fille en pleure durant le visionnage du reportage "nuit et brouillard" au collège, elle chialait littéralement, ce qui n'a pas pour autant motivé le professeur d'histoire à appuyer sur le bouton "stop". "Prends les charniers ramassés à la pelleteuse dans ta gueule ma douce enfant !" pour que jamais tu n'oublies ! JAMAIS ! Heureusement, elle pouvait se lamenter un peu dans les bras d'un alpha noir lobotomisé au rap-game pendant les entractes. Ce noir que les petits blancs à petites bites trouvaient cool et décontracté.
J'ai également le souvenir d'un bobo blond à tête de hamster arborant fièrement le visage du Che sur son sac à dos... il doit refaire le monde avec ses semblables à la machine à café d'un des bureaux de la défense à l'heure qu'il est.
Vous comprenez donc pourquoi il faut à tout prix épargner nos futurs enfants de la sphère d'influence gravitant autour de nos gosses si sensibles à l'environnement ambiant qui nous échappe. Sous l'effet de la prétention parentale - j'ai dit PRETENTION et non pression - (genre: "mon gosse est l'extension de moi même après tout, pas de raison qu'il m'échappe !"), vous pouvez y croire mais dans les faits... vous n'aurez qu'une emprise minimale sur vos enfants. L'ingénierie sociale a été pensé pour vous les prendre et de la manière la plus subtile.
Le rêve de votre fille à qui vous avez pris le soin d'épargner le visionnage d'Alladin sera, contre votre volonté, de sucer une queue à la couleur d'un étron parce que la transgression de l'impératif paternel est un bonbon sucré tentant tendu par la main du libéralisme.
Si nous souhaitons avancer, il sera fortement conseillé de voguer dans un courant favorable à notre cause car se faire un nid dans la dictature socialiste républicaine, c'est ramer bêtement dans le sens contraire du courant...
la situation est trop critique pour s'imposer une course aux handicaps. Il faut abandonner l'idéologie utopique type Spartacus sans armes et sans renforts, ce type de pensée tient du domaine de la puérilité mêlée à la suffisance de l'entre-soi pure.
L'histoire que l'on tente de vous cacher nous l'a démontré, l'union blanche parfaitement organisée est l'arme humaine la plus puissante qu'il soit. Il n'est pas possible de créer un royaume harmonieux sur les terres du socialisme minées. Nous devons être efficaces et mettre toutes les chances de notre côté car le temps est compté.
Les pays de l'Est (L'Ukraine dans notre cas) nous offre cette possibilité, à savoir s'occuper du four et du moulin pendant que nos gosses évoluent dans un cadre où les interactions (sans même parler du rapport homme/femme qui est exemplaire) sont simples, saints et à l'abri du nuage gris des concepts de l'occident qui a su plomber avec brio la France qui ne tire sa notoriété auprès des étrangers que par le biais de ses propres cendres (la spéculation se glisse même dans la nostalgie).
Pendant que nous remettrons le village d'Astérix au goût du jour dans les carpathes Ukrainiennes ou même au coeur des grandes villes. Je les imagine - en lâchant le litre dans mon pantalon je dois l'avouer - pondre des titres de reportages Arte tout en faisant des gros plans sur la barbak sanguinolente qu'on s'apprêtera à bouffer ensemble "Dans le coeur de la secte nationaliste raciste"... car oui... toutes les mouvances cherchant à s'émanciper, se délivrer des "valeurs" républicaines, du carcan libérale, sont à pointer du doigt et à abattre sur le champ ! Aucune alternative n'est possible dans le monde de la dictature de la tolérance. Ne pas sucer la queue de Moustapha, c'est déjà être victime du syndrome Jean Pierre-Pernault... nous ne voulons pas vivre aux côtés de Moustapha ! Ce projet de vie ne nous intéresse pas. lisez bien Sarkozy et compagnie: CE - PROJET - DE - VIE - NE - NOUS - INTERESSE - PAS.
Imaginez cette formidable épuration naturelle... toute la crème blanche renforçant l'idéal raciale pour d'abord créer un rempart et par la suite repenser la reconquista pendant que tous les gauchistes et leurs enfants se feront Bataclaniser tout en se paluchant sur des concepts qui n'appartiennet qu'à eux. Ya bon n'est-ce pas ?
Il est grand temps de remettre au goût du jour le principe de la splendeur blanche qui est tant discriminé par chez nous (aurait-on touché au point sensible ? Tiens tiens... intéressant.). De notre survie dépend l'unification des nôtres, et ceci commence dès le plus jeune age. Elevons nos enfants dans un cadre favorable et loin d'un idéal qui n'est pas semblable au notre. Venez nous rejoindre à l'Est ! ;)
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Le Nationalisme et la question raciale qui va avec (12.11.16)
Être nationaliste, c'est un peu comme se faire le père bienveillant de son propre peuple. Ce qu'il y a de merveilleux dans l'évolution progressive de cette idéologie en tant que Français, c'est qu'elle n'est pas inné. Je veux dire par là qu'il y a de fortes probabilités pour que tu sois né, toi le petit blanc privilégié détesté par ta propre élite au beau milieu d'une famille de droite-tolérante (dans le meilleur des cas).
De ce fait, tu peux t'en réjouir, toutes tes convictions nationalistes sont entièrement dû à ton indépendance d'esprit orientée vers les principes du bon sens. Un esprit ayant fait office de bougie te permettant de ne pas te vautrer dans ce tunnel socialiste lugubre sentant la pisse de canaille migrante qui lui est pour le coup, le VERITABLE privilégié de cette société adepte du "welcome everybody here is your home".
Durant l'été 2015, comme l'effet d'une bombe au beau milieu de ma conscience, un ami m'a envoyé le lien d'une vidéo traitant de l'aspect natio-racialiste, une video faisant le phare sur la démographie allant à la défaveur du blanc et qui causera, à moyen terme, irrémédiablement sa perdition en Europe de l'Ouest.
J'étais un grand habitué des vidéos catastrophes, faut dire que ça pullule sur Youtube... cependant, je dois l'avouer, j'étais surpris par la pertinence de celle-ci.
Je me souviens qu'à ce moment là, j'étais resté planté sur la ligne Egalité & Réconciliation en pensant naïvement qu'un village de Gaulois-Benetton pouvait peut être voir le jour à force de relais massif des idées Soralienne, lui même validé par le comique de renom Dieudonné.
Après tout pensais-je, Soral a l'esprit vif et la verve bien trempée, il représente ce goy du peuple aux sourcils froncés. Enfin un babtou solide à l'esprit qui colle ! Il peut représenter ce médiateur nécessaire à la... réconciliation nationale (tellement beau à lire sur le papier n'est-ce pas ?).
Puis le temps s'est écoulé. Pour mon expérience personnel, j'ai partagé les idées de Soral sur les réseaux sociaux, pensant fermement que l'unité nationale pour tous allait embraser les mecs d'origines extra-Européennes de ma banlieue et que les premiers balbutiements de la prise de conscience populaire allait commencer à partir de ce moment là, comme un chant à l'unisson... autant dire que j'ai vite déchanté lorsque j'ai vu que les mecs préféraient, après avoir jouer les carpes, se retrancher uns à uns dans les concepts de Tariq Ramadan le musulman modulable ou bien Mélenchon le franc-mac populiste opportuniste.
Sans compter ces musulmans pratiquants ne s'en remettant qu'à Allah, survolant de ce fait la conscience politique purement métaphysique puisque chez eux le front de la foi est, je le prenais dès lors en considération, ce qui compte plus que tout... bien au delà d'un idéal nationaliste d'amateur de pinard et de saucisson.
Autant dire qu'après ce constat désespérant, il n'en a pas fallu plus pour me convaincre qu'une guerre passive à échelle raciale avait lieu à l'Ouest de l'Europe. Une guerre démographique que le silencieux de la bien pensance socialiste arrivait à ajuster sur son gros calibre. Que ce soit à coup de rafales musicales, cinématographiques, médiatiques, politiques... l'idéologie du métissage n'était en rien quelque chose de "cool" et léger comme le sourire d'un Eddy Murphy ou d'un Omar Sy "bien de chez nous" mais bien une arme redoutable pour tuer le blanc dans l'oeuf... un blanc nettement favorable à cette idée du... devinez quoi... nationalisme. Rappelons nous que "l'élite mondialiste" a gardé un très mauvais souvenir du blanc nationaliste durant la dernière guerre mondiale... c'est donc dans son intérêt que de tuer celui-ci à petit feu pour son plus grand profit...
De ce fait, après réflexion, je ne pouvais plus considérer ces extra-européens de banlieues avec lesquels j'ai grandi comme des alliés potentiels mais bien comme des complices indirects étant donné l'aversion qu'ils éprouvaient pour le nationalisme de bon sens (la carte Le Pen barbe-bleue, une fois mais pas deux...).
Ajoutons à cela également l'épopée Salim Laïbi, rabaissant de son propre chef le niveau en dessous la ceinture pour jouer les opportunistes à l'affût prêt à plomber l'ambulance Soralienne lors de l'affaire Binti. Elle est belle la "réconciliation" hein...
Laïbi symbolisait à lui tout seul le pur penchant tribaliste si viscéral aux musulmans...
Salim Laïbi le musulman dissident mettait au tapis toute l'idéologie de la réconciliation nationale que prétendait représenter la mouvance E&R, se faisant lui même martyr pour sa cause et emportant Soral dans sa tombe et toute leurs idées de réconciliation qui allaient avec.
C'est la preuve par trois que seul l'unité raciale compte et que le reste n'est que tartuferie d'apparence.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
De ce fait, tu peux t'en réjouir, toutes tes convictions nationalistes sont entièrement dû à ton indépendance d'esprit orientée vers les principes du bon sens. Un esprit ayant fait office de bougie te permettant de ne pas te vautrer dans ce tunnel socialiste lugubre sentant la pisse de canaille migrante qui lui est pour le coup, le VERITABLE privilégié de cette société adepte du "welcome everybody here is your home".
Durant l'été 2015, comme l'effet d'une bombe au beau milieu de ma conscience, un ami m'a envoyé le lien d'une vidéo traitant de l'aspect natio-racialiste, une video faisant le phare sur la démographie allant à la défaveur du blanc et qui causera, à moyen terme, irrémédiablement sa perdition en Europe de l'Ouest.
J'étais un grand habitué des vidéos catastrophes, faut dire que ça pullule sur Youtube... cependant, je dois l'avouer, j'étais surpris par la pertinence de celle-ci.
Je me souviens qu'à ce moment là, j'étais resté planté sur la ligne Egalité & Réconciliation en pensant naïvement qu'un village de Gaulois-Benetton pouvait peut être voir le jour à force de relais massif des idées Soralienne, lui même validé par le comique de renom Dieudonné.
Après tout pensais-je, Soral a l'esprit vif et la verve bien trempée, il représente ce goy du peuple aux sourcils froncés. Enfin un babtou solide à l'esprit qui colle ! Il peut représenter ce médiateur nécessaire à la... réconciliation nationale (tellement beau à lire sur le papier n'est-ce pas ?).
Puis le temps s'est écoulé. Pour mon expérience personnel, j'ai partagé les idées de Soral sur les réseaux sociaux, pensant fermement que l'unité nationale pour tous allait embraser les mecs d'origines extra-Européennes de ma banlieue et que les premiers balbutiements de la prise de conscience populaire allait commencer à partir de ce moment là, comme un chant à l'unisson... autant dire que j'ai vite déchanté lorsque j'ai vu que les mecs préféraient, après avoir jouer les carpes, se retrancher uns à uns dans les concepts de Tariq Ramadan le musulman modulable ou bien Mélenchon le franc-mac populiste opportuniste.
Sans compter ces musulmans pratiquants ne s'en remettant qu'à Allah, survolant de ce fait la conscience politique purement métaphysique puisque chez eux le front de la foi est, je le prenais dès lors en considération, ce qui compte plus que tout... bien au delà d'un idéal nationaliste d'amateur de pinard et de saucisson.
Autant dire qu'après ce constat désespérant, il n'en a pas fallu plus pour me convaincre qu'une guerre passive à échelle raciale avait lieu à l'Ouest de l'Europe. Une guerre démographique que le silencieux de la bien pensance socialiste arrivait à ajuster sur son gros calibre. Que ce soit à coup de rafales musicales, cinématographiques, médiatiques, politiques... l'idéologie du métissage n'était en rien quelque chose de "cool" et léger comme le sourire d'un Eddy Murphy ou d'un Omar Sy "bien de chez nous" mais bien une arme redoutable pour tuer le blanc dans l'oeuf... un blanc nettement favorable à cette idée du... devinez quoi... nationalisme. Rappelons nous que "l'élite mondialiste" a gardé un très mauvais souvenir du blanc nationaliste durant la dernière guerre mondiale... c'est donc dans son intérêt que de tuer celui-ci à petit feu pour son plus grand profit...
De ce fait, après réflexion, je ne pouvais plus considérer ces extra-européens de banlieues avec lesquels j'ai grandi comme des alliés potentiels mais bien comme des complices indirects étant donné l'aversion qu'ils éprouvaient pour le nationalisme de bon sens (la carte Le Pen barbe-bleue, une fois mais pas deux...).
Ajoutons à cela également l'épopée Salim Laïbi, rabaissant de son propre chef le niveau en dessous la ceinture pour jouer les opportunistes à l'affût prêt à plomber l'ambulance Soralienne lors de l'affaire Binti. Elle est belle la "réconciliation" hein...
Laïbi symbolisait à lui tout seul le pur penchant tribaliste si viscéral aux musulmans...
Salim Laïbi le musulman dissident mettait au tapis toute l'idéologie de la réconciliation nationale que prétendait représenter la mouvance E&R, se faisant lui même martyr pour sa cause et emportant Soral dans sa tombe et toute leurs idées de réconciliation qui allaient avec.
C'est la preuve par trois que seul l'unité raciale compte et que le reste n'est que tartuferie d'apparence.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
À propos de l'amour en Ukraine... (11.11.16)
Je l'avoue, je suis venu en Ukraine dans l'optique de jouir, de prendre et de laisser... en bref de consommer comme mon mode de vie d'occidental libéral me le dictait. Je voulais ma revanche sur la vie par la queue. Plus jeune, dans ma banlieue Parisienne, l'amour et le cul étaient deux trucs épineux que je n'ai jamais pu vivre, ni même toucher du bout des doigts. J'ai le souvenir, toujours dans cette même banlieue Parisienne, d'une rouquine qui puait des dessous de bras avec qui je jouais à touche pipi en jean sous la couette... elle ne suçait même pas et je bandais mou. J'avais modestement tirer dessus, deux trois allers retours et c'était terminé. Une catastrophe. Soyons francs, sans vouloir dénicher l'alibi béton de la loose... les nanas du coin ne me faisaient vraiment pas transpirer. De nature élitiste comme peut l'être un Français sensible au bon goût, je me relâchais sur les efforts... suffisait que je tombe sur une nana à demi correct et au visage laiteux pour que je me sous estime et que je finisse par passer la main. Plus tu as d'occasions et moins tu as de pression. Sans compter leurs jargons de campeuses de terrasse de café "nan mais meuf", "nan mais genre", "c'est juste trop bien"... en tant que femmes vulnérables à la tendance, elles représentaient la vitrine de cette société qui me plongeait de force dans l'individualisme. J'étais devenu aussi sénile que mon vieux voisin d'à côté. L'alcoolisme, la clope, la porno dépendance... vous connaissez la suite...
Jusqu'au jour où j'ai mis les pieds à Kiev en Ukraine... un compte Tinder, Badoo et un peu d'opportunisme dans les rues plus tard ont suffit à faire de moi le maître du jeu. Tout était abordable, du ticket de train au restaurant du coin... fatalement, il faut dominer une ville pour dominer ses femmes.
Bien sûr que le rapport tout en anglais avec les femmes rend de fait les interactions plus ou moins superficiels mais qu'on se le dise... notre culture Française de la cérébralisation de tout est vite ramené au rang de la légèreté des rapports humains saints et normaux. Et pour cause toutes ces femmes élevées aux valeurs simples types chrétien/orthodoxe pour qui le silence est une simple musique à apprécier. Le regard d'une femme pure et pleine de bonne intentions calme tes démons et fait office de redemption.
Les crypto-putes matérialistes suceuses d'or sont facilement identifiables à condition de respecter quelques règles élémentaires (aperçu des photos et du compte VK avant la rencontre, ne pas se laisser inviter, prendre un verre seulement pour le premier rendez-vous...).
Ici, il est possible de vivre un amour platonique digne d'une histoire calquée sur Vlad Tepes et sa princesse sans le mélo-drame qui va avec. L'homme dicte fièrement le ton et la rythmique de la relation, la femme s'autoproclame suiveuse et rêve d'être une petite chose fragile aux bras de son homme, d'ailleurs elle me l'a dit au premier rendez-vous "I want to feel weak in your arms"... elles sont loin; égarées dans mon esprit, les fronceuses de sourcils à ballerines au pays du saucisson désormais. Ta femme, ici, s'occupe de ses cheveux longs et de ses kilos à perdre, se cambre fièrement au lit pour toi en chantant comme une petite fille à la messe quand tu la prends jusqu'au fond et fait dans les pointes de danseuses classiques quand tu la baise en position cuillère parce qu'elle sait ce que vaut sa féminité sur le terrain de la séduction... une séduction qu'elle met à contribution pour toi car elle sait qu'il n'y a pas de partage sans la culture du don pour l'autre.
Être une femme, qui plus est TA FEMME est un devoir indiscutable pour elle. C'est ça l'amour à l'Ukrainienne.
Sans compter les opportunités de trouver une femme francophone avouant à demi mot que de vivre une histoire avec un Français à Kiev pourrait être le comble de son aboutissement de l'apprentissage en la matière. Bref... les opportunités ne manquent pas... il n'y a qu'à choisir.
Le problème n'est pas de trouver une femme ici mais de rester fidèle à celle-ci tant les appels de phares sont nombreux... bon courage.
Vive la blancheur,
Florent Lambert
Jusqu'au jour où j'ai mis les pieds à Kiev en Ukraine... un compte Tinder, Badoo et un peu d'opportunisme dans les rues plus tard ont suffit à faire de moi le maître du jeu. Tout était abordable, du ticket de train au restaurant du coin... fatalement, il faut dominer une ville pour dominer ses femmes.
Bien sûr que le rapport tout en anglais avec les femmes rend de fait les interactions plus ou moins superficiels mais qu'on se le dise... notre culture Française de la cérébralisation de tout est vite ramené au rang de la légèreté des rapports humains saints et normaux. Et pour cause toutes ces femmes élevées aux valeurs simples types chrétien/orthodoxe pour qui le silence est une simple musique à apprécier. Le regard d'une femme pure et pleine de bonne intentions calme tes démons et fait office de redemption.
Les crypto-putes matérialistes suceuses d'or sont facilement identifiables à condition de respecter quelques règles élémentaires (aperçu des photos et du compte VK avant la rencontre, ne pas se laisser inviter, prendre un verre seulement pour le premier rendez-vous...).
Ici, il est possible de vivre un amour platonique digne d'une histoire calquée sur Vlad Tepes et sa princesse sans le mélo-drame qui va avec. L'homme dicte fièrement le ton et la rythmique de la relation, la femme s'autoproclame suiveuse et rêve d'être une petite chose fragile aux bras de son homme, d'ailleurs elle me l'a dit au premier rendez-vous "I want to feel weak in your arms"... elles sont loin; égarées dans mon esprit, les fronceuses de sourcils à ballerines au pays du saucisson désormais. Ta femme, ici, s'occupe de ses cheveux longs et de ses kilos à perdre, se cambre fièrement au lit pour toi en chantant comme une petite fille à la messe quand tu la prends jusqu'au fond et fait dans les pointes de danseuses classiques quand tu la baise en position cuillère parce qu'elle sait ce que vaut sa féminité sur le terrain de la séduction... une séduction qu'elle met à contribution pour toi car elle sait qu'il n'y a pas de partage sans la culture du don pour l'autre.
Être une femme, qui plus est TA FEMME est un devoir indiscutable pour elle. C'est ça l'amour à l'Ukrainienne.
Sans compter les opportunités de trouver une femme francophone avouant à demi mot que de vivre une histoire avec un Français à Kiev pourrait être le comble de son aboutissement de l'apprentissage en la matière. Bref... les opportunités ne manquent pas... il n'y a qu'à choisir.
Le problème n'est pas de trouver une femme ici mais de rester fidèle à celle-ci tant les appels de phares sont nombreux... bon courage.
Vive la blancheur,
Florent Lambert